Parlons des autres sports ...

Quand j'étais môme, le garde-champêtre tambourinait sur la place du village, criait alentours "Avis à la population !" pour informer et rappeler les règles.

Dans cette rubrique, quelques rappels de l'attitude Cyberpotes. Vous trouverez aussi, à l'occasion des infos destinées à tous !
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béni
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Re: Parlons des autres sports ...

Message par béni »

La vache, bin le moins que l'on puisse dire c'est que vous avez de sacrées vies sportives :o :o :o
Impressionnant !
et la lumière fut
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Lolo90
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Re: Parlons des autres sports ...

Message par Lolo90 »

béni a écrit : 09 févr. 2021, 12:27 La vache, bin le moins que l'on puisse dire c'est que vous avez de sacrées vies sportives :o :o :o
Impressionnant !
Mais toi aussi tu as une vie trépidante avec ton vélotaf et ta chaudière :D
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Robert
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Re: Parlons des autres sports ...

Message par Robert »

En effet, il n'existe pas beaucoup de coins de France ou du monde où Phiphi n'ait posé ses baskets ou ses roues.
................

Encore un souvenir : juillet 1983 - Semaine fédérale de Sallanche ...
(Note : Mes souvenirs ne parlent pas d'exploits, ni d'Aravis, ni de Colombière)

A l'époque nous pratiquions le caravaning ; quand nous étions arrivés à Sallanche, le camping de la semaine fédérale était établi dans le lit d'un torrent.
Des cailloux, des cailloux, des cailloux ...
Nous avions alors décidé de changer de lieu et de prendre une place plus confortable dans le camping municipal de la ville, occupé presque exclusivement de cyclotouristes.

Comme voisin, nous avions Aurèle.
A l'époque, Aurèle m'avait semblé antédiluvien, bien que son âge ne devait guère dépasser les soixante quinze ans. Il roulait peu, Aurèle, et vivait de ses souvenirs. Près de sa tente, il passait le temps à astiquer sa vieille mais rutilante bicyclette et à héler les passants pour des échanges de souvenirs cyclistes.
Il choyait alors son vélo comme une mère attentionnée son enfant nouveau né.

Mais, le soir venu, c'était l'heure d'Aurèle. Il grimpait alors sur sa monture et disparaissait pour un repas à la permanence, à un ou deux kilomètres de là. Et il ne revenait pas tout de suite !
C'est là qu'il retrouvait ses potes. Il avait beaucoup de potes, Aurèle, ce qui impliquait pas mal de tournées, avant en apéritifs et pendant ses repas.

Enfin, vers vingt deux heures, Aurèle rentrait titubant.
A pied, bien entendu. Et je n'ai jamais réussi à déterminer, qui d'Aurèle ou du vélo menait l'autre.
Arrivé près de sa tente, il jetait sa bécane par terre, sans ménagements, et disparaissait sous sa couette, jusqu'au lendemain.

Il ma l'a avoué un jour, Aurèle. Ses enfants n'avaient accepté qu'avec beaucoup de réticences qu'il vienne seul à la semaine fédérale ...
Je les ai compris !
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