Re: Compétition et cyclotourisme.
Posté : 26 sept. 2024, 15:27
J’ai du oublier d’envoyer le message que j’avais écrit…
En gros je disais que je pensais que les Merckx et autres champions n’utilisaient pas la puissance car difficile à mesurer à l’époque sur un vélo, comme l’était d’ailleurs la mesure cardiaque. Mais je pense que s’ils avaient pu avoir accès à ces technologies, ils l’auraient fait. Ca n’a pas empêché que ces gars étaient des champions, comme les forçats qui faisaient le Tour avec un vélo dépourvu de dérailleur…À cette époque là, sans trop avoir cherché, l’entraînement était différent avec beaucoup plus d’heures de selle.
Puis après les innovations sont arrivées avec le cardio, qui a permis de quantifier les zones d’entraînement.
Puis avec le temps on s’est aperçu que le cœur, au cours de l’effort, réagissait différemment, et parfois changeait de zone au fur et à mesure de la séance en augmentant alors que l’intensité de l’exercice était stable. Et donc, sans trop m’avancer, les ingénieurs ont du se dire qu’il valait mieux se fier à quelque chose qui ne dérivait pas, la puissance, et qui permettait de mieux calibrer les entraînements.
C’est du moins ce que j’ai compris en essayant de trouver une réponse à ma question « Pourquoi se baser sur la puissance plutôt que sur le cardio? »
Si le capteur de puissance n’était pas installé de série sur mon pédalier, je ne me serais pas posé toutes ces questions, et un compteur/cardio aurait largement fait l’affaire, et le font toujours, et sont largement suffisants pour nous qui ne faisons pas de compétitions.
Et cette notion de puissance est utilisée partout, y compris sur Zwift ou énormément de entraînements sont basés sur la puissance. Il suffit juste de faire un « test FTP » qui ensuite calibre tes entraînements automatiquement.
Moi perso j’aime bien les statistiques, les courbes, etc, et voir tout ça bouger en fonction de l’entraînent est super interessant… Mais je le répète, ce n’est pas indispensable…
En gros je disais que je pensais que les Merckx et autres champions n’utilisaient pas la puissance car difficile à mesurer à l’époque sur un vélo, comme l’était d’ailleurs la mesure cardiaque. Mais je pense que s’ils avaient pu avoir accès à ces technologies, ils l’auraient fait. Ca n’a pas empêché que ces gars étaient des champions, comme les forçats qui faisaient le Tour avec un vélo dépourvu de dérailleur…À cette époque là, sans trop avoir cherché, l’entraînement était différent avec beaucoup plus d’heures de selle.
Puis après les innovations sont arrivées avec le cardio, qui a permis de quantifier les zones d’entraînement.
Puis avec le temps on s’est aperçu que le cœur, au cours de l’effort, réagissait différemment, et parfois changeait de zone au fur et à mesure de la séance en augmentant alors que l’intensité de l’exercice était stable. Et donc, sans trop m’avancer, les ingénieurs ont du se dire qu’il valait mieux se fier à quelque chose qui ne dérivait pas, la puissance, et qui permettait de mieux calibrer les entraînements.
C’est du moins ce que j’ai compris en essayant de trouver une réponse à ma question « Pourquoi se baser sur la puissance plutôt que sur le cardio? »
Si le capteur de puissance n’était pas installé de série sur mon pédalier, je ne me serais pas posé toutes ces questions, et un compteur/cardio aurait largement fait l’affaire, et le font toujours, et sont largement suffisants pour nous qui ne faisons pas de compétitions.
Et cette notion de puissance est utilisée partout, y compris sur Zwift ou énormément de entraînements sont basés sur la puissance. Il suffit juste de faire un « test FTP » qui ensuite calibre tes entraînements automatiquement.
Moi perso j’aime bien les statistiques, les courbes, etc, et voir tout ça bouger en fonction de l’entraînent est super interessant… Mais je le répète, ce n’est pas indispensable…