J’ai eu des difficultés à lire les deux derniers livres que j’ai choisis.
Je vais essayer de faire mieux pour le prochain.
J’ai eu des difficultés à lire les deux derniers livres que j’ai choisis.
Boualem Sansal dont je viens de lire le roman intitulé 2084, la fin du monde, vient de commettre l’imprudence de se rendre dans son pays : l’Algérie. Dans son autre pays, devrais-je dire, car il est franco algérien.Robert a écrit : ↑10 nov. 2024, 15:28 J’ai terminé depuis longtemps le livre de Jean d’ Ormesson. Une très agréable lecture dont j’ai fait un compte rendu ailleurs, me semble-t-il. Dans tous les cas, un livre dont je recommande la lecture.
Je viens de terminer un autre livre intitulé : « 2084, la fin du monde », de Boualem Sansal. Ce livre a obtenu le prix du roman de l’académie française de 2015.
Je l’avoue, un livre assez difficile à lire et que je ne recommanderais pas. Il s’agit d’une fiction où l’auteur dénonce les régimes politiques inspirés par la religion. Ce livre aurait sans doute attiré à son auteur de gros ennuis, s’il avait été publié dans une république islamique.
À titre d’exemple : nous sommes dans une mosquée et les fidèles en prière sont comparés à des bovins dans un pré quand ces fidèles s’inclinent vers la Mecque.
Je vais m’orienter vers une autre lecture. Un autre livre de Jean d’Ormesson ? J’ai lu l’amorce aussi de bouquins de Mazarine Pingeot. Je vais me donner le temps de choisir.
Apparemment je le vois sur France Loisirs mais je pense que tu peux essayer de l'acheter à la librairie de Banon histoire d'acheter quelques brindilles
Voilà, je viens de terminer mon premier livre de Henri Vincenot. Sa Bourgogne est vraiment pour lui le toit du monde. Son pays est là où se partagent les eaux, vers la Manche, la Méditerranée et l’Atlantique.Robert a écrit : ↑19 nov. 2024, 09:20 Voici mon nouveau livre : j’en ai lu une centaine de pages.
« Ma Bourgogne, le toit du monde » de Henri Vincenot.
Je ne savais rien de cet auteur ni de ses livres. J’en ai entendu parler tout près de moi. Alors j’ai cherché.
Henri Vincenot est un auteur connu. Je ne le connaissais pas. Voilà une preuve s’il en était besoin : Aucune culture n’est universelle.
Henri Vincenot est devenu un écrivain un peu par accident. Les péripéties de la vie lui ont donné les fonctions de directeur de la rédaction de la revue intitulée : « la vie du rail ».
Cette revue avait, chez nous, envahi les tables de salon et pourtant je ne la lisais jamais. En bon cheminot qu’il était mon père était abonné à la vie du rail. Plus curieux, j’aurais pu faire connaissance très tôt avec la belle plume de Henri Vincenot.
Il est l’un de ces auteurs, tellement amoureux de sa région qu’il en parle beaucoup et bien. Cette région n’est pas vraiment la mienne. Je ne suis qu’à demi bourguignon, bressan par ma mère. Lui, il est de la Bourgogne qui touche à la fois au Morvan et à la Bourgogne viticole. Mais le cœur y est !
Je vous laisse le choix pour l’adjectif, qui peut qualifier l’écriture de Henry Vincenot : naturaliste, écologiste, régionaliste… Son écriture me fait penser à celle de Louis Pergaud l’auteur connu pour: « la guerre des boutons ». Comme j’aime beaucoup Louis Pergaud, j’ai ses œuvres complètes dans ma bibliothèque.
je partageais cet amour des textes de Louis Pergaud avec un ami d’école normale qui s’appelait Jean Schwartz. Nous lisions ensemble avec plaisir la délicieuse prose de Louis Pergaud.
Jean nous a quitté depuis longtemps hélas.Tous ces amis s’en sont allé : Louis, Robert, Bernard, Henry, Michel, Jean… et parfois, je m’en veux d’être resté…
Je compléterai mon compte rendu quand j’aurai terminé la lecture de mon livre.
On verra bien si la diplomatie française arrivera à le faire libérerRobert a écrit : ↑01 déc. 2024, 08:35 Je suis à la fin de ma lecture du livre de Boualem Sansal intitulé : «Rue Darwin». Un livre très intéressant dont je vous ferai un compte rendu.
Ce livre a obtenu le prix du livre arabe en 2012.
Son auteur, Boualem Sansal ,franco-algérien, est toujours prisonnier des autorités algériennes sans que son sort soit précisé.