...malheureusement c'est mal parti car la boulangère est une petite nouvelle...Denis a écrit :Allez va! Je suis sur qu'il y en a un qui t'attend à la patisserie du coin!

Tadkozh
...malheureusement c'est mal parti car la boulangère est une petite nouvelle...Denis a écrit :Allez va! Je suis sur qu'il y en a un qui t'attend à la patisserie du coin!
Merci les gars, mais j'ai une motivation toute particulière...benoit a écrit :chapeau phiphi dans des conditions pareilles ,pluie,vent ,tempête,je n'aurai même pas pris le départ
Effectivement, pas tous sympas ! Au 1er contrôle, soit après 43 km de route, j'ai été extrêmement surpris de retrouver 4 cyclos, dont 1 femme et un vétéran de 80 ans, qui je suis sur, était à la queue du groupe dans la 1ère côte à la sortie même de Rouen lorsque j'ai accéléré à mon tour; j'en suis sur, car à ce moment là, j'étais en leur compagnie et j'ai même échangé quelques mots avec le gars ! Alors je me pose cette question, qui restera sans réponse: comment ont ils fait pour être là avant nous ?Robert a écrit :Oui, il faut une super motivation pour s'embarquer dans une pareille galère. Mais je l'ai fait, sans motivation particulière autre que celle de vivre une modeste aventure ! Comme toi, j'aurais sans doute pris le départ.
Très bien rendu, récit captivant, Philippe. Merci, Phiphi.
Ton compte-rendu m'a rappelé mon dernier 200, il y a cinq ans je pense ; ce fut un audax en Alsace. Les conditions météo avaient été épouvantables : 5° - vent et pluies violents sans la moindre interruption, automobilistes irascibles près de Strasbourg, pluie qui gicle de partout, pieds et mains gelés etc ... C'est à la suite de cette galère que j'avais acheté ma veste "Chapak" bleue qui m'a, depuis, souvent accompagné !
Vu ce 200 dont tu nous fais le récit, il s'agit d'une version randonneurs ... pas tous sympas, ces compagnons de route. Je l'avoue, je suis un peu déconnecté de cet esprit compétition, hors saison et qui ne devrait pas s'imposer, qui sévit pourtant dans les pelotons de cyclosportifs ; dans les conditions extrêmes qui étaient celles de ce 200, au contraire, la solidarité n'aurait-elle pas dû s'imposer ?
Je ne jette la pierre à personne et je sais bien que l'esprit de compétition sommeille en chacun de nous, insidieux, latent, un peu ridicule alors que défilent les anniversaires ! J'ai, je pense et par la force de l'âge, réussi à me départir de ce déplorable état d'esprit ... Mais il m'a fallu longtemps ...
PBP est une épreuve et une aventure. J'espère que tu trouveras les meilleures conditions possible pour réaliser ce voeu qui est si cher à ton coeur de sportif de défis.
...dès que tu as des parcours "libres" ce "phénomène" est présent...!! Des cyclos pas intéressants qui font leur "championnat du monde..."phiphi76 a écrit :Effectivement, pas tous sympas ! Au 1er contrôle, soit après 43 km de route, j'ai été extrêmement surpris de retrouver 4 cyclos, dont 1 femme et un vétéran de 80 ans, qui je suis sur, était à la queue du groupe dans la 1ère côte à la sortie même de Rouen lorsque j'ai accéléré à mon tour; j'en suis sur, car à ce moment là, j'étais en leur compagnie et j'ai même échangé quelques mots avec le gars ! Alors je me pose cette question, qui restera sans réponse: comment ont ils fait pour être là avant nous ?Robert a écrit :Oui, il faut une super motivation pour s'embarquer dans une pareille galère. Mais je l'ai fait, sans motivation particulière autre que celle de vivre une modeste aventure ! Comme toi, j'aurais sans doute pris le départ.
Très bien rendu, récit captivant, Philippe. Merci, Phiphi.
Ton compte-rendu m'a rappelé mon dernier 200, il y a cinq ans je pense ; ce fut un audax en Alsace. Les conditions météo avaient été épouvantables : 5° - vent et pluies violents sans la moindre interruption, automobilistes irascibles près de Strasbourg, pluie qui gicle de partout, pieds et mains gelés etc ... C'est à la suite de cette galère que j'avais acheté ma veste "Chapak" bleue qui m'a, depuis, souvent accompagné !
Vu ce 200 dont tu nous fais le récit, il s'agit d'une version randonneurs ... pas tous sympas, ces compagnons de route. Je l'avoue, je suis un peu déconnecté de cet esprit compétition, hors saison et qui ne devrait pas s'imposer, qui sévit pourtant dans les pelotons de cyclosportifs ; dans les conditions extrêmes qui étaient celles de ce 200, au contraire, la solidarité n'aurait-elle pas dû s'imposer ?
Je ne jette la pierre à personne et je sais bien que l'esprit de compétition sommeille en chacun de nous, insidieux, latent, un peu ridicule alors que défilent les anniversaires ! J'ai, je pense et par la force de l'âge, réussi à me départir de ce déplorable état d'esprit ... Mais il m'a fallu longtemps ...
PBP est une épreuve et une aventure. J'espère que tu trouveras les meilleures conditions possible pour réaliser ce voeu qui est si cher à ton coeur de sportif de défis.
Pas sympa non plus, car nous les avons attendu pour repartir d'Yvetot, et ensuite, à plusieurs occasions, ils ont roulé en accélérant à " tout va " comme des idiots face au vent, au lieu, effectivement et je te rejoins dans ton raisonnement, de faire " corps " tous les 6, face aux intempéries. De toute évidence, ces 2 là n'était pas des " puits de science ! ". Alors cela à eu le don de me contrarier, donc j'ai fait un petit signe discret au " collègue ", après lui avoir fait remarquer le comportement stupide de la nana en lui demandant: mais pourquoi fait-elle cela ? et nous avons franchement accéléré et sommes repartis tous les deux. J'ai peut être eu tord d'agir ainsi, mais je ne supporte pas les imbéciles qui n'ont pas " de sous de jugeote ", au point d'être incapable au milieu des éléments déchainés, de se dire que " l'union fait la force " ! Nous ne les avons jamais revu, heureusement !
C'est en arrivant au local du départ que nous avons appris que seul 5 gars étaient rentrés avant nous, je ne m'en suis jamais inquiété durant la totalité du parcours, seul l'envie d'aller jusqu'au bout habitait mon esprit.
@cyberpotes+ !