Je viens, à tout hasard, de consulter quelques profils de montée des grands cols des Alpes, et de faire le constat que les mythiques montées du Ventoux, de la Bonnette, de l'Izoard ... ou du Stelvio par Bormio dont nous avons parlé sont toutes très voisines en difficultés.
En résumé, autour de 20 km de montée pour 1 500 m de dénivelée avec quelques passages à 12%.
La montée de l'un de ces cols équivaut à l'autre. Restent les donnée du jour : La météo, l'entraînement, la forme, l'accompagnement ...
D'autres facteurs interviennent comme l'âge, par exemple : Certes, je ne grimpe plus la Bonnette comme je le faisais il y a trente ans. Mais il faut simplement compenser. Des arrêts, une allure adaptée, un matériel et des développements revus et ça passe.
Je ne vole plus que d'une aile, mais je passe encore !
