Le ronde Van Vlaanderen
Posté : 04 avr. 2011, 23:35
Aller, je m'y colle, en espérant que Denis y apportera sa petite touche perso en prenant la suite pour nous narrer le passage des bergs !
Nous voici donc Vendredi, et je suis tellement impatient de retrouver Denis et Stéphane que j'arrive 2h00 en avance à Mons, à la frontière Belge ! Pas grave, je suis fatigué, donc, une petite sieste réparatrice et un peut de lecture me fera vite passer le temps.
Sur le coup de 17h00, Denis " me sonne ", comme ils disent en Belgique " une foué ": je suis passé la frontière et je suis arrêté sur un petit parking juste après: ben oué 2 fois, c'est sur la bande d'arrêt d'urgence qu'il a garé la voéture hein ! pas grave, nous nous retrouvons avec grand plaisir et c'est bien là l'essentiel !
Denis possédant un GPS Europe, ce qui n'est pas mon cas malgré que j'ai acheté un Scénic haut de gamme, je n'ai que le modèle France, ben oui, que voulez-vous, ils chipotent chez Renault ! Denis prend donc la tête du mini convoi, et nous voici en direction de Péronne les Binche, afin de retrouvé Malibu. Après quelques tours de " manège " autour de rond points, (( faut pas attrapper le pompon au passage, sinon tu fais 2 tours ! hi ! hi ! )), nous voici arrivé rue A. Hulin. A peine descendu de voiture, Pascal et sa sympathique épouse nous accueillent sur le pas de la porte; les présentations avec les embrassades d'usage faitent, nous voici bien attablés devant une bière: quoi de plus normal me direz-vous lorsque vous êtes si gentiment reçu ! Après quelques histoires (de vélo bien sur), nous voici cette fois devant une belle assiette de lassagne "maison" cuisiné amoureusement par l'épouse de Malibu, tellement bonne, que l'on " repique au truc " pour une seconde assiette ! Bien nous en pris, car le lendemain, le fait d' avoir fait le plein de sucres lent allait bien nous servir.
Vers 20h30, direction le gîte, et là, nous disons: Chapeau Pascal d' avoir retenu cet endroit, c'est tout simplement superbe, jugez en plutot: 1 cuisine, 1 salon avec 2 grandes banquettes et la télé plus 1 chaine hi-fi, 1 grande salle à manger, 4 chambres !, avec en tout 10 couchages, 2 salles de bains ! et 2 toilettes ! c' est pas le paradis ça ? Etant des garçons bien sages, 21h30, extinction des feux ! faut dire aussi que le lendemain, le clairon va sonner à 4h45, car nous avons rendez-vous chez Malibu à 5h45 pour aller rouler sur les routes Flandriennes y parait !
Après avoir rejoinds Pascal et 2 de ces amis, nous voici en route pour Ninove, arrivé sans encombre là-bas, par contre, pour trouver une place pour garer les voitures, pas facile ! C'est vrai que pour déplacer 20000 coursiers, il en faut " des bagnoles " ! Par chance, nous trouvons 3 places pas très éloignées les unes des autres et juste devant une taverne, ça, c' est un signe du destin ! Une fois " costumés & massés de près ", nous voici grimpés sur nos destriers respectif afin de rejoindre le lieu de départ. Après avoir retrouvé Mariocipo et ces potes et nos inscriptions pour certain, les plaques de cadres installées à l'avant du cadre, nous voici partis pour ce qui restera à tout jamais un souvenir impérissable. En route pour le Tour des Flandres.
Au milieu de centaines et de centaines de cyclistes, nous avançons prudemment sur les premiers km; nous perdons rapidement de vue le groupe de Bruno qui roule fort, comme je fais attention de bien voir en permanence notre groupe de 6 afin de ne pas nous séparer, j' ai le temps de voir que Stéphane est parti se " dérouiller " les jambes dans le 1er groupe, nous le retrouverons au 2ème ravito, ayant décidé de sauter le 1er qui arrive trop tôt à notre goût. bsicuit, 1 barre de céréale et nous voilà reparti "plein pot ", arrive une longue descente en pavé, sévèrement secoués, nous sommes bien content d'en ressortir;mais, nous ne sommes que 4, manque à l'appel: Denis et Stéphane et quelques km plus loin, mon tél portable sonne, je n'ai pas le temps de décrocher, nous continuons quelques instants et le tél resonne, hum, je n'aime pas ça; je décide de m'arrêter et le dis à Malibu; je vois que c'est Denis qui a appelé, je re-n'aime pas ça ! et ce que je craignais ce confirme, enfin presque, en fait, j'avais peur d'une chute collective, il y a tellement de bidons qui ont sauté de leur porte bidons, de portes bidons cassés et de pompes qui jonchent le sol, que le pire peut arriver ! mais non, c' est moins grave que cela, mais tout aussi catastropique: en fait, c'est Stéphane qui à " pété " son dérailleur ! malgré un dépannage de fortune, il ne peut continuer ainsi et c'est la " mort dans l'âme " qu'il doit se résoudre à abandonner ! ! ! Après avoir contacté les secours d'urgence, qui mettront quand même la bagatelle de 2h00 pour venir le chercher, le voici revenu à Ninove, à nous attendre au soleil, le nez rouge qu'il hexibe à notre retour en atteste, à moins que se ne soit l'effet des bières de Binche ! Soit sur mon Stéphane que nous compatissons tous ensemble à ton grand désespoir !
L'ambiance est plombée pour un bon moment, nous roulons dans le silence, seul le bruit de nos bicyclettes sautant à tout va sur les nouveaux " pavetons " d'où résonne des bruits d' enfer nous ramménent à la dure réalité: rouler coute que coute, pour nous, mais aussi pour notre pote retourné au camp de base !
Et comme le dit les spots sur les chaines de télé: après une courte pose, la suite à demain ! ! ! (( hé, hé, je vous fait languir hein ! ))
Denis, à toi la suite !
@Cyberpotes+
Nous voici donc Vendredi, et je suis tellement impatient de retrouver Denis et Stéphane que j'arrive 2h00 en avance à Mons, à la frontière Belge ! Pas grave, je suis fatigué, donc, une petite sieste réparatrice et un peut de lecture me fera vite passer le temps.
Sur le coup de 17h00, Denis " me sonne ", comme ils disent en Belgique " une foué ": je suis passé la frontière et je suis arrêté sur un petit parking juste après: ben oué 2 fois, c'est sur la bande d'arrêt d'urgence qu'il a garé la voéture hein ! pas grave, nous nous retrouvons avec grand plaisir et c'est bien là l'essentiel !
Denis possédant un GPS Europe, ce qui n'est pas mon cas malgré que j'ai acheté un Scénic haut de gamme, je n'ai que le modèle France, ben oui, que voulez-vous, ils chipotent chez Renault ! Denis prend donc la tête du mini convoi, et nous voici en direction de Péronne les Binche, afin de retrouvé Malibu. Après quelques tours de " manège " autour de rond points, (( faut pas attrapper le pompon au passage, sinon tu fais 2 tours ! hi ! hi ! )), nous voici arrivé rue A. Hulin. A peine descendu de voiture, Pascal et sa sympathique épouse nous accueillent sur le pas de la porte; les présentations avec les embrassades d'usage faitent, nous voici bien attablés devant une bière: quoi de plus normal me direz-vous lorsque vous êtes si gentiment reçu ! Après quelques histoires (de vélo bien sur), nous voici cette fois devant une belle assiette de lassagne "maison" cuisiné amoureusement par l'épouse de Malibu, tellement bonne, que l'on " repique au truc " pour une seconde assiette ! Bien nous en pris, car le lendemain, le fait d' avoir fait le plein de sucres lent allait bien nous servir.
Vers 20h30, direction le gîte, et là, nous disons: Chapeau Pascal d' avoir retenu cet endroit, c'est tout simplement superbe, jugez en plutot: 1 cuisine, 1 salon avec 2 grandes banquettes et la télé plus 1 chaine hi-fi, 1 grande salle à manger, 4 chambres !, avec en tout 10 couchages, 2 salles de bains ! et 2 toilettes ! c' est pas le paradis ça ? Etant des garçons bien sages, 21h30, extinction des feux ! faut dire aussi que le lendemain, le clairon va sonner à 4h45, car nous avons rendez-vous chez Malibu à 5h45 pour aller rouler sur les routes Flandriennes y parait !
Après avoir rejoinds Pascal et 2 de ces amis, nous voici en route pour Ninove, arrivé sans encombre là-bas, par contre, pour trouver une place pour garer les voitures, pas facile ! C'est vrai que pour déplacer 20000 coursiers, il en faut " des bagnoles " ! Par chance, nous trouvons 3 places pas très éloignées les unes des autres et juste devant une taverne, ça, c' est un signe du destin ! Une fois " costumés & massés de près ", nous voici grimpés sur nos destriers respectif afin de rejoindre le lieu de départ. Après avoir retrouvé Mariocipo et ces potes et nos inscriptions pour certain, les plaques de cadres installées à l'avant du cadre, nous voici partis pour ce qui restera à tout jamais un souvenir impérissable. En route pour le Tour des Flandres.
Au milieu de centaines et de centaines de cyclistes, nous avançons prudemment sur les premiers km; nous perdons rapidement de vue le groupe de Bruno qui roule fort, comme je fais attention de bien voir en permanence notre groupe de 6 afin de ne pas nous séparer, j' ai le temps de voir que Stéphane est parti se " dérouiller " les jambes dans le 1er groupe, nous le retrouverons au 2ème ravito, ayant décidé de sauter le 1er qui arrive trop tôt à notre goût. bsicuit, 1 barre de céréale et nous voilà reparti "plein pot ", arrive une longue descente en pavé, sévèrement secoués, nous sommes bien content d'en ressortir;mais, nous ne sommes que 4, manque à l'appel: Denis et Stéphane et quelques km plus loin, mon tél portable sonne, je n'ai pas le temps de décrocher, nous continuons quelques instants et le tél resonne, hum, je n'aime pas ça; je décide de m'arrêter et le dis à Malibu; je vois que c'est Denis qui a appelé, je re-n'aime pas ça ! et ce que je craignais ce confirme, enfin presque, en fait, j'avais peur d'une chute collective, il y a tellement de bidons qui ont sauté de leur porte bidons, de portes bidons cassés et de pompes qui jonchent le sol, que le pire peut arriver ! mais non, c' est moins grave que cela, mais tout aussi catastropique: en fait, c'est Stéphane qui à " pété " son dérailleur ! malgré un dépannage de fortune, il ne peut continuer ainsi et c'est la " mort dans l'âme " qu'il doit se résoudre à abandonner ! ! ! Après avoir contacté les secours d'urgence, qui mettront quand même la bagatelle de 2h00 pour venir le chercher, le voici revenu à Ninove, à nous attendre au soleil, le nez rouge qu'il hexibe à notre retour en atteste, à moins que se ne soit l'effet des bières de Binche ! Soit sur mon Stéphane que nous compatissons tous ensemble à ton grand désespoir !
L'ambiance est plombée pour un bon moment, nous roulons dans le silence, seul le bruit de nos bicyclettes sautant à tout va sur les nouveaux " pavetons " d'où résonne des bruits d' enfer nous ramménent à la dure réalité: rouler coute que coute, pour nous, mais aussi pour notre pote retourné au camp de base !
Et comme le dit les spots sur les chaines de télé: après une courte pose, la suite à demain ! ! ! (( hé, hé, je vous fait languir hein ! ))
Denis, à toi la suite !
@Cyberpotes+