AAA ... Ah !????
Posté : 07 déc. 2011, 07:35
Je souffre beaucoup de n'y comprendre goutte ; la situation toutefois m'interpelle.
- Jamais montagne comme LA CRISE n'a comporté autant de "sommets" ; L'Himalaya même y ferait pâle figure. Et de réunion en gueuletons, de concertations en accords démentis aussitôt que conclus, il semblerait que le monde occidental s'enlise en une fosse dont il sera impossible de s'extraire. Notre petit Saint Nicolas me fait penser, en l'occurrence, à un moucheron qui se serait englué sur une bande de papier collant, semblable à celles que j'ai vu, dans mes jeunes années, pendues aux plafonds des cuisines aux fins de limiter la prolifération des mouches.
- Il y a peu, nous ignorions tous les "agence de notation" présentées aujourd'hui comme des thermomètres ; ces officines ont pourtant pignon sur rue aux Etats-Unis dans des immeubles luxueux dont j'ai renoncé à compter les étages. Il en existe d'ailleurs plusieurs, ce qui tendrait à témoigner qu'il s'agit d'un juteux filon ...
Et que ces trucs arrêtent de nous foutre leurs thermomètres au cul ! NOUS NE SAVONS PAS DE QUOI NOUS SOMMES MALADES, et, quand on n'est pas malade, on range le thermomètre ! Encore un souvenir d'enfance : Ma maman arrivant avec son thermomètre dit "médical" aux fins de contrôler ma santé alors que j'avais le sentiment d'être en bonne forme !
-car enfin, dans une situation d'endettés à créanciers, il y a deux partis .
Pour les endettés, tout est clair : c'est nous, conjointement, les pays occidentaux à économies dites capitalistes de la zone euro, bien que, seuls deux fers de lance semblent en première ligne, la France et l'Allemagne. Et nos partenaines, quel rôle jouent-ils dans la pièce (ni sommets ni gueuletons, ils demeurent dans la mare)? Et les autres"grands du monde", parmi les plus notoires, USA, Japon, Royaume Uni ne sont ils pas en crise du simple fait qu'ils n'ont pas l'euro pour monnaie de singe ? Pourtant, dollar, yen et livre sont tout autant monnaies de singe que l'euro ...
Et pour en venir aux créanciers tout est flou. En définitive, à qui devons-nous tant de fric ? Aux banques, aux organismes financiers divers, aux paradis fiscaux, aux pays dits "sous-développés", au BON DIEU ?
Et si, d'un commun accord, nous décidions solidairement de ne plus rien rembourser, que se passerait-il ? Ou si, à contrario, par un heureux héritage comme, par exemple, puiser sous forme d'impôts l'argent dans les bonnes poches, nous nous trouvions soudainement en mesure de tout rembourser, qui seraient les bénéficiaires ?
Quidams quelconques, mes semblables, pourquoi demeurez-vous tant silencieux au lieu de répondre à ces questions élémentaires ?
- Jamais montagne comme LA CRISE n'a comporté autant de "sommets" ; L'Himalaya même y ferait pâle figure. Et de réunion en gueuletons, de concertations en accords démentis aussitôt que conclus, il semblerait que le monde occidental s'enlise en une fosse dont il sera impossible de s'extraire. Notre petit Saint Nicolas me fait penser, en l'occurrence, à un moucheron qui se serait englué sur une bande de papier collant, semblable à celles que j'ai vu, dans mes jeunes années, pendues aux plafonds des cuisines aux fins de limiter la prolifération des mouches.
- Il y a peu, nous ignorions tous les "agence de notation" présentées aujourd'hui comme des thermomètres ; ces officines ont pourtant pignon sur rue aux Etats-Unis dans des immeubles luxueux dont j'ai renoncé à compter les étages. Il en existe d'ailleurs plusieurs, ce qui tendrait à témoigner qu'il s'agit d'un juteux filon ...
Et que ces trucs arrêtent de nous foutre leurs thermomètres au cul ! NOUS NE SAVONS PAS DE QUOI NOUS SOMMES MALADES, et, quand on n'est pas malade, on range le thermomètre ! Encore un souvenir d'enfance : Ma maman arrivant avec son thermomètre dit "médical" aux fins de contrôler ma santé alors que j'avais le sentiment d'être en bonne forme !
-car enfin, dans une situation d'endettés à créanciers, il y a deux partis .
Pour les endettés, tout est clair : c'est nous, conjointement, les pays occidentaux à économies dites capitalistes de la zone euro, bien que, seuls deux fers de lance semblent en première ligne, la France et l'Allemagne. Et nos partenaines, quel rôle jouent-ils dans la pièce (ni sommets ni gueuletons, ils demeurent dans la mare)? Et les autres"grands du monde", parmi les plus notoires, USA, Japon, Royaume Uni ne sont ils pas en crise du simple fait qu'ils n'ont pas l'euro pour monnaie de singe ? Pourtant, dollar, yen et livre sont tout autant monnaies de singe que l'euro ...
Et pour en venir aux créanciers tout est flou. En définitive, à qui devons-nous tant de fric ? Aux banques, aux organismes financiers divers, aux paradis fiscaux, aux pays dits "sous-développés", au BON DIEU ?
Et si, d'un commun accord, nous décidions solidairement de ne plus rien rembourser, que se passerait-il ? Ou si, à contrario, par un heureux héritage comme, par exemple, puiser sous forme d'impôts l'argent dans les bonnes poches, nous nous trouvions soudainement en mesure de tout rembourser, qui seraient les bénéficiaires ?
Quidams quelconques, mes semblables, pourquoi demeurez-vous tant silencieux au lieu de répondre à ces questions élémentaires ?