Cyberpotes, le forum !

Denis a écrit :Petit coquin!

phiphi76 a écrit :Robert, tu seras dorénavant dans le collimateur de tes potes lors des prochaines sorties ! J'ai vu que tu m'avais appelé, je te passe un coup de fil Mardi, pas demain, je suis au Salon du Cycle à Paris.
Bises à Josette
@cyberpotes + !

Robert a écrit :

phiphi76 a écrit :Robert, tu seras dorénavant dans le collimateur de tes potes lors des prochaines sorties ! J'ai vu que tu m'avais appelé, je te passe un coup de fil Mardi, pas demain, je suis au Salon du Cycle à Paris.
Bises à Josette
@cyberpotes + !

Bon salon Philippe, et ne mets pas le feu ... à ta carte bleue.
Bon, je me suis confessé à mes potes ; faute avouée est pardonnée ... à demi. Mais j'ai mesuré là, modestement, les effets de la dope ! J'ai cependant pris conscience, aussi, qu'à court terme, elle doit détruire un bonhomme. En tous les cas, la cortisone est un dopant dont je vais me méfier !

cathicat49 a écrit :

Robert a écrit :Vendredi 13, jour béni pour toutes les chances, le soleil brillait sur la Lorraine, un reste d'été oublié.

Au petit matin, j'avais rendez-vous chez mon rhumatologue (mes articulations ,hélas réclament ses soins). Je souffre du poignet droit ; ni le jardinage, ni les descentes à VTT n'arrangent le problème. Me voilà donc avec mon spécialiste qui, après examen des radios que je lui présente et m'avoir déclaré que j'ai un poignet dans un état catastrophique, prépare une seringue munie d'une belle aiguille de quelques cm spam . Ces médecins là ne connaissent d'autres soins !

J'avais déjà téléphoné à mes potes que, vu les "soins" dont j'avais bénéficié le matin, je renonçais à la sortie prévue. Mais comment résister à ce coquin de rayon de soleil qui passe à travers mes rideaux. Je décroche à nouveau le téléphone pour annoncer ma participation à la sortie.

Et tout au long de celle-ci, je me suis demandé pourquoi j'étais toujours devant à attendre mes potes que je trouvais, sur le coup, très ... poussifs.

A suivi la nuit du vendredi au samedi, nuit complètement blanche pour moi. Impossible de fermer, ne serait-ce qu'un seul oeil. Au petit matin je m'interroge. EUREKA ! Ma forme cycliste et ma nuit blanche ont un nom : CORTISONE, produit que mon rhumatologue m'a injecté copieusement ce matin de vendredi 13. Et je comprends mieux comment un coureur cycliste à la rue a les "jambes de feu" le lendemain !

Oui, c'est assez fréquent, mais il faut juste se dire que c'était pour ton bien. En tout cas, tu aurais pu faire 10 km sans que tu sois épuisé lol