DFU 2015
Posté : 29 juin 2015, 20:22
Cette fois, ça y est, nous y sommes ! Voilà quasiment 1 an que nous en causons.
Vendredi en début d'après midi, Denis arrive, prend ses " quartiers " dans mon luxueux appartement, bein oui, je lui ai accordé " le gîtes et le couvert ", je vais pas le laisser dehors tout de même, c'est un pote, que dis-je, un Cyberpotes !
Nous retrouvons avec grand plaisir à Barcelo, place de ....( je sais plus quoi, Tad va nous le dire ! ), Annie, Nathalie, Janine, Tad, J-Mi, Denis et moi, pour déguster une bonne bière et nous " ressasser " nos souvenirs et autres anecdotes depuis 1 an.
Le soir venu, nous voici attabler à l'appartement, Denis & moi, devant nos " solides " assiettes de pâtes et jambon ! ( 2 pour Denis, énormes ! ). Dodo 21h00 et levé à 4h30, Denis n'a pas eu besoin de boules " Quiés ", je ne l'ai pas empêché de dormir n'ayant parait-il point " scié du bois ", autrement dit: ronflé !
Je suis " serein ", la sortie entre Cyberpotes de Jeudi c'est déroulée tellement bien ! Une cadence de pédalage en côte comme il y avait bien longtemps que je n'avais connu !
Après un copieux déjeuné (pâtes froide à la confiture de groseille pour moi, oui, oui, hum, excellent ! ), nous voici au départ ( à 2 tour de roues de l'appart ), pointage du carton, un petit " selfie " juste avant le départ et nous voici sur la ligne; Evelyne, la dynamique Présidente de l'Asso Fondus de l'Ubaye, égraine le décompte: 5, 4, 3, 2, 1 partez ! (Excuser moi d'être quelque peu trivial pour m'exprimer ) Je déclenche le Garmin, et merde, je suis à 130 puls ! Depuis un bon moment, le matin, " je tape " à 46 bordel ! ! ! J'ai pas senti le coup arrivé, trop de pression du probablement aux merveilleux souvenirs que j'ai ici et au col St Jean avec Christine, j'ai tellement envie de lui offrir le max du DFU après mes brevets qualificatifs du P-B-P ! A la sortie de Barcelo, je suis à 145 ! Relâche toi merde, laisse aller, cool ! Il me semble bien tenir les roues pour l'approche du col de Vars, ça va aller ! Bein je t'en fout oui, les premières rampes et toc ! largué ! ça me fait " suer " ( et je suis poli ! ), il faut gérer ça garçon, tu vas avoir la descente pour remettre les " pendules à l'heure " ! Les premiers me croisent alors que je suis encore à 5 bornes du sommet, ça promet ! Je pointe là-haut bien après mes amis Cyberpotiques, tout va bien pour eux, tant mieux, je les envie, c'est bien, il vont avoir du plaisir ! Moi aussi, si la montée a été difficile, le descente, c'est mon affaire ! Je ne prends pas le temps de passer le coupe vent, il fait bon, juste les manchettes que j'enfile dans les 100 derniers mètres de la montée, et hop, demi-tour, et go ! fonce ! Je double un grand nombre de compétiteurs, je dévale la pente à 75,8 km/h, je me régale ! Ho là, gaffe l'ami, 2ème tout droit à l'amorce d'un virage serré, le pneu doit avoir " un plat ", il a " couiné " sur le bitume ! Qu'importe, je fonce, je rejoins mes amis et file vers La Condamine.
Je " jette " un œil ( fais gaffe mon pote, tu n'en à que 2 ! ) au carrefour avent de tourner à droite direction St Anne en espérant apercevoir l'ami Tad, et je me souviens qu'il devait " descendre dans la vallée " voir Robert au pied de La Bonnette, ok, je commence la montée. Euréka, il me semble retrouver mon coup de pédale de Jeudi, super, je tourne bien les jambes, je remonte quelques gars, maintient l'écart avec ceux de derrière, ça, jusque mi-pente, à peu près, mais ce n'est que " feu de paille ", je coince de nouveau, mais pourquoi, merde, pourquoi ? Aller, pointage au bout de l'effort, je rouspète, il n'y a déjà plus rien à boire pour ceux qui arrive, ce n'est pas normal, ils ne savent pas gérer leur stock, il faut en faire pour tout le monde ! Je dévale " plein pot " la pente bien raide de la montée de St Anne, roule entre Contamine et Jausiers, fait le plein des bidons, mange mes " patates-jambon cru " et nous repartons; pourvu que ça " aille " pour La Bonnette ", je suis en plein doute d'autant que les premières douleurs dorsales font leur apparition et me rappellent que le dos n'est pas " jobart ", un point très douloureux arrivent et se fixe au-dessus de la hanche droite, merde, manquait plus que ça ! et le calvaire va commencer ! Soudain, je suis dans l'obligation de m'arrêter, comme l'année dernière, à la hauteur de la Halte 2000, j'exécute des étirements et mon portable sonne: instinctivement, je lève la tête les virages qui surplombent la Halte et comme l'année dernière, c'est Denis qui m'appelle: va, va, je repars !
( la suite tout à l'heure ! )
Vendredi en début d'après midi, Denis arrive, prend ses " quartiers " dans mon luxueux appartement, bein oui, je lui ai accordé " le gîtes et le couvert ", je vais pas le laisser dehors tout de même, c'est un pote, que dis-je, un Cyberpotes !
Nous retrouvons avec grand plaisir à Barcelo, place de ....( je sais plus quoi, Tad va nous le dire ! ), Annie, Nathalie, Janine, Tad, J-Mi, Denis et moi, pour déguster une bonne bière et nous " ressasser " nos souvenirs et autres anecdotes depuis 1 an.
Le soir venu, nous voici attabler à l'appartement, Denis & moi, devant nos " solides " assiettes de pâtes et jambon ! ( 2 pour Denis, énormes ! ). Dodo 21h00 et levé à 4h30, Denis n'a pas eu besoin de boules " Quiés ", je ne l'ai pas empêché de dormir n'ayant parait-il point " scié du bois ", autrement dit: ronflé !
Je suis " serein ", la sortie entre Cyberpotes de Jeudi c'est déroulée tellement bien ! Une cadence de pédalage en côte comme il y avait bien longtemps que je n'avais connu !
Après un copieux déjeuné (pâtes froide à la confiture de groseille pour moi, oui, oui, hum, excellent ! ), nous voici au départ ( à 2 tour de roues de l'appart ), pointage du carton, un petit " selfie " juste avant le départ et nous voici sur la ligne; Evelyne, la dynamique Présidente de l'Asso Fondus de l'Ubaye, égraine le décompte: 5, 4, 3, 2, 1 partez ! (Excuser moi d'être quelque peu trivial pour m'exprimer ) Je déclenche le Garmin, et merde, je suis à 130 puls ! Depuis un bon moment, le matin, " je tape " à 46 bordel ! ! ! J'ai pas senti le coup arrivé, trop de pression du probablement aux merveilleux souvenirs que j'ai ici et au col St Jean avec Christine, j'ai tellement envie de lui offrir le max du DFU après mes brevets qualificatifs du P-B-P ! A la sortie de Barcelo, je suis à 145 ! Relâche toi merde, laisse aller, cool ! Il me semble bien tenir les roues pour l'approche du col de Vars, ça va aller ! Bein je t'en fout oui, les premières rampes et toc ! largué ! ça me fait " suer " ( et je suis poli ! ), il faut gérer ça garçon, tu vas avoir la descente pour remettre les " pendules à l'heure " ! Les premiers me croisent alors que je suis encore à 5 bornes du sommet, ça promet ! Je pointe là-haut bien après mes amis Cyberpotiques, tout va bien pour eux, tant mieux, je les envie, c'est bien, il vont avoir du plaisir ! Moi aussi, si la montée a été difficile, le descente, c'est mon affaire ! Je ne prends pas le temps de passer le coupe vent, il fait bon, juste les manchettes que j'enfile dans les 100 derniers mètres de la montée, et hop, demi-tour, et go ! fonce ! Je double un grand nombre de compétiteurs, je dévale la pente à 75,8 km/h, je me régale ! Ho là, gaffe l'ami, 2ème tout droit à l'amorce d'un virage serré, le pneu doit avoir " un plat ", il a " couiné " sur le bitume ! Qu'importe, je fonce, je rejoins mes amis et file vers La Condamine.
Je " jette " un œil ( fais gaffe mon pote, tu n'en à que 2 ! ) au carrefour avent de tourner à droite direction St Anne en espérant apercevoir l'ami Tad, et je me souviens qu'il devait " descendre dans la vallée " voir Robert au pied de La Bonnette, ok, je commence la montée. Euréka, il me semble retrouver mon coup de pédale de Jeudi, super, je tourne bien les jambes, je remonte quelques gars, maintient l'écart avec ceux de derrière, ça, jusque mi-pente, à peu près, mais ce n'est que " feu de paille ", je coince de nouveau, mais pourquoi, merde, pourquoi ? Aller, pointage au bout de l'effort, je rouspète, il n'y a déjà plus rien à boire pour ceux qui arrive, ce n'est pas normal, ils ne savent pas gérer leur stock, il faut en faire pour tout le monde ! Je dévale " plein pot " la pente bien raide de la montée de St Anne, roule entre Contamine et Jausiers, fait le plein des bidons, mange mes " patates-jambon cru " et nous repartons; pourvu que ça " aille " pour La Bonnette ", je suis en plein doute d'autant que les premières douleurs dorsales font leur apparition et me rappellent que le dos n'est pas " jobart ", un point très douloureux arrivent et se fixe au-dessus de la hanche droite, merde, manquait plus que ça ! et le calvaire va commencer ! Soudain, je suis dans l'obligation de m'arrêter, comme l'année dernière, à la hauteur de la Halte 2000, j'exécute des étirements et mon portable sonne: instinctivement, je lève la tête les virages qui surplombent la Halte et comme l'année dernière, c'est Denis qui m'appelle: va, va, je repars !
( la suite tout à l'heure ! )