Les bavards ...
Posté : 18 oct. 2015, 10:07
J'en ai le sentiments : j'appartiens à cette catégorie. Et mon sentiment est celui du coupable, du raseur, du casse-pieds, de l'emmerdeur, de l'accapareur du crachoir, de celui qui n'a rien à dire et qui le dit quand même !
Il m'arrive parfois de me consoler ainsi : Je ne suis bavard que par écrit, bien plus taiseux à l'oral et même souvent absent des conversations qui m'entourent, perdu dans les arcanes d'une pensée volatile et qu'une brise emporte.
Je me console encore en faisant le constat qu'il existe, sur ce forum même, plus bavards que moi, par exemple Tad, ou Denis pour ne pas les désigner. En fait, il ne s'agit que d'une illusion mathématique : Les intervention de ces amis, certes plus nombreuses, sont aussi plus concises. Je pense qu'à la ligne je décroche, sans conteste, la palme du casse-bonbons !
Bien chers amis, j'en sollicite votre pardon pour le passé, pour aujourd'hui, et bien plus encore pour demain car je le crains, la météorologie hivernale va souvent me porter au clavier d'ordinateur.
Il y a des lustres, j'avais commencé à écrire une autobiographie abandonnée au coin où les araignées tissent leurs toiles ; c'est une tare répandue chez les gens qui entrent dans la phase de leur vie qui s'apparente au soir, cette envie de vouloir se raconter, de se souvenir, de se justifier avant que d'être en cendres ou de retourner à la terre pour en être un infime constituant.
Tout ça me fait sourire car jamais je n'aurais pu tenir de tels propos hier ...
Si je reprenais ce loisir interrompu, cela vous épargnerait sans doute quelques lectures sans intérêt ! Le temps que j'y consacrerais vous libérerait d'autant !
Il m'arrive parfois de me consoler ainsi : Je ne suis bavard que par écrit, bien plus taiseux à l'oral et même souvent absent des conversations qui m'entourent, perdu dans les arcanes d'une pensée volatile et qu'une brise emporte.
Je me console encore en faisant le constat qu'il existe, sur ce forum même, plus bavards que moi, par exemple Tad, ou Denis pour ne pas les désigner. En fait, il ne s'agit que d'une illusion mathématique : Les intervention de ces amis, certes plus nombreuses, sont aussi plus concises. Je pense qu'à la ligne je décroche, sans conteste, la palme du casse-bonbons !
Bien chers amis, j'en sollicite votre pardon pour le passé, pour aujourd'hui, et bien plus encore pour demain car je le crains, la météorologie hivernale va souvent me porter au clavier d'ordinateur.
Il y a des lustres, j'avais commencé à écrire une autobiographie abandonnée au coin où les araignées tissent leurs toiles ; c'est une tare répandue chez les gens qui entrent dans la phase de leur vie qui s'apparente au soir, cette envie de vouloir se raconter, de se souvenir, de se justifier avant que d'être en cendres ou de retourner à la terre pour en être un infime constituant.
Tout ça me fait sourire car jamais je n'aurais pu tenir de tels propos hier ...
Si je reprenais ce loisir interrompu, cela vous épargnerait sans doute quelques lectures sans intérêt ! Le temps que j'y consacrerais vous libérerait d'autant !