Cyberpotes, le forum !

Robert a écrit :Ce matin me trotte en tête les paroles d'une chansonnette qu'enfant j'ai entendues. Pleines d'espoir ces paroles nous parlent de renouveau, de retour, de soleil, d'hirondelles, de renaissances.

En voici le texte, gravé dans ma mémoire ... j'ai la mémoire sélective des textes :

Quand tout renaît à l'espérance
Et que l'hiver fuit loin de nous
Sous le beau ciel de notre France
Quand le soleil revient plus doux
Quand la nature est reverdie
Quand l'hirondelle est de retour
J'aime à revoir ma Normandie
C'est le pays qui m'a donné le jour.

Frédéric Bérat.
.......................................................................................................................................................



Quand l'air porte désespérances
Et que l'été fuit loin de nous
Sous le ciel bas de notre France
Quand les gelées font les bois roux
Quand la nature est engourdie
Quand l'hirondelle fuit sans retour
Je n'aime plus ma Lorraine jolie
Et rêve d'un Eden de velours.

Peut être me sera-t-il pardonné ce pastiche de chansonnette ... Même air, autre chanson.
Si nos climats à saisons enroulées sans cessent s'enchaînent en belles rondes printemps - été- automne - hiver, nos vies sont faites comme saisons ; manque la ronde, le chemin est pour nos vies tristement linéaire.

Il faut y penser pour l'oublier. L'oubli est salutaire !

Paillon a écrit :

Robert a écrit :Ce matin me trottent en tête les paroles d'une chansonnette qu'enfant j'ai entendues. Pleines d'espoir ces paroles nous parlent de renouveau, de retour, de soleil, d'hirondelles, de renaissances.

En voici le texte, gravé dans ma mémoire ... j'ai la mémoire sélective des textes :

Quand tout renaît à l'espérance
Et que l'hiver fuit loin de nous
Sous le beau ciel de notre France
Quand le soleil revient plus doux
Quand la nature est reverdie
Quand l'hirondelle est de retour
J'aime à revoir ma Normandie
C'est le pays qui m'a donné le jour.

Frédéric Bérat.
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Quand l'air porte désespérances
Et que l'été fuit loin de nous
Sous le ciel bas de notre France
Quand les gelées font les bois roux
Quand la nature est engourdie
Quand l'hirondelle fuit sans retour
Je n'aime plus ma Lorraine jolie
Et rêve d'un Eden de velours.

Peut être me sera-t-il pardonné ce pastiche de chansonnette ... Même air, autre chanson.
Si nos climats à saisons enroulées sans cessent s'enchaînent en belles rondes printemps - été- automne - hiver, nos vies sont faites comme saisons ; manque la ronde, le chemin est pour nos vies tristement linéaire.

Il faut y penser pour l'oublier. L'oubli est salutaire !

Le docteur Tad te prescrirait un cure de lambig pour lutter contre ton spleen

Robert a écrit :Inconsciemment, le spleen d'automne fait partie des maux qui régulièrement m'assaillent ! Avec les rhumatismes !
Mais bon, il y aura peut-être encore de belles journées qui feront passer la mauvaise saison plus rapidement. En attendant, elle arrive et les arbres déjà se déshabillent, comme pour narguer les froidures naissantes.

phiphi76 a écrit :Il faut aussi savoir se dire qu'il y a pire que soit. J'ai entendu cette réflexion d'une personne qui luttait et se savait condamnée. J'ai trouvé cette phrase EXTRAORDINAIREMENT belle et forte ! J'oublierai jamais !
Il faut aussi savoir positiver cher Robert, faisons le sur cette belle sortie dans les environs d'Embrun.
( Aller, je la passe tout de même, mais ça m'énerve pas mal ! Tad va la " re-dresser ! )


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