Arts nouveaux ...
Posté : 28 juil. 2018, 06:56
Partout, sur le corps humain utilisé en guise de toile, fleurissent les tatouages ; bras, jambes, dos, torses, ventres, et tout ce que l'on ne voit pas ordinairement s'ornent de graffitis cutanés, dont le bon goût n'est pas forcément avéré.
Parfois même ces "ornements" sont complétés de "piercings", mot nouveau entré dans notre vocabulaire avec des objets ancrés dans la peau pour attirer l'oeil sur un point particulier de l'anatomie du "décoré" ...
Bien entendu, je laisse à chacun le soin de porter son appréciation sur ces manifestations artistiques modernes qui font d'ailleurs l'objet d'un commerce nouveau, avec ses boutiques tenues par des "artistes" qui vendent leur art populaire, art qui touche de plus en plus de clients. Clients pigeons ? Une expression populaire chez les malfrats dit que chaque matin se lèvent quelques uns de ces volatiles ! Et la chasse est ouverte !
Pour ma part, et ceci n'est qu'une orientation personnelle, peu pour moi, et si je devais avoir l'envie de me distinguer du commun, ce n'est pas la forme d'art que je choisirais.
Mais ne dit-on pas que "tous les goûts sont dans la nature".
Le tatouage mériterait, au vu de la ferveur populaire qu'il soulève, une étude historique et sociologique plus poussée que ces quelques phrases jetées ici en pâture à la réflexion de ceux ou celles qui me liront.
Parfois même ces "ornements" sont complétés de "piercings", mot nouveau entré dans notre vocabulaire avec des objets ancrés dans la peau pour attirer l'oeil sur un point particulier de l'anatomie du "décoré" ...
Bien entendu, je laisse à chacun le soin de porter son appréciation sur ces manifestations artistiques modernes qui font d'ailleurs l'objet d'un commerce nouveau, avec ses boutiques tenues par des "artistes" qui vendent leur art populaire, art qui touche de plus en plus de clients. Clients pigeons ? Une expression populaire chez les malfrats dit que chaque matin se lèvent quelques uns de ces volatiles ! Et la chasse est ouverte !
Pour ma part, et ceci n'est qu'une orientation personnelle, peu pour moi, et si je devais avoir l'envie de me distinguer du commun, ce n'est pas la forme d'art que je choisirais.
Mais ne dit-on pas que "tous les goûts sont dans la nature".
Le tatouage mériterait, au vu de la ferveur populaire qu'il soulève, une étude historique et sociologique plus poussée que ces quelques phrases jetées ici en pâture à la réflexion de ceux ou celles qui me liront.