Ni droite, ni gauche ...
Posté : 15 oct. 2018, 07:53
La vie politique actuelle est pleine d'aléas.
Longtemps, depuis que j'ai accès au vote, ce qui date de mes vingt et un ans, tout avait été d'abord relativement simple, simplifié, pour ne pas dire simpliste ; il y avait la droite et la gauche, avec les options fondamentales propres à deux familles de pensée, de philosophie sociale en vérités énoncées totalement opposées.
D'un côté le libéralisme économique, de l'autre un étatisme très présent. D'un côté l'école dite libre et confessionnelle, de l'autre l'école publique. D'un côté un grand secteur d'entreprises étatisées, de l'autre leur privatisation (transports, énergies, secteur bancaire, télécommunications etc ...).
En un mot, des options contraires et inconciliables.
En deux décennies, l'état a perdu la presque totalité de ses bijoux de famille, ; désormais, tout est privatisé. Ne restent de nationales que la police et l'armée ... et encore.
Pour faire passer la pilule du tout libéral, le ni droite ni gauche du président Macron et de sa république en marche arrière ont été chargés par les électeurs de diriger le pays.
Les options de droite règnent totalement avec un corps électoral complètement démobilisé.
Je crains fort que pour les prochaines consultations ce soit le parti de l'abstention qui domine le paysage politique.
Et le grand désappointement des citoyens m'inquiète.
Droite et gauche se liquéfient en querelles de personnes, conflits d'arrière garde de peu d'intérêt. Nous en sommes au ni droite, ni gauche, le cul entre deux chaises, pour quel avenir ?
Longtemps, depuis que j'ai accès au vote, ce qui date de mes vingt et un ans, tout avait été d'abord relativement simple, simplifié, pour ne pas dire simpliste ; il y avait la droite et la gauche, avec les options fondamentales propres à deux familles de pensée, de philosophie sociale en vérités énoncées totalement opposées.
D'un côté le libéralisme économique, de l'autre un étatisme très présent. D'un côté l'école dite libre et confessionnelle, de l'autre l'école publique. D'un côté un grand secteur d'entreprises étatisées, de l'autre leur privatisation (transports, énergies, secteur bancaire, télécommunications etc ...).
En un mot, des options contraires et inconciliables.
En deux décennies, l'état a perdu la presque totalité de ses bijoux de famille, ; désormais, tout est privatisé. Ne restent de nationales que la police et l'armée ... et encore.
Pour faire passer la pilule du tout libéral, le ni droite ni gauche du président Macron et de sa république en marche arrière ont été chargés par les électeurs de diriger le pays.
Les options de droite règnent totalement avec un corps électoral complètement démobilisé.
Je crains fort que pour les prochaines consultations ce soit le parti de l'abstention qui domine le paysage politique.
Et le grand désappointement des citoyens m'inquiète.
Droite et gauche se liquéfient en querelles de personnes, conflits d'arrière garde de peu d'intérêt. Nous en sommes au ni droite, ni gauche, le cul entre deux chaises, pour quel avenir ?