Rapatrier nos djihadistes ?
Posté : 01 févr. 2019, 07:41
La question est posée.
Faut-il rapatrier nos djihadistes émigrés en Syrie pour prêter main forte à nos ennemis aux fins d'établir la république islamique universelle ?
Voilà des gens qui ont choisi leur camp, sont allés vers ceux qui commettent d'injustifiables attentats aveugles au nom d'une république qui n'a pas grand chose à voir avec la nôtre qui est laïque ; ils se sont voués à Allah.
Allah est grand, ils le disent. Alors je serais tenté de pencher vers cette solution : Qu'allah s'occupe de leur sort et qu'ils soient jugés sur le territoire de leurs crimes.
Et s'ils devaient revenir, ce serait en prison, bien entendu. Ils ne sauraient être exécutés pour la raison unique que la peine de mort n'a pas cours chez nous, contrairement à ce qui est la règle dans les régimes dont ils se réclament.
Restent leurs enfants qui eux, ne sont responsables de rien, certes. Mais comment rapatrier les enfants en laissant leurs parents en Syrie ou en les confinant dans nos prisons ?
Encore un problème qui, une fois posé, n'a pas de solution.
Faut-il rapatrier nos djihadistes émigrés en Syrie pour prêter main forte à nos ennemis aux fins d'établir la république islamique universelle ?
Voilà des gens qui ont choisi leur camp, sont allés vers ceux qui commettent d'injustifiables attentats aveugles au nom d'une république qui n'a pas grand chose à voir avec la nôtre qui est laïque ; ils se sont voués à Allah.
Allah est grand, ils le disent. Alors je serais tenté de pencher vers cette solution : Qu'allah s'occupe de leur sort et qu'ils soient jugés sur le territoire de leurs crimes.
Et s'ils devaient revenir, ce serait en prison, bien entendu. Ils ne sauraient être exécutés pour la raison unique que la peine de mort n'a pas cours chez nous, contrairement à ce qui est la règle dans les régimes dont ils se réclament.
Restent leurs enfants qui eux, ne sont responsables de rien, certes. Mais comment rapatrier les enfants en laissant leurs parents en Syrie ou en les confinant dans nos prisons ?
Encore un problème qui, une fois posé, n'a pas de solution.