Exaspération ...
Posté : 18 janv. 2020, 14:05
Ce samedi est illustré par trois faits divers :
- L'occupation des locaux du syndicat mollasson (la CFDT)
- L'incendie du restaurant parisien que le président Macron fréquente et où il a fêté son élection
- Enfin la perturbation du spectacle théâtral auquel assistaient hier soir le dit président et son épouse.
Trois faits divers au demeurant sans importance, si ce n'est qu'ils sont révélateurs de l'exaspération d'une frange de la société. Ces trois évènements ont en commun cette cause unique.
Il y a eu l'épisode "gilets jaunes", pendant une année, que nos gouvernants ont traité par le mépris en le laissant s'étioler au fil des mois.
Même politique pour les grèves causées par la réforme du régime des retraites : On attend patiemment le pourrissement de la situation pour imposer une solution de régression sociale cachée dans les cartons du libéralisme qui nous gouverne.
On peut ainsi mimer d'être sourd et aveugle, pratiquer la politique du pire au bénéfice des nantis pendant un certain temps ; nos gouvernants risquent fort de connaître les lendemains qui déchantent.
Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se brise.
Le paysage politique et les perspectives électorales qui en découlent laissent à l'électeur trois possibilités de choix : La marinade RN, les revenants de la clique de Sarko, enfin la république en marche arrière qui tient actuellement les rênes.
On comprend facilement que dans ce contexte, des grincements sourds soient perceptible.
- L'occupation des locaux du syndicat mollasson (la CFDT)
- L'incendie du restaurant parisien que le président Macron fréquente et où il a fêté son élection
- Enfin la perturbation du spectacle théâtral auquel assistaient hier soir le dit président et son épouse.
Trois faits divers au demeurant sans importance, si ce n'est qu'ils sont révélateurs de l'exaspération d'une frange de la société. Ces trois évènements ont en commun cette cause unique.
Il y a eu l'épisode "gilets jaunes", pendant une année, que nos gouvernants ont traité par le mépris en le laissant s'étioler au fil des mois.
Même politique pour les grèves causées par la réforme du régime des retraites : On attend patiemment le pourrissement de la situation pour imposer une solution de régression sociale cachée dans les cartons du libéralisme qui nous gouverne.
On peut ainsi mimer d'être sourd et aveugle, pratiquer la politique du pire au bénéfice des nantis pendant un certain temps ; nos gouvernants risquent fort de connaître les lendemains qui déchantent.
Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se brise.
Le paysage politique et les perspectives électorales qui en découlent laissent à l'électeur trois possibilités de choix : La marinade RN, les revenants de la clique de Sarko, enfin la république en marche arrière qui tient actuellement les rênes.
On comprend facilement que dans ce contexte, des grincements sourds soient perceptible.
Il reste le choix du vote blanc que j'ai oublié ... n'est-ce pas Veloblan ! 
