De fiction en réalité ...
Posté : 10 mars 2020, 06:27
Divagations … autour du virus.
C’est un petit matin gris et pluvieux de mars et la ligne de mon horizon ne s’éclairera pas aujourd’hui. Tout ruisselle et dégouline. Je m’approche de la croisée close de mon bureau … Intrigué, j’écrase mon nez sur le carreau et ce que je vois me donne un frisson.
Des armadas infinies de virus volent et virevoltent sur la ville encore endormie dans l’air humide d’un printemps dans les limbes. Oui, je les reconnais ces êtres malfaisants : Ce sont des coronavirus, baptisés « Covid 19 », une appellation mathématique et scientifique, presque poétique, qui ne cache pas l’horreur que ces bestioles inspirent.
Toutes de griffes et de dents acérées, de regards mauvais par des yeux pédonculés, informes et noires de deuil, suant et crachant la haine, soudain elles s’avisent de ma présence.
Et de se ruer vers moi … inutilement, puisque le verre me préserve.
Mais voilà que j’y pense. L’armée des coronavirus va s’infiltrer dans la maison par l’interstice laissé sous ma porte.
En un éclair, je cours chercher un aspirateur, le mets en marche, balaie le passage possible de l’immonde invasion.
Voilà mon outil ménager grouillant d’indésirables agressifs …
Et Maintenant que vais-je faire ?
Rien, puisqu’heureusement je m’éveille de ce cauchemar kafkaïen !
……………..
... Pour entendre sur les ondes cette nouvelle, alors que je viens de mettre en service mon poste de radio : Dans un meeting de campagne pour la conquête de la mairie de Paris, Rachida Dati et un revenant de triste mémoire, Nicolas Sarkozy, se sont embrassés sur la scène de leur cauchemardesque spectacle électoral, se communicant ainsi une insaisissable maladie appelée « droite réactionnaire » !
Le coronavirus n’est-il pas là ?
Car souvent la réalité dépasse à peine les fictions !
C’est un petit matin gris et pluvieux de mars et la ligne de mon horizon ne s’éclairera pas aujourd’hui. Tout ruisselle et dégouline. Je m’approche de la croisée close de mon bureau … Intrigué, j’écrase mon nez sur le carreau et ce que je vois me donne un frisson.
Des armadas infinies de virus volent et virevoltent sur la ville encore endormie dans l’air humide d’un printemps dans les limbes. Oui, je les reconnais ces êtres malfaisants : Ce sont des coronavirus, baptisés « Covid 19 », une appellation mathématique et scientifique, presque poétique, qui ne cache pas l’horreur que ces bestioles inspirent.
Toutes de griffes et de dents acérées, de regards mauvais par des yeux pédonculés, informes et noires de deuil, suant et crachant la haine, soudain elles s’avisent de ma présence.
Et de se ruer vers moi … inutilement, puisque le verre me préserve.
Mais voilà que j’y pense. L’armée des coronavirus va s’infiltrer dans la maison par l’interstice laissé sous ma porte.
En un éclair, je cours chercher un aspirateur, le mets en marche, balaie le passage possible de l’immonde invasion.
Voilà mon outil ménager grouillant d’indésirables agressifs …
Et Maintenant que vais-je faire ?
Rien, puisqu’heureusement je m’éveille de ce cauchemar kafkaïen !
……………..
... Pour entendre sur les ondes cette nouvelle, alors que je viens de mettre en service mon poste de radio : Dans un meeting de campagne pour la conquête de la mairie de Paris, Rachida Dati et un revenant de triste mémoire, Nicolas Sarkozy, se sont embrassés sur la scène de leur cauchemardesque spectacle électoral, se communicant ainsi une insaisissable maladie appelée « droite réactionnaire » !
Le coronavirus n’est-il pas là ?
Car souvent la réalité dépasse à peine les fictions !