Il faut faire "VIE QUI DURE" ...
Posté : 23 nov. 2020, 07:23
Aujourd'hui me remonte en mémoire cette formule de ma grand-mère Lucie, la bien prénommée. Lucie a pour racine latine le mot lumière. Et ses mots reprennent aujourd'hui tout leur sens ... Il faut faire "vie qui dure" ...
Au sortir de la seconde guerre mondiale, cette formule était lourde de signification : Le gâteau à se partager étant petit, la part de chacun étant réduite, il convenait d'économiser au mieux les ressources.
Nous sortons d'une période de folle expansion où les dernières générations ont lâché les freins de la modération. A l'exemple de nos cousins d'outre-Atlantique, nous avons consommé sans frein, jusqu'au gaspillage, dans un contexte totalement inégalitaire, par ailleurs. Les riches avaient oublié qu'il existe des pauvres, que les ressources de la planètes sont limitées et qu'en conséquence, il convient de les économiser d'abord, de les partager de manière plus égalitaire d'autre part.
Les méfaits de la surconsommation nous sont révélés aujourd'hui par une bestiole unicellulaire et microscopique baptisée Covid.
Apparaissent des évidences comme le dérèglement climatique, la pauvreté inégalitaire croissante qu'un virus révèle ; certes nous savions, mais, comme l'autruche absurde qui met sa tête sous son aile pour ne pas percevoir le danger, nous pensions pouvoir attendre ...
C'est fini !
Et la presse de nous révéler qu'un français sur six vit sous le seuil dit de pauvreté ... et que le virus aura pour conséquence prochaine, par chômage interposé, d'augmenter sensiblement cette effrayante statistique.
Oui, bien chers contemporains, il est revenu le tempos de faire "VIE QUI DURE" ... temps qu'ont connu nos ancêtres, dans tous les âges.
Au sortir de la seconde guerre mondiale, cette formule était lourde de signification : Le gâteau à se partager étant petit, la part de chacun étant réduite, il convenait d'économiser au mieux les ressources.
Nous sortons d'une période de folle expansion où les dernières générations ont lâché les freins de la modération. A l'exemple de nos cousins d'outre-Atlantique, nous avons consommé sans frein, jusqu'au gaspillage, dans un contexte totalement inégalitaire, par ailleurs. Les riches avaient oublié qu'il existe des pauvres, que les ressources de la planètes sont limitées et qu'en conséquence, il convient de les économiser d'abord, de les partager de manière plus égalitaire d'autre part.
Les méfaits de la surconsommation nous sont révélés aujourd'hui par une bestiole unicellulaire et microscopique baptisée Covid.
Apparaissent des évidences comme le dérèglement climatique, la pauvreté inégalitaire croissante qu'un virus révèle ; certes nous savions, mais, comme l'autruche absurde qui met sa tête sous son aile pour ne pas percevoir le danger, nous pensions pouvoir attendre ...
C'est fini !
Et la presse de nous révéler qu'un français sur six vit sous le seuil dit de pauvreté ... et que le virus aura pour conséquence prochaine, par chômage interposé, d'augmenter sensiblement cette effrayante statistique.
Oui, bien chers contemporains, il est revenu le tempos de faire "VIE QUI DURE" ... temps qu'ont connu nos ancêtres, dans tous les âges.