Chapitre confidences.
Posté : 03 juil. 2009, 15:29
Bonjour à tous.
Je viens de subir un échec.
Je n'ai pas cherché dans mon "petit Robert" la définition de ce mot douloureux. J'en donne donc une définition, simple pour ne pas dire simpliste : Un échec, c'est renoncer au projet que l'on avait formé.
J'avais l'intention de me confronter aux exigences du DFU élémentaire des quatre cols (Pontis, St Jean, Allos et Bonnette), et j'ai renoncé sans même essayer. Dans un passé pas si lointain, j'ai bouclé souvent des randos dans ce style et je dois à la vérité de dire que le DFU n'était pas dans mes cordes cette année ... et ne le sera probablement plus jamais. Je le dis sans amertume, juste avec une pointe de nostalgie positive ; en effet, je trouve à la nostalgie un caractère positif lorsque l'on songe à tous les bonheurs que le vélo a pu nous donner.
C'est une image publicitaire qui m'a frappé et qu'il m'est déjà arrivé d'exploiter. C'est l'histoire de la pile "machin" qui anime des petits jouets. Tous les jouets s'immobilisent alors que le jouet animé par la pile "machin" continue sa ronde ... Quand bien même serait-on animé par la pile machin, vient le jour où notre potentiel énergétique diminue inéluctablement. Le dernier jouet s'arrêtera aussi. Voilà la leçon universelle que le DFU vient de me donner, leçon que je prends avec sagesse et mesure.
Dorénavant je devrai savoir me contenter du possible ; tels les loups prenant de l'âge et qui ont le bon sens de devenir solitaires plutôt que d'être confrontés à la meute, je me baladerais en solitaire, comme je l'ai fait au DFU, et ce, avec un grand plaisir.
Et je compte bien profiter encore du reste d'énergie dont je dispose.
Et pardonnez moi ce petit bout de philosophie existentielle.
Je viens de subir un échec.
Je n'ai pas cherché dans mon "petit Robert" la définition de ce mot douloureux. J'en donne donc une définition, simple pour ne pas dire simpliste : Un échec, c'est renoncer au projet que l'on avait formé.
J'avais l'intention de me confronter aux exigences du DFU élémentaire des quatre cols (Pontis, St Jean, Allos et Bonnette), et j'ai renoncé sans même essayer. Dans un passé pas si lointain, j'ai bouclé souvent des randos dans ce style et je dois à la vérité de dire que le DFU n'était pas dans mes cordes cette année ... et ne le sera probablement plus jamais. Je le dis sans amertume, juste avec une pointe de nostalgie positive ; en effet, je trouve à la nostalgie un caractère positif lorsque l'on songe à tous les bonheurs que le vélo a pu nous donner.
C'est une image publicitaire qui m'a frappé et qu'il m'est déjà arrivé d'exploiter. C'est l'histoire de la pile "machin" qui anime des petits jouets. Tous les jouets s'immobilisent alors que le jouet animé par la pile "machin" continue sa ronde ... Quand bien même serait-on animé par la pile machin, vient le jour où notre potentiel énergétique diminue inéluctablement. Le dernier jouet s'arrêtera aussi. Voilà la leçon universelle que le DFU vient de me donner, leçon que je prends avec sagesse et mesure.
Dorénavant je devrai savoir me contenter du possible ; tels les loups prenant de l'âge et qui ont le bon sens de devenir solitaires plutôt que d'être confrontés à la meute, je me baladerais en solitaire, comme je l'ai fait au DFU, et ce, avec un grand plaisir.
Et je compte bien profiter encore du reste d'énergie dont je dispose.
Et pardonnez moi ce petit bout de philosophie existentielle.