L'album de Novembre d'il y a déjà 5 ans !!! Quoi ?!!!!
Posté : 11 nov. 2010, 20:06
Et oui....
Nous sommes en novembre, c'est l'automne, le vrai, celui qui fait froid, qui voit les arbres se dénuder et nous nous rhabiller !
Alors pour conjurer le sort inévitable qui nous attend tous... Nos collants moulants et autre GoreTex de rigueur, nos gants et nos surchaussures qui nous fait ressembler davantage à des hommes grenouilles qu'à des cyclistes ! Je vous propose un grosse séance de rattrapage avec un duo mexicain absolument incroyable.
Leur nom ? Rogrigo y Gabriela
Voilà quelques mois déjà, je les ai découvert sur FIP, comme souvent, cette radio ne lésine jamais sur une musique exigeante et originale.
Quelques séance YouTube plus tard, j'avais vu le jeune duo reprendre LedZeplin, Metallica et jouer leur compo : mélangeant avec une rare subtilité le flamenco des plus grandes heures de Paco de Lucia (qui fait d'ailleurs sa tournée d'adieu en France en ce moment), le rock et une pop particulièrement échevelée des plus audacieuses.
Il ne m'en fallait pas moins pour aller acheter leur album sur iTunes qui à ma grande surprise est " bradé " à 5,99 Euros ! Pourquoi donc s'en priver.
Cette musique n'est visiblement pas distribuée encore en France et je pense qu'il faut vraiment s'y intéressé.
Si vous aimez le Flamenco, si vous aimez, la musique jouée avec une grande virtuosité, mais surtout si vous vibrez à l'intensité d'un jeu sincère et particulièrement vibrant, alors vous ne serez pas déçu des ce DUO.
Tout d'abord la maîtrise est parfaite, mais si il ne s'agissait que de virtuosité, on se lasserait.
La virtuosité n'est que prétexte à des mélodies incroyables et enlevées, lumineuses et scintillantes.
J'en veux pour preuve l'ouverture de l'album " Tamacun " (du surnom de l'homme qui protège les derniers crocodiles de Ixtapa) qui va sans doute vous faire siffloter sous votre douche pendant un long moment ! Sautillant, bondissant, le Mexique et ses crocos vous accueillent et quel accueil !
Rythmiquement, c'est Gabriela qui donne le tempo et là, ça ne rigole pas. Sa guitare est une Percu musicale, rythmique limite rock et pourtant mélodieuse. Cela vous laisse bouche bée ! " VikingMan " qui est le souvenir d'un sans abris au Dannemark et ses conseils de lutte contre le froid, offre aussi une belle ritournelle !
"Diablo Rojo" pour une attraction qui vous rend rouge comme une tomate est est titre parcussif aussi !
Et puis, viens... Une reprise de Led Zeppelin, une des plus inspirées qui m'est eu l'occasion d'entendre, comme si ce titre avait été écrit pour la guitare classique !
Stearway to Heaven, sera sans doute le titre qui vous éblouira, mais il se trouve dans l'album au bon endroit, comme pour nous dire que pour grimper au paradis, il faut bien continuer notre écoute !
Et le Paradis n'est donc pas si loin, puisque la reprise d'Orion de Metalica est juste une preuve que l'on peut être le plus grand groupe de musique métal au monde, et saisir toute l'amplitude d'une mélodie... Spaciale, aérienne et pourtant profondément encré dans le rock le plus dur ! C'est sans doute tout l'intérêt de cet album de ce duo qui s'engage à ne pas rester dans le confort de la virtuosité acquise, mais bien dans une recherche d'être funambule entre mélodie, énergie, et qui sans parole nous fait partager leur Mexique, l'influence latine, l'influence de HARD ROCK, et tout cela dans un CHILI des plus digeste, et franchement c'est assez incongru pour être souligné.
J'apprends alors que j'écris cette chronique, que le duo se produit le 19 novembre au Zénith de Paris !
Dommage, la salle est un pot de yaourt et ne rendra pas la chaleur de cette musique qui mérite une salle plus chaleureuse et plus " feutrée " sans pour autant négliger le côté Rock... Un Elysée Montmartre, même l'Olympia ! Les tourneurs en France ne comprennent pas grand chose... Il aurait mieux valu 3 dates à l'Elysée, qu'une seule au Yaourt de la Villette où l'on tranchait le lard.
Bref, en attendant leur passage dans une salle plus appropriée, je vous conseille le téléchargement de leur album, avec en prime une petite vidéo master class, où le duo vous montrera quelques techniques qu'ils utilisent... Et où Rodrigo confirme le métissage recherchée dans leur musique essentiellement influencée par la scène Trash métal des années 80 !
Tout arrive donc, dans cette chronique délaissée un peu trop longtemps... Mais on doit se réchauffer alors, à vos cordes et roulez mes amigos à vélos !
Nous sommes en novembre, c'est l'automne, le vrai, celui qui fait froid, qui voit les arbres se dénuder et nous nous rhabiller !
Alors pour conjurer le sort inévitable qui nous attend tous... Nos collants moulants et autre GoreTex de rigueur, nos gants et nos surchaussures qui nous fait ressembler davantage à des hommes grenouilles qu'à des cyclistes ! Je vous propose un grosse séance de rattrapage avec un duo mexicain absolument incroyable.
Leur nom ? Rogrigo y Gabriela
Voilà quelques mois déjà, je les ai découvert sur FIP, comme souvent, cette radio ne lésine jamais sur une musique exigeante et originale.
Quelques séance YouTube plus tard, j'avais vu le jeune duo reprendre LedZeplin, Metallica et jouer leur compo : mélangeant avec une rare subtilité le flamenco des plus grandes heures de Paco de Lucia (qui fait d'ailleurs sa tournée d'adieu en France en ce moment), le rock et une pop particulièrement échevelée des plus audacieuses.
Il ne m'en fallait pas moins pour aller acheter leur album sur iTunes qui à ma grande surprise est " bradé " à 5,99 Euros ! Pourquoi donc s'en priver.
Cette musique n'est visiblement pas distribuée encore en France et je pense qu'il faut vraiment s'y intéressé.
Si vous aimez le Flamenco, si vous aimez, la musique jouée avec une grande virtuosité, mais surtout si vous vibrez à l'intensité d'un jeu sincère et particulièrement vibrant, alors vous ne serez pas déçu des ce DUO.
Tout d'abord la maîtrise est parfaite, mais si il ne s'agissait que de virtuosité, on se lasserait.
La virtuosité n'est que prétexte à des mélodies incroyables et enlevées, lumineuses et scintillantes.
J'en veux pour preuve l'ouverture de l'album " Tamacun " (du surnom de l'homme qui protège les derniers crocodiles de Ixtapa) qui va sans doute vous faire siffloter sous votre douche pendant un long moment ! Sautillant, bondissant, le Mexique et ses crocos vous accueillent et quel accueil !
Rythmiquement, c'est Gabriela qui donne le tempo et là, ça ne rigole pas. Sa guitare est une Percu musicale, rythmique limite rock et pourtant mélodieuse. Cela vous laisse bouche bée ! " VikingMan " qui est le souvenir d'un sans abris au Dannemark et ses conseils de lutte contre le froid, offre aussi une belle ritournelle !
"Diablo Rojo" pour une attraction qui vous rend rouge comme une tomate est est titre parcussif aussi !
Et puis, viens... Une reprise de Led Zeppelin, une des plus inspirées qui m'est eu l'occasion d'entendre, comme si ce titre avait été écrit pour la guitare classique !
Stearway to Heaven, sera sans doute le titre qui vous éblouira, mais il se trouve dans l'album au bon endroit, comme pour nous dire que pour grimper au paradis, il faut bien continuer notre écoute !
Et le Paradis n'est donc pas si loin, puisque la reprise d'Orion de Metalica est juste une preuve que l'on peut être le plus grand groupe de musique métal au monde, et saisir toute l'amplitude d'une mélodie... Spaciale, aérienne et pourtant profondément encré dans le rock le plus dur ! C'est sans doute tout l'intérêt de cet album de ce duo qui s'engage à ne pas rester dans le confort de la virtuosité acquise, mais bien dans une recherche d'être funambule entre mélodie, énergie, et qui sans parole nous fait partager leur Mexique, l'influence latine, l'influence de HARD ROCK, et tout cela dans un CHILI des plus digeste, et franchement c'est assez incongru pour être souligné.
J'apprends alors que j'écris cette chronique, que le duo se produit le 19 novembre au Zénith de Paris !
Dommage, la salle est un pot de yaourt et ne rendra pas la chaleur de cette musique qui mérite une salle plus chaleureuse et plus " feutrée " sans pour autant négliger le côté Rock... Un Elysée Montmartre, même l'Olympia ! Les tourneurs en France ne comprennent pas grand chose... Il aurait mieux valu 3 dates à l'Elysée, qu'une seule au Yaourt de la Villette où l'on tranchait le lard.
Bref, en attendant leur passage dans une salle plus appropriée, je vous conseille le téléchargement de leur album, avec en prime une petite vidéo master class, où le duo vous montrera quelques techniques qu'ils utilisent... Et où Rodrigo confirme le métissage recherchée dans leur musique essentiellement influencée par la scène Trash métal des années 80 !
Tout arrive donc, dans cette chronique délaissée un peu trop longtemps... Mais on doit se réchauffer alors, à vos cordes et roulez mes amigos à vélos !