de retour
Posté : 19 nov. 2010, 19:29
A propos de cette expression « à bâtons rompus » , l'origine reste obscure, je cite :
« Elle pourrait remonter au Moyen-âge où on appelait « bâtons rompus » une tapisserie dont le motif n'était pas un dessin régulier, mais des bâtons entremêlés.
Mais elle viendrait plus probablement du domaine militaire où, battre du tambour « à bâtons rompus », c'était donner deux coups successifs de chaque baguette, sans produire de roulement continu ».
Quant à mon absence de ces 15 derniers jours, elle correspond à une série noire comme on en a tous dans une année. D’abord, cela a commencé avec les ennuis de santé d’un de mes proches qui nous fait une grosse frayeur. Ensuite, dans un instant de panique, j’ai oublié de plier les genoux en me baissant alors ça à claquer vers les premières vertèbres et j’ai le bas du dos en compote et pour finir voilà donc pas que nos responsables ont décidé de nous pourrir la vie à moi et à mes collègues.
Pour le mal de dos, c’est assez douloureux. J’avais déjà donné en mai 2009 en coupant des branches sur une échelle. Lors d’une acrobatie un peu osée pour mon âge qui s’était suivie d’une torsion trop importante du bas de la colonne. Cela m’était arrivée une semaine avant la Claudio Chiappucci et j’avais souffert à la cyclo. Là, je ne suis pas allée voir le médecin, j’ai repris les mêmes médocs, un antalgique à base de paracétamol mais pas d’anti-inflammatoire ce qui est sûrement un tort. Je suis retournée hier soir à la salle de sport où je me suis contentée d’une demi-heure d’elliptique histoire de suer un peu et d’une série à la poulie haute peu chargée pour étirer le dos et c’est tout. Hier soir, j’étais plutôt bien mais depuis midi c’est reparti. La voiture n’arrange rien. Lundi, j’ai fait l’aller retour à Orléans surtout pour y entendre ce que j’y ai entendu. Cet après midi, je suis allée déposer un gros contrat à un client. Descendre et remonter de la voiture en se contorsionnant est une étape pénible. En ce moment, la seule position qui me soulage c’est allongée sur mon lit avec l’ordi sur les genoux (genoux repliés) , là c’est parfait mais bon ça fait pas sérieux.
J’espère remonter sur le vélo demain « pour m’aérer les boyaux de la tête » expression Tadesque reprise récemment par le Sudiste.
En plus, il me reste 2 arbres à planter dans le verger et c’est bientôt la Sainte Catherine alors il faut absolument que je reprenne les rênes de mon quotidien.
« Elle pourrait remonter au Moyen-âge où on appelait « bâtons rompus » une tapisserie dont le motif n'était pas un dessin régulier, mais des bâtons entremêlés.
Mais elle viendrait plus probablement du domaine militaire où, battre du tambour « à bâtons rompus », c'était donner deux coups successifs de chaque baguette, sans produire de roulement continu ».
Quant à mon absence de ces 15 derniers jours, elle correspond à une série noire comme on en a tous dans une année. D’abord, cela a commencé avec les ennuis de santé d’un de mes proches qui nous fait une grosse frayeur. Ensuite, dans un instant de panique, j’ai oublié de plier les genoux en me baissant alors ça à claquer vers les premières vertèbres et j’ai le bas du dos en compote et pour finir voilà donc pas que nos responsables ont décidé de nous pourrir la vie à moi et à mes collègues.

Pour le mal de dos, c’est assez douloureux. J’avais déjà donné en mai 2009 en coupant des branches sur une échelle. Lors d’une acrobatie un peu osée pour mon âge qui s’était suivie d’une torsion trop importante du bas de la colonne. Cela m’était arrivée une semaine avant la Claudio Chiappucci et j’avais souffert à la cyclo. Là, je ne suis pas allée voir le médecin, j’ai repris les mêmes médocs, un antalgique à base de paracétamol mais pas d’anti-inflammatoire ce qui est sûrement un tort. Je suis retournée hier soir à la salle de sport où je me suis contentée d’une demi-heure d’elliptique histoire de suer un peu et d’une série à la poulie haute peu chargée pour étirer le dos et c’est tout. Hier soir, j’étais plutôt bien mais depuis midi c’est reparti. La voiture n’arrange rien. Lundi, j’ai fait l’aller retour à Orléans surtout pour y entendre ce que j’y ai entendu. Cet après midi, je suis allée déposer un gros contrat à un client. Descendre et remonter de la voiture en se contorsionnant est une étape pénible. En ce moment, la seule position qui me soulage c’est allongée sur mon lit avec l’ordi sur les genoux (genoux repliés) , là c’est parfait mais bon ça fait pas sérieux.

J’espère remonter sur le vélo demain « pour m’aérer les boyaux de la tête » expression Tadesque reprise récemment par le Sudiste.
En plus, il me reste 2 arbres à planter dans le verger et c’est bientôt la Sainte Catherine alors il faut absolument que je reprenne les rênes de mon quotidien.