Ce retour de prédateurs ne va pas sans poser de problèmes à nos éleveurs, éleveurs d'ovins en particulier, ovins dont loups et ours sont friands.
Sans compter que pour le retour de l'ours, en particulier, il conviendrait de réserver des espaces d'où seraient exclus les randonneurs pédestres, dans les Pyrénées, en particulier.
Dans ce débat, je prends délibérément parti, tout en sachant que mon point de vue ne fait pas l'unanimité : Je suis contre la réintroduction artificielle et la protection de certaines espèces animales. En effet, s'ils ont disparu de certaines régions, c'est que ces animaux ne peuvent cohabiter avec des populations humaines en constante augmentation. Pour faire une place à ces grands prédateurs que sont le loup et l'ours, il faudrait, au préalable, réduire les populations humaines ... et ça n'est guère dans l'air du temps.
Et de me ranger du côté des bergers : Le loup et l'ours n'ont pas vocation à cohabiter avec les troupeaux de moutons dans nos massifs montagneux. Le loup est désormais présent, même en plaine, à force d'être protégé.
Le débat peut s'ouvrir !
