Sorties mémorables

[Lolo90]

Les rapports entre cyclistes et chiens pourraient faire l'objet d'un roman infini.

Qui d'entre nous n'a été l'objet de la vindicte d'un canidé ? Personne, je pense, et là dessus, j'en connais un rayon.
D'ailleurs à Embrun, tous les chiens sont libres ! On ne vend pas beaucoup de laisses en montagne !

Les chiens de là-bas sont d'humeur variable. Tantôt, ils roupillent sur l'asphalte et te regardent passer, l'oeil à peine ouvert ; mais parfois, ils te prennent pour un mouton égaré, s'y mettent à plusieurs pour te ramener au troupeau ... et là, mieux vaut être en descente pour filer rapidement à l'anglaise à la première occasion ; dans le cas d'une montée, mieux vaut s'arrêter et mettre ta bécane entre toi et leurs appétits, dans l'attente hypothétique d'un maître pour te libérer !

Au moins ça te motive pour monter les bosses un peu plus vite que d'habitude
Il faut te faire une fois par semaine une sortie chiens

Pensez à nos amis canadiens, eux ce sont des ours qu'ils rencontrent

[Robert]

Les rapports entre cyclistes et chiens pourraient faire l'objet d'un roman infini.

Qui d'entre nous n'a été l'objet de la vindicte d'un canidé ? Personne, je pense, et là dessus, j'en connais un rayon.
D'ailleurs à Embrun, tous les chiens sont libres ! On ne vend pas beaucoup de laisses en montagne !

Les chiens de là-bas sont d'humeur variable. Tantôt, ils roupillent sur l'asphalte et te regardent passer, l'oeil à peine ouvert ; mais parfois, ils te prennent pour un mouton égaré, s'y mettent à plusieurs pour te ramener au troupeau ... et là, mieux vaut être en descente pour filer rapidement à l'anglaise à la première occasion ; dans le cas d'une montée, mieux vaut s'arrêter et mettre ta bécane entre toi et leurs appétits, dans l'attente hypothétique d'un maître pour te libérer !

Au moins ça te motive pour monter les bosses un peu plus vite que d'habitude
Il faut te faire une fois par semaine une sortie chiens

Pensez à nos amis canadiens, eux ce sont des ours qu'ils rencontrent

Effectivement ! Par bonheur je n'ai jamais rencontré un grizzli, sans quoi, de toutes manières je ne serai plus là pour raconter l'aventure.
Juste quelques petites cicatrices de dents de roquets.

[callune]

Les rapports entre cyclistes et chiens pourraient faire l'objet d'un roman infini.

Qui d'entre nous n'a été l'objet de la vindicte d'un canidé ? Personne, je pense, et là dessus, j'en connais un rayon.
D'ailleurs à Embrun, tous les chiens sont libres ! On ne vend pas beaucoup de laisses en montagne !

Les chiens de là-bas sont d'humeur variable. Tantôt, ils roupillent sur l'asphalte et te regardent passer, l'oeil à peine ouvert ; mais parfois, ils te prennent pour un mouton égaré, s'y mettent à plusieurs pour te ramener au troupeau ... et là, mieux vaut être en descente pour filer rapidement à l'anglaise à la première occasion ; dans le cas d'une montée, mieux vaut s'arrêter et mettre ta bécane entre toi et leurs appétits, dans l'attente hypothétique d'un maître pour te libérer !

Au moins ça te motive pour monter les bosses un peu plus vite que d'habitude
Il faut te faire une fois par semaine une sortie chiens

Pensez à nos amis canadiens, eux ce sont des ours qu'ils rencontrent

[Denis]

2 sorties mémorables me viennent à l’esprit...
Un DFU, je ne sais plus lequel, ou l’on passait encore par le col de Pontis et Saint Jean. La Bonette était surmontée d’épais nuages, et la chaleur dans la vallée était accablante, l’orage se préparait. Mais je voulais terminer en beauté!
Pour ce qui la connaissent, j’étais accompagné de Ghislaine, qui ne voulait pas faire d’arrêt au gîte de peur de ne plus repartir. J’ai donc laissé le petit sac prévu en cas d’orage...
La montée jusque là Halte 2000 était plutôt agréable, puis une petite pluie fine a commencé à nous accompagner, et après, l’enfer jusqu’au sommet: orage, grêle... Qu’est ce qu’on se sent tout petit quand le tonnerre fait écho dans les montagnes environnantes... Arrivée en haut sous la grêle, pensant que le pire était derrière nous... Mais le pire nous attendait: la grêle a redoublé, le vent, et on avait encore plus froid. Plus moyen de freiner tellement les doigts étaient gelés. Bref, la descente la plus dure que j’ai connu, à part peut être un Ventoux lors des Ventoux Master Séries, épreuve qui n’existe plus...
Paradoxalement, un moment difficile qui me laisse de bons souvenirs. Je n’ai plus jamais remonté la Bonette dans cette ambiance...

[Lolo90]

Ouah en effet, la galère

[Robert]

Fort heureusement, l'homme, sans distinction de genre, subit parfois d'invraisemblables galères, et a la faculté de les oublier en sorte que la vie continue et le vélo aussi !
Effectivement, la météo de montagne réserve souvent des surprises, d'où la nécessité de prendre des précautions comme le sac à dos qui contient des vêtements ... pour toutes circonstances.

[phiphi76]

2 sorties mémorables me viennent à l’esprit...
Un DFU, je ne sais plus lequel, ou l’on passait encore par le col de Pontis et Saint Jean. La Bonette était surmontée d’épais nuages, et la chaleur dans la vallée était accablante, l’orage se préparait. Mais je voulais terminer en beauté!
Pour ce qui la connaissent, j’étais accompagné de Ghislaine, qui ne voulait pas faire d’arrêt au gîte de peur de ne plus repartir. J’ai donc laissé le petit sac prévu en cas d’orage...
La montée jusque là Halte 2000 était plutôt agréable, puis une petite pluie fine a commencé à nous accompagner, et après, l’enfer jusqu’au sommet: orage, grêle... Qu’est ce qu’on se sent tout petit quand le tonnerre fait écho dans les montagnes environnantes... Arrivée en haut sous la grêle, pensant que le pire était derrière nous... Mais le pire nous attendait: la grêle a redoublé, le vent, et on avait encore plus froid. Plus moyen de freiner tellement les doigts étaient gelés. Bref, la descente la plus dure que j’ai connu, à part peut être un Ventoux lors des Ventoux Master Séries, épreuve qui n’existe plus...
Paradoxalement, un moment difficile qui me laisse de bons souvenirs. Je n’ai plus jamais remonté la Bonette dans cette ambiance...

Je me rappelle très bien de cet épisode, mais je crois que je n'ai pas voulu monter avec vous. Etant passionné de haute montagne et avoir lu des dizaines de livres de grands escaladeurs retraçant leur exploits en montagne, dont un livre de Gaston Rebuffat ou il raconte une nuit d'enfer dans une mini tente accrochée à flan de montagne sous l'orage et les chutes de pierres, ( je le vivais au fur et à mesure que je lisais.... ), je sais, presque par expérience, qu'il ne faut pas ignorer les risques en altitude si le temps se dégrade : Attention, danger !
Il y a très souvent des orages en fin de journée au Restefond, c'est pourquoi l'organisateur a fini par le passer en 3 ème col, de façon à le monter le matin.
@cyberpotes+ !

[callune]

2 sorties mémorables me viennent à l’esprit...
Un DFU, je ne sais plus lequel, ou l’on passait encore par le col de Pontis et Saint Jean. La Bonette était surmontée d’épais nuages, et la chaleur dans la vallée était accablante, l’orage se préparait. Mais je voulais terminer en beauté!
Pour ce qui la connaissent, j’étais accompagné de Ghislaine, qui ne voulait pas faire d’arrêt au gîte de peur de ne plus repartir. J’ai donc laissé le petit sac prévu en cas d’orage...
La montée jusque là Halte 2000 était plutôt agréable, puis une petite pluie fine a commencé à nous accompagner, et après, l’enfer jusqu’au sommet: orage, grêle... Qu’est ce qu’on se sent tout petit quand le tonnerre fait écho dans les montagnes environnantes... Arrivée en haut sous la grêle, pensant que le pire était derrière nous... Mais le pire nous attendait: la grêle a redoublé, le vent, et on avait encore plus froid. Plus moyen de freiner tellement les doigts étaient gelés. Bref, la descente la plus dure que j’ai connu, à part peut être un Ventoux lors des Ventoux Master Séries, épreuve qui n’existe plus...
Paradoxalement, un moment difficile qui me laisse de bons souvenirs. Je n’ai plus jamais remonté la Bonette dans cette ambiance...

sacré galère !!!

[callune]

Fort heureusement, l'homme, sans distinction de genre, subit parfois d'invraisemblables galères, et a la faculté de les oublier en sorte que la vie continue et le vélo aussi !
Effectivement, la météo de montagne réserve souvent des surprises, d'où la nécessité de prendre des précautions comme le sac à dos qui contient des vêtements ... pour toutes circonstances.

franchement, la galère du Ventoux, pas près d'oublier ! ma pire journée de vélo, le plus grand froid de ma vie : pas du tout un bon souvenir

[Robert]

Fort heureusement, l'homme, sans distinction de genre, subit parfois d'invraisemblables galères, et a la faculté de les oublier en sorte que la vie continue et le vélo aussi !
Effectivement, la météo de montagne réserve souvent des surprises, d'où la nécessité de prendre des précautions comme le sac à dos qui contient des vêtements ... pour toutes circonstances.

franchement, la galère du Ventoux, pas près d'oublier ! ma pire journée de vélo, le plus grand froid de ma vie : pas du tout un bon souvenir

Oui ! Etre allée au bout de ta randonnée dans ces conditions (Ventoux sous une tempête de neige) relevait de l'exploit ... Effectivement à ne pas renouveler car très dangereux.