Poésie du jour ...
- Robert
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Re: Poésie du jour ...
Automne
Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913.
Dans le brouillard s’en vont un paysan cagneux
Et son boeuf lentement dans le brouillard d’automne
Qui cache les hameaux pauvres et vergogneux
Et s’en allant là-bas le paysan chantonne
Une chanson d’amour et d’infidélité
Qui parle d’une bague et d’un coeur que l’on brise
Oh! l’automne l’automne a fait mourir l’été
Dans le brouillard s’en vont deux silhouettes grises.
Ce poème a été écrit… En 1913. On a I siècle, les paysages de nos campagnes ont bien changé. Restent les poésies.
Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913.
Dans le brouillard s’en vont un paysan cagneux
Et son boeuf lentement dans le brouillard d’automne
Qui cache les hameaux pauvres et vergogneux
Et s’en allant là-bas le paysan chantonne
Une chanson d’amour et d’infidélité
Qui parle d’une bague et d’un coeur que l’on brise
Oh! l’automne l’automne a fait mourir l’été
Dans le brouillard s’en vont deux silhouettes grises.
Ce poème a été écrit… En 1913. On a I siècle, les paysages de nos campagnes ont bien changé. Restent les poésies.
- Lolo90
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Re: Poésie du jour ...
Et les affaires de coeurRobert a écrit : ↑26 sept. 2024, 09:04 Automne
Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913.
Dans le brouillard s’en vont un paysan cagneux
Et son boeuf lentement dans le brouillard d’automne
Qui cache les hameaux pauvres et vergogneux
Et s’en allant là-bas le paysan chantonne
Une chanson d’amour et d’infidélité
Qui parle d’une bague et d’un coeur que l’on brise
Oh! l’automne l’automne a fait mourir l’été
Dans le brouillard s’en vont deux silhouettes grises.
Ce poème a été écrit… En 1913. On a I siècle, les paysages de nos campagnes ont bien changé. Restent les poésies.

Bon alors ? La femme du paysan ? Elle couchait avec qui ?

- Robert
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Re: Poésie du jour ...
Chut… Les chansons et les poèmes ne disent pas tout !Lolo90 a écrit : ↑26 sept. 2024, 20:13Et les affaires de coeurRobert a écrit : ↑26 sept. 2024, 09:04 Automne
Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913.
Dans le brouillard s’en vont un paysan cagneux
Et son boeuf lentement dans le brouillard d’automne
Qui cache les hameaux pauvres et vergogneux
Et s’en allant là-bas le paysan chantonne
Une chanson d’amour et d’infidélité
Qui parle d’une bague et d’un coeur que l’on brise
Oh! l’automne l’automne a fait mourir l’été
Dans le brouillard s’en vont deux silhouettes grises.
Ce poème a été écrit… En 1913. On a I siècle, les paysages de nos campagnes ont bien changé. Restent les poésies.![]()
Bon alors ? La femme du paysan ? Elle couchait avec qui ?![]()
- Lolo90
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Re: Poésie du jour ...
Robert a écrit : ↑27 sept. 2024, 08:53Chut… Les chansons et les poèmes ne disent pas tout !Lolo90 a écrit : ↑26 sept. 2024, 20:13Et les affaires de coeurRobert a écrit : ↑26 sept. 2024, 09:04 Automne
Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913.
Dans le brouillard s’en vont un paysan cagneux
Et son boeuf lentement dans le brouillard d’automne
Qui cache les hameaux pauvres et vergogneux
Et s’en allant là-bas le paysan chantonne
Une chanson d’amour et d’infidélité
Qui parle d’une bague et d’un coeur que l’on brise
Oh! l’automne l’automne a fait mourir l’été
Dans le brouillard s’en vont deux silhouettes grises.
Ce poème a été écrit… En 1913. On a I siècle, les paysages de nos campagnes ont bien changé. Restent les poésies.![]()
Bon alors ? La femme du paysan ? Elle couchait avec qui ?![]()

- Robert
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Re: Poésie du jour ...
Matin d’Octobre
François Coppée
C’est l’heure exquise et matinale
Que rougit un soleil soudain.
A travers la brume automnale
Tombent les feuilles du jardin.
Leur chute est lente. On peut les suivre
Du regard en reconnaissant
Le chêne à sa feuille de cuivre,
L’érable à sa feuille de sang.
Les dernières, les plus rouillées,
Tombent des branches dépouillées :
Mais ce n’est pas l’hiver encor.
Une blonde lumière arrose
La nature, et, dans l’air tout rose,
On croirait qu’il neige de l’or.
François Coppée, Promenades et Intérieurs
François Coppée
C’est l’heure exquise et matinale
Que rougit un soleil soudain.
A travers la brume automnale
Tombent les feuilles du jardin.
Leur chute est lente. On peut les suivre
Du regard en reconnaissant
Le chêne à sa feuille de cuivre,
L’érable à sa feuille de sang.
Les dernières, les plus rouillées,
Tombent des branches dépouillées :
Mais ce n’est pas l’hiver encor.
Une blonde lumière arrose
La nature, et, dans l’air tout rose,
On croirait qu’il neige de l’or.
François Coppée, Promenades et Intérieurs
- Lolo90
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Re: Poésie du jour ...
Très beau poème 

- Robert
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Re: Poésie du jour ...
Avec des enjambements :(Des passages enchaînés d’un vers sur l’autre.)
Exemples:
………..On peut les suivre
Du regard……
Une blonde lumière arrose
La nature …….
Si seulement nous avions un octobre comme celui qui est décrit dans le poème.
Encor sans e y rime avec or…
Exemples:
………..On peut les suivre
Du regard……
Une blonde lumière arrose
La nature …….
Si seulement nous avions un octobre comme celui qui est décrit dans le poème.
Encor sans e y rime avec or…
- Denis
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Re: Poésie du jour ...
C’est mal barré aujourd’hui par chez moi…
- Robert
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- Denis
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Re: Poésie du jour ...
Ces temps-cis, cela semble s’arranger. Un peu froid le matin, mais des après midi agréables. Faut que ça dure!