Notre ennemi : le poids……

[Robert]

Le poids qui nous occupe a deux origines :
Le poids du cycliste qui doit être à son poids de forme, si possible.
Le matériel roulant.

Nous ne parlerons pas du régime alimentaire du cycliste, mais simplement du poids que celui-ci embarque pour rouler.

Parfois, nous allons lésiner à embarquer quelques grammes supplémentaires. Je m’empresse de penser et de dire et d’écrire que ces quelques grammes, lorsqu’on roule à 20 ou 25 km à l’heure de moyenne, n’ont strictement aucune influence sur nos rendements.
Les marchands, soucieux de commerce, s’ ingénient à vendre des objets les plus légers possible. Ils n’oublient pas cependant une lourde majoration du prix de vente. Le léger coûte cher !
Le matériel souvent testé pour satisfaire les exigences de coureurs qui roulent à 45 ou 50 km à l’heure de moyenne ne convient pas du tout aux cyclotouristes que nous sommes. 1 kg de plus ou de moins ne change rien à l’affaire pour nous. Surtout lorsque nous chevauchons un vélo électrique !

Reste l’amour du beau, et l’envie de se faire plaisir !

[Denis]

Tu as raison Robert. Il y a tellement de choses à faire sur le cycliste avant de chercher les gains marginaux du vélo… Après reste le plaisir. Même si c’est moins le cas pour moi maintenant qu’il y a quelques années, on passe tellement de temps sur notre monture qu’on a envie d’être parfaitement posé sur le vélo, de n’avoir aucun bruit, des vitesses qui passent à la perfection, un vélo bien propre qui brille, des pneus avec des flancs beiges à la mode rétro, un radar à l’arrière, un chouette GPS qui nous accompagne… et tout ça mis bout à bout fait de nos vélos de beaux vélos que nous sommes fiers de sortir le moment venu…

[Robert]

Tu as raison Robert. Il y a tellement de choses à faire sur le cycliste avant de chercher les gains marginaux du vélo… Après reste le plaisir. Même si c’est moins le cas pour moi maintenant qu’il y a quelques années, on passe tellement de temps sur notre monture qu’on a envie d’être parfaitement posé sur le vélo, de n’avoir aucun bruit, des vitesses qui passent à la perfection, un vélo bien propre qui brille, des pneus avec des flancs beiges à la mode rétro, un radar à l’arrière, un chouette GPS qui nous accompagne… et tout ça mis bout à bout fait de nos vélos de beaux vélos que nous sommes fiers de sortir le moment venu…

Oui Denis, tu as raison. Un beau vélo stimule le cycliste. Et puis il faut se faire plaisir avant que ça ne soit trop tard !