ils sortent des claviers... 
Tadkozh
La Jean paul Garde
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Sur ce forum : du vélo et encore du vélo, de l'humour pas de vulgarité, de la culture, de l'expérience partagée. point barre !
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Tadkozh
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Re: La Jean paul Garde
....et ces "CR" alors...!!! ils sortent des claviers...
Tadkozh
ils sortent des claviers... Tadkozh
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Laulau
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Re: La Jean paul Garde
Chut, sinon on va m'accuser de zoophilie !Denis a écrit :Avoues que tu l'aimes cette Marmotte!
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Tadkozh
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Re: La Jean paul Garde
...pauvre bête....!! 
Tadkozh
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Tadkozh
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Re: La Jean paul Garde
.....t'en avais un "coup" derrière les oreilles... 
Tadkozh
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sylvain01
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Re: La Jean paul Garde
Le cr est a taper, car cette fois j'ai attendu Maitre Karl et Monseigneur Laurent. Et je l'ai fait en les attendant.
Le 84, lui est a 1900 de D+, parcours montant et descendant, le plat environ 5 kms!!!!!! ça calme un peu les gars......
M'enfin sur trois cyberpotes notons que les trois sont sur les differents poduim des catés!!!!
A bientôt pour le CR
Le 84, lui est a 1900 de D+, parcours montant et descendant, le plat environ 5 kms!!!!!! ça calme un peu les gars......
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A bientôt pour le CR
Dur dur d'être un grand quand on est encore gamin.
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Aline
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Re: La Jean paul Garde
Comme tu dis Sylvain, ça calmesylvain01 a écrit :Le cr est a taper, car cette fois j'ai attendu Maitre Karl et Monseigneur Laurent. Et je l'ai fait en les attendant.
Le 84, lui est a 1900 de D+, parcours montant et descendant, le plat environ 5 kms!!!!!! ça calme un peu les gars......
M'enfin sur trois cyberpotes notons que les trois sont sur les differents poduim des catés!!!!
A bientôt pour le CR
et bravo à tous les trois pour vos places 
On croit que les rêves sont faits pour être réalisés. C'est le problème des rêves. Les rêves sont faits pour être rêvés.
Coluche
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Tadkozh
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Re: La Jean paul Garde
...."oué"...ben on attend...sylvain01 a écrit :Le cr est a taper, car cette fois j'ai attendu Maitre Karl et Monseigneur Laurent. Et je l'ai fait en les attendant.
Le 84, lui est a 1900 de D+, parcours montant et descendant, le plat environ 5 kms!!!!!! ça calme un peu les gars......
M'enfin sur trois cyberpotes notons que les trois sont sur les differents poduim des catés!!!!
A bientôt pour le CR
Tadkozh
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sylvain01
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Re: La Jean paul Garde
Petit Parcours, petit parcours pour la longueur, car cette foi-ci je ne peux pas contredire la critique. Et oui, seulement 85 kilomètres a parcourir dans ce superbe paysage de la Bourgogne. Seulement voilà, il y a des paysages qui font mal aux jambes, et les organisateurs ont raccourcis le parcours car il y aura pas moins de 1900 mètres de dénivelés positif.
Qu'a cela ne tienne, je suis sur la ligne de départ, il est 13h30 quand ce peloton de 90 personnes, dont Claude Sigui, B Alban, D Jusseau s'engage vaillamment pour ce périple. Il fait beau, température de 27°c et un petit vent du nord. Nous sommes dans le morvan, proche d'Autun. Il faut attendre le 15 eme kilometre pour voir le peloton se désintégrer totalement. Le col du Saut long de 6 bornes va faire une première différence. Un groupe de cinq s'échappe, j'ai énormément de mal à rester au contact du groupe de chasse. Mon souffle est court, et mon pouls a 179 est au max du potentiel de la machine. Il faudra pourtant pour moi et deux coureurs faire un gros effort pour revenir sur ce groupe de contre. Mais après plus d'un kilomètre de bataille contre soi même et cette pente d'environ 3 pourcent, nous arrivons a raccrocher ls roues.
Ouf, dans ma tête c'est un soulagement, je me dis, j'y suis, j'y reste!!! Nous voici onze a rouler de consort, enfin pour ceux qui le peuvent, car pour l'instant je suis en mode récupération. Nous arrivons a la bifurcation des parcours, nous rattrapons d'ailleurs déjà beaucoup de retardataire du grand. La pente continu a faire du mal a l'organisme. J'ai encore beaucoup de mal a suivre le rythme qu'imprime certain de ce groupe. Je suis a la limite du vomissement, mes gels me dégoutent et la boisson me fait gonfler le ventre. Je me concentre au maximum sur mon pédalage et essai d'oublier ces désagréments. Le revêtement de la route est très rugueux et ne donne pas satisfaction. Pire, je roule en boyau a l'arrière et je pense même avoir crevé. Mais non tout va bien. Quoique, le groupe de tête a 45 secondes d'avance sur nous au ravitaillement. J'en profite pour attraper une bouteille d'eau, boire une seul gorger, mais surtout me mouiller la nuque, avant de la faire passer. Je commence a me demander quand nous allons enfin descendre. La pente n'est certes pas abrupte, mais je suis fatigué, et la nuit a été courte pour moi et je ressent un peu de lassitude.
Ca y est, on descend, je mange un peu, et commence a faire tourner les jambes. Il y a beaucoup de gravillons, il faut être vigilant, la route par endroit est même arraché. On m'expliquera que pendant l'hiver il y eu par endroit jusqu'à 80 cm de neige. Voilà, un peu plus de 15 kilometres de descente sont effectuées, je me sens beaucoup mieux, l'air frais ma ragaillardi. La montée qui suit nous emmènera par le Mt Beuvray, et le Haut Folin qui culmine a plus de 900 mètres. Là ou un certain B Hinault aura marqué son emprunte en y gagnant une étape du tour de France. Et dés le début la pente est raide, un passage a 10% me fait monter sur les cales. Il y a du monde au bord de la route. Cela fait énormément plaisir et les encouragements donne du tonus a notre petit groupe qui n'a pas encore perdu d'unités. Mieux encore, nous avons recueillis un des échappés, il nous indique qu'il est cuit et qu'il a eut du mal a s'accrocher aux roues des quatre premiers. La montée de ce col ce poursuit dans les bois, une moto suiveuse avec sa passagère vient de temps a autres nous offrir un peu d'eau. Nous sommes dans une magnifique foret, pas une voiture a notre rencontre ni même a nos trousse. C'est idéal, et l'idéal ce poursuit, nous dépassons un quatrième échappé, planté sur le bord de la route, il a crevé. Il ne reste donc plus que trois hommes en t^te, et cela me donne un peu plus de pèche. Ce col est terrible, des passages pas très long a 8 % entame beaucoup. Deux hommes prennent les devant, notre groupe finis par exploser. Au bord de la rupture j'arrive quand même a hisser ma carcasse en haut du Beuvray. Il faut maintenant tout donner pour rejoindre les deux fuyards qui sont encore visible.
Mais au bout d'un kilomètre, nous les doublons, l'un a crevé de la roue arrière et sarrette. Quand a l'autre il se met directement dans nos roues. Les relaies vont bon train et la descente se fait a un vitesse vertigineuse. Un quatrième place est en vue. Nous arrivons au terme de cette superbe descente, et apercevons la pancarte des 5 derniers kilomètres. Un bref regard derrière nous et il faut se remettre au travail, car ils sont environ cinq a vouloir nous croquer. Il ne faut plus se regarder, j'ai bien repéré l'arrivée mais la peur d'être repris trop tôt me fait lancer le sprint au kilomètre.
Je tiens, je tiens, et puis un me passe et de deux, c'est logique, mais le troisième restera derrière moi. Je suis un peu déçu mais très heureux de cette arrivée. Encore plus heureux car je suis troisième de ma catégorie et finis finalement 6 eme du classement scratch. Avec un peu moins de 36 kms de moyenne. Les premiers sont arrivées avec trois minutes d'avance sur nous. Ce fut une superbe cyclo, peut être un peu dur, mais il y a une bonne cause. Celle d'avoir couru pour les enfants malades, car cette Jean Paul Garde en est le support.
Sportivement Sylvain
Qu'a cela ne tienne, je suis sur la ligne de départ, il est 13h30 quand ce peloton de 90 personnes, dont Claude Sigui, B Alban, D Jusseau s'engage vaillamment pour ce périple. Il fait beau, température de 27°c et un petit vent du nord. Nous sommes dans le morvan, proche d'Autun. Il faut attendre le 15 eme kilometre pour voir le peloton se désintégrer totalement. Le col du Saut long de 6 bornes va faire une première différence. Un groupe de cinq s'échappe, j'ai énormément de mal à rester au contact du groupe de chasse. Mon souffle est court, et mon pouls a 179 est au max du potentiel de la machine. Il faudra pourtant pour moi et deux coureurs faire un gros effort pour revenir sur ce groupe de contre. Mais après plus d'un kilomètre de bataille contre soi même et cette pente d'environ 3 pourcent, nous arrivons a raccrocher ls roues.
Ouf, dans ma tête c'est un soulagement, je me dis, j'y suis, j'y reste!!! Nous voici onze a rouler de consort, enfin pour ceux qui le peuvent, car pour l'instant je suis en mode récupération. Nous arrivons a la bifurcation des parcours, nous rattrapons d'ailleurs déjà beaucoup de retardataire du grand. La pente continu a faire du mal a l'organisme. J'ai encore beaucoup de mal a suivre le rythme qu'imprime certain de ce groupe. Je suis a la limite du vomissement, mes gels me dégoutent et la boisson me fait gonfler le ventre. Je me concentre au maximum sur mon pédalage et essai d'oublier ces désagréments. Le revêtement de la route est très rugueux et ne donne pas satisfaction. Pire, je roule en boyau a l'arrière et je pense même avoir crevé. Mais non tout va bien. Quoique, le groupe de tête a 45 secondes d'avance sur nous au ravitaillement. J'en profite pour attraper une bouteille d'eau, boire une seul gorger, mais surtout me mouiller la nuque, avant de la faire passer. Je commence a me demander quand nous allons enfin descendre. La pente n'est certes pas abrupte, mais je suis fatigué, et la nuit a été courte pour moi et je ressent un peu de lassitude.
Ca y est, on descend, je mange un peu, et commence a faire tourner les jambes. Il y a beaucoup de gravillons, il faut être vigilant, la route par endroit est même arraché. On m'expliquera que pendant l'hiver il y eu par endroit jusqu'à 80 cm de neige. Voilà, un peu plus de 15 kilometres de descente sont effectuées, je me sens beaucoup mieux, l'air frais ma ragaillardi. La montée qui suit nous emmènera par le Mt Beuvray, et le Haut Folin qui culmine a plus de 900 mètres. Là ou un certain B Hinault aura marqué son emprunte en y gagnant une étape du tour de France. Et dés le début la pente est raide, un passage a 10% me fait monter sur les cales. Il y a du monde au bord de la route. Cela fait énormément plaisir et les encouragements donne du tonus a notre petit groupe qui n'a pas encore perdu d'unités. Mieux encore, nous avons recueillis un des échappés, il nous indique qu'il est cuit et qu'il a eut du mal a s'accrocher aux roues des quatre premiers. La montée de ce col ce poursuit dans les bois, une moto suiveuse avec sa passagère vient de temps a autres nous offrir un peu d'eau. Nous sommes dans une magnifique foret, pas une voiture a notre rencontre ni même a nos trousse. C'est idéal, et l'idéal ce poursuit, nous dépassons un quatrième échappé, planté sur le bord de la route, il a crevé. Il ne reste donc plus que trois hommes en t^te, et cela me donne un peu plus de pèche. Ce col est terrible, des passages pas très long a 8 % entame beaucoup. Deux hommes prennent les devant, notre groupe finis par exploser. Au bord de la rupture j'arrive quand même a hisser ma carcasse en haut du Beuvray. Il faut maintenant tout donner pour rejoindre les deux fuyards qui sont encore visible.
Mais au bout d'un kilomètre, nous les doublons, l'un a crevé de la roue arrière et sarrette. Quand a l'autre il se met directement dans nos roues. Les relaies vont bon train et la descente se fait a un vitesse vertigineuse. Un quatrième place est en vue. Nous arrivons au terme de cette superbe descente, et apercevons la pancarte des 5 derniers kilomètres. Un bref regard derrière nous et il faut se remettre au travail, car ils sont environ cinq a vouloir nous croquer. Il ne faut plus se regarder, j'ai bien repéré l'arrivée mais la peur d'être repris trop tôt me fait lancer le sprint au kilomètre.
Je tiens, je tiens, et puis un me passe et de deux, c'est logique, mais le troisième restera derrière moi. Je suis un peu déçu mais très heureux de cette arrivée. Encore plus heureux car je suis troisième de ma catégorie et finis finalement 6 eme du classement scratch. Avec un peu moins de 36 kms de moyenne. Les premiers sont arrivées avec trois minutes d'avance sur nous. Ce fut une superbe cyclo, peut être un peu dur, mais il y a une bonne cause. Celle d'avoir couru pour les enfants malades, car cette Jean Paul Garde en est le support.
Sportivement Sylvain
Dur dur d'être un grand quand on est encore gamin.
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