Pas de vélo, mais des expos !

Vous pouvez faire la promo d'un livre, d'un magazine, d'un film, d'un site internet, d'un musée, d'un podcast et déclenchez en nous l'envie de lire, de voir, d'y aller !
Le vélo, c'est aussi le pédalage des méninges. Partageons nos connaissances !
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Manyairs
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Pas de vélo, mais des expos !

Message par Manyairs »

Ne pouvant encore monter sur le vélo pour ce début d'année,
jeudi, profitant d'une pause dans mes jours de formation, je me suis rendu à Beaubourg à l'exposition d'Edward Munch.
Grand peintre moderne du début du siècle dernier (le XXe).
Son célèbre tableau (LE CRI) n'étant pas présent, on peut à loisir se rendre compte de l'étendu du talent de l'artiste.
Tout d'abord dans une démarche entière, comme souvent chez les grand peintre, avec une production ahurissante de tableau, de toutes les tailles, avec une préférence pour les portraits et les auto-portraits.
Munch sensible au passage du temps sur lui-même, exécutait en effet, un auto portrait tout les ans.
Ensuite, et je ne le savais pas, mais il a peint tout une série de tableau sur les bagarres de rue et là on y trouve quelques jolies pièces ahurissantes, où semblent jaillir sous le pinceau de l'artiste, des scènes entre cinéma et dessins d'enfant. Particulier et intéressant.

Enfin, et c'est peut-être ce qui m'a touché le plus, il fût atteint d'une maladie de l'oeil qui lui a provoqué une tâche importante de sang coagulé et il en a " profité " pour peindre tout une série de ce qu'il voyait à travers l'oeil malade. Ce qui donne des tableaux surréalistes, étrange et en même temps terriblement intime, puisque l'on a l'impression de voir à travers les yeux de l'artiste de façon plus intense.

L'exposition rencontre énormément de succès et le monde dans les premières salles, empêche de voir les tableaux connus, comme " Le Baiser " que j'ai entrevu, devant lequel j'aimerai m'attarder davantage. Il me sera possible d'y retourner à diverses horaires avant le 23 janvier date à laquelle l'exposition est prolongée. Malgré tout, l'exposition fût très agréable.

Ne m'en laissant pas conter, je suis allé faire une seconde expo, juste à côté et je suis allé voir DANSER SA VIE, qui raconte l'histoire de la danse de 1900 à nos jours, de la danse " moderne " donc. Je ne sais pas trop ce que cela veut dire, puisque je considère qu'il y a la danse et c'est tout. Classique ou non, la capacité de passer des sentiments à travers le corps m'a toujours bouleversé.

Je me rend donc à cette expo et là dans la première salle, alors qu'un professeur et ses élèves en visite devant les 3 panneaux immenses de Matisse discours avec beaucoup de cabotinage sur l'histoire de Matisse et des danseuses, je suis attiré par une jeune danseuse, habillée tout à fait " normalement " (jean, pull et chaussures de ville), exécutant une performance à même le sol de la salle. Je reste scotché et suis complètement subjugué par son aisance et surtout ces mouvements terriblement lent de son corps qui se contorsionne sans a coups, avec une pureté déconcertante.
Elle en dit des choses, sur l'urbanité, l'enfermement, la solitude... Oui, elle discourait bien plus en silence et en mouvement que le prof cabotin...

Pour le coup, resté à la regarder alors que beaucoup passaient et prenait un cliché en 2 secondes puis se rendaient dans les autres salles (d'ailleurs je trouve toujours choquant ces gens qui prennent des photos de la performance, alors qu'il est demandé de ne pas en prendre !!!!), j'ai pu croiser le regard à plusieurs reprise de l'artiste et j'ai trouvé cela troublant !
La suite de ma visite fût donc plus morne et même si j'ai beaucoup apprécié, le film de Pina Bauch ou le travail d'Isadaura Duncan, je suis resté plus hermétique aux performances des années 70, de " danseuses " nues dans de l'huile !
Il m'en faut plus pour m'émouvoir !

Je suis ressorti, après une matinée très agréable et conscient de ma chance de me trouver à quelques pas d'expositions que je ne reverrai sans doute jamais et être en présence de toiles d'artistes me rend toujours de bonne humeur !
De quoi me donner l'envie d'aller rouler (car les routes dans l'oeuvre de Munch sont récurrentes).
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Manyairs
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Re: Pas de vélo, mais des expos !

Message par Manyairs »

ce soir sur l'excellent ARTE JOURNAL de l'excellent Marie Labory, petit sujet très intelligent sur l'expo DANSER SA VIE, soulignant le lien entre La danse et les arts plastiques.
Une jolie réflexion de la conservatrice de l'expo : " La danse libère les formes, comme elle libère les corps ! " Je n'y avais pas pensé !
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Tadkozh
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Re: Pas de vélo, mais des expos !

Message par Tadkozh »

Manyairs a écrit :Ne pouvant encore monter sur le vélo pour ce début d'année,
jeudi, profitant d'une pause dans mes jours de formation, je me suis rendu à Beaubourg à l'exposition d'Edward Munch.
Grand peintre moderne du début du siècle dernier (le XXe).
Son célèbre tableau (LE CRI) n'étant pas présent, on peut à loisir se rendre compte de l'étendu du talent de l'artiste.
Tout d'abord dans une démarche entière, comme souvent chez les grand peintre, avec une production ahurissante de tableau, de toutes les tailles, avec une préférence pour les portraits et les auto-portraits.
Munch sensible au passage du temps sur lui-même, exécutait en effet, un auto portrait tout les ans.
Ensuite, et je ne le savais pas, mais il a peint tout une série de tableau sur les bagarres de rue et là on y trouve quelques jolies pièces ahurissantes, où semblent jaillir sous le pinceau de l'artiste, des scènes entre cinéma et dessins d'enfant. Particulier et intéressant.

Enfin, et c'est peut-être ce qui m'a touché le plus, il fût atteint d'une maladie de l'oeil qui lui a provoqué une tâche importante de sang coagulé et il en a " profité " pour peindre tout une série de ce qu'il voyait à travers l'oeil malade. Ce qui donne des tableaux surréalistes, étrange et en même temps terriblement intime, puisque l'on a l'impression de voir à travers les yeux de l'artiste de façon plus intense.

L'exposition rencontre énormément de succès et le monde dans les premières salles, empêche de voir les tableaux connus, comme " Le Baiser " que j'ai entrevu, devant lequel j'aimerai m'attarder davantage. Il me sera possible d'y retourner à diverses horaires avant le 23 janvier date à laquelle l'exposition est prolongée. Malgré tout, l'exposition fût très agréable.

Ne m'en laissant pas conter, je suis allé faire une seconde expo, juste à côté et je suis allé voir DANSER SA VIE, qui raconte l'histoire de la danse de 1900 à nos jours, de la danse " moderne " donc. Je ne sais pas trop ce que cela veut dire, puisque je considère qu'il y a la danse et c'est tout. Classique ou non, la capacité de passer des sentiments à travers le corps m'a toujours bouleversé.

Je me rend donc à cette expo et là dans la première salle, alors qu'un professeur et ses élèves en visite devant les 3 panneaux immenses de Matisse discours avec beaucoup de cabotinage sur l'histoire de Matisse et des danseuses, je suis attiré par une jeune danseuse, habillée tout à fait " normalement " (jean, pull et chaussures de ville), exécutant une performance à même le sol de la salle. Je reste scotché et suis complètement subjugué par son aisance et surtout ces mouvements terriblement lent de son corps qui se contorsionne sans a coups, avec une pureté déconcertante.
Elle en dit des choses, sur l'urbanité, l'enfermement, la solitude... Oui, elle discourait bien plus en silence et en mouvement que le prof cabotin...

Pour le coup, resté à la regarder alors que beaucoup passaient et prenait un cliché en 2 secondes puis se rendaient dans les autres salles (d'ailleurs je trouve toujours choquant ces gens qui prennent des photos de la performance, alors qu'il est demandé de ne pas en prendre !!!!), j'ai pu croiser le regard à plusieurs reprise de l'artiste et j'ai trouvé cela troublant !
La suite de ma visite fût donc plus morne et même si j'ai beaucoup apprécié, le film de Pina Bauch ou le travail d'Isadaura Duncan, je suis resté plus hermétique aux performances des années 70, de " danseuses " nues dans de l'huile !
Il m'en faut plus pour m'émouvoir !

Je suis ressorti, après une matinée très agréable et conscient de ma chance de me trouver à quelques pas d'expositions que je ne reverrai sans doute jamais et être en présence de toiles d'artistes me rend toujours de bonne humeur !
De quoi me donner l'envie d'aller rouler (car les routes dans l'oeuvre de Munch sont récurrentes).

...la visite d'un musée est toujours moment agréable...!! c'est un endroit où l'on rêve à "satiété" et où, dans mon enfance, lors des très rares visites faites de mon temps d'écolier à la communale, je me faisais toujours tirer les oreilles, vu que le maître d'école me "paumait" immanquablement, perdu dans mes pensées...!! :)

Tadkozh
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Tadkozh
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Re: Pas de vélo, mais des expos !

Message par Tadkozh »

Manyairs a écrit :ce soir sur l'excellent ARTE JOURNAL de l'excellent Marie Labory, petit sujet très intelligent sur l'expo DANSER SA VIE, soulignant le lien entre La danse et les arts plastiques.
Une jolie réflexion de la conservatrice de l'expo : " La danse libère les formes, comme elle libère les corps ! " Je n'y avais pas pensé !
...cette conservatrice est sans doute une assidue de Pierre Legendre dont je ne fait que citer un extrait d'un essai paru chez Seuil : " ..la danse permet un questionnement sur ce que l'homme a de plus précieux : son corps et le sens
que revêt ce corps pour une société donnée...."


Tadkozh
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Manyairs
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Re: Pas de vélo, mais des expos !

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Tadkozh a écrit :
Manyairs a écrit :Ne pouvant encore monter sur le vélo pour ce début d'année,
jeudi, profitant d'une pause dans mes jours de formation, je me suis rendu à Beaubourg à l'exposition d'Edward Munch.
Grand peintre moderne du début du siècle dernier (le XXe).
Son célèbre tableau (LE CRI) n'étant pas présent, on peut à loisir se rendre compte de l'étendu du talent de l'artiste.
Tout d'abord dans une démarche entière, comme souvent chez les grand peintre, avec une production ahurissante de tableau, de toutes les tailles, avec une préférence pour les portraits et les auto-portraits.
Munch sensible au passage du temps sur lui-même, exécutait en effet, un auto portrait tout les ans.
Ensuite, et je ne le savais pas, mais il a peint tout une série de tableau sur les bagarres de rue et là on y trouve quelques jolies pièces ahurissantes, où semblent jaillir sous le pinceau de l'artiste, des scènes entre cinéma et dessins d'enfant. Particulier et intéressant.

Enfin, et c'est peut-être ce qui m'a touché le plus, il fût atteint d'une maladie de l'oeil qui lui a provoqué une tâche importante de sang coagulé et il en a " profité " pour peindre tout une série de ce qu'il voyait à travers l'oeil malade. Ce qui donne des tableaux surréalistes, étrange et en même temps terriblement intime, puisque l'on a l'impression de voir à travers les yeux de l'artiste de façon plus intense.

L'exposition rencontre énormément de succès et le monde dans les premières salles, empêche de voir les tableaux connus, comme " Le Baiser " que j'ai entrevu, devant lequel j'aimerai m'attarder davantage. Il me sera possible d'y retourner à diverses horaires avant le 23 janvier date à laquelle l'exposition est prolongée. Malgré tout, l'exposition fût très agréable.

Ne m'en laissant pas conter, je suis allé faire une seconde expo, juste à côté et je suis allé voir DANSER SA VIE, qui raconte l'histoire de la danse de 1900 à nos jours, de la danse " moderne " donc. Je ne sais pas trop ce que cela veut dire, puisque je considère qu'il y a la danse et c'est tout. Classique ou non, la capacité de passer des sentiments à travers le corps m'a toujours bouleversé.

Je me rend donc à cette expo et là dans la première salle, alors qu'un professeur et ses élèves en visite devant les 3 panneaux immenses de Matisse discours avec beaucoup de cabotinage sur l'histoire de Matisse et des danseuses, je suis attiré par une jeune danseuse, habillée tout à fait " normalement " (jean, pull et chaussures de ville), exécutant une performance à même le sol de la salle. Je reste scotché et suis complètement subjugué par son aisance et surtout ces mouvements terriblement lent de son corps qui se contorsionne sans a coups, avec une pureté déconcertante.
Elle en dit des choses, sur l'urbanité, l'enfermement, la solitude... Oui, elle discourait bien plus en silence et en mouvement que le prof cabotin...

Pour le coup, resté à la regarder alors que beaucoup passaient et prenait un cliché en 2 secondes puis se rendaient dans les autres salles (d'ailleurs je trouve toujours choquant ces gens qui prennent des photos de la performance, alors qu'il est demandé de ne pas en prendre !!!!), j'ai pu croiser le regard à plusieurs reprise de l'artiste et j'ai trouvé cela troublant !
La suite de ma visite fût donc plus morne et même si j'ai beaucoup apprécié, le film de Pina Bauch ou le travail d'Isadaura Duncan, je suis resté plus hermétique aux performances des années 70, de " danseuses " nues dans de l'huile !
Il m'en faut plus pour m'émouvoir !

Je suis ressorti, après une matinée très agréable et conscient de ma chance de me trouver à quelques pas d'expositions que je ne reverrai sans doute jamais et être en présence de toiles d'artistes me rend toujours de bonne humeur !
De quoi me donner l'envie d'aller rouler (car les routes dans l'oeuvre de Munch sont récurrentes).

...la visite d'un musée est toujours moment agréable...!! c'est un endroit où l'on rêve à "satiété" et où, dans mon enfance, lors des très rares visites faites de mon temps d'écolier à la communale, je me faisais toujours tirer les oreilles, vu que le maître d'école me "paumait" immanquablement, perdu dans mes pensées...!! :)

Tadkozh
Se perdre ! Voilà une des plus belles choses qui puisse arriver dans un musée et dans ses pensées !!!
Que de choses en communs nous avons à partager.
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Tadkozh
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Re: Pas de vélo, mais des expos !

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Manyairs a écrit :
Tadkozh a écrit :
Manyairs a écrit :Ne pouvant encore monter sur le vélo pour ce début d'année,
jeudi, profitant d'une pause dans mes jours de formation, je me suis rendu à Beaubourg à l'exposition d'Edward Munch.
Grand peintre moderne du début du siècle dernier (le XXe).
Son célèbre tableau (LE CRI) n'étant pas présent, on peut à loisir se rendre compte de l'étendu du talent de l'artiste.
Tout d'abord dans une démarche entière, comme souvent chez les grand peintre, avec une production ahurissante de tableau, de toutes les tailles, avec une préférence pour les portraits et les auto-portraits.
Munch sensible au passage du temps sur lui-même, exécutait en effet, un auto portrait tout les ans.
Ensuite, et je ne le savais pas, mais il a peint tout une série de tableau sur les bagarres de rue et là on y trouve quelques jolies pièces ahurissantes, où semblent jaillir sous le pinceau de l'artiste, des scènes entre cinéma et dessins d'enfant. Particulier et intéressant.

Enfin, et c'est peut-être ce qui m'a touché le plus, il fût atteint d'une maladie de l'oeil qui lui a provoqué une tâche importante de sang coagulé et il en a " profité " pour peindre tout une série de ce qu'il voyait à travers l'oeil malade. Ce qui donne des tableaux surréalistes, étrange et en même temps terriblement intime, puisque l'on a l'impression de voir à travers les yeux de l'artiste de façon plus intense.

L'exposition rencontre énormément de succès et le monde dans les premières salles, empêche de voir les tableaux connus, comme " Le Baiser " que j'ai entrevu, devant lequel j'aimerai m'attarder davantage. Il me sera possible d'y retourner à diverses horaires avant le 23 janvier date à laquelle l'exposition est prolongée. Malgré tout, l'exposition fût très agréable.

Ne m'en laissant pas conter, je suis allé faire une seconde expo, juste à côté et je suis allé voir DANSER SA VIE, qui raconte l'histoire de la danse de 1900 à nos jours, de la danse " moderne " donc. Je ne sais pas trop ce que cela veut dire, puisque je considère qu'il y a la danse et c'est tout. Classique ou non, la capacité de passer des sentiments à travers le corps m'a toujours bouleversé.

Je me rend donc à cette expo et là dans la première salle, alors qu'un professeur et ses élèves en visite devant les 3 panneaux immenses de Matisse discours avec beaucoup de cabotinage sur l'histoire de Matisse et des danseuses, je suis attiré par une jeune danseuse, habillée tout à fait " normalement " (jean, pull et chaussures de ville), exécutant une performance à même le sol de la salle. Je reste scotché et suis complètement subjugué par son aisance et surtout ces mouvements terriblement lent de son corps qui se contorsionne sans a coups, avec une pureté déconcertante.
Elle en dit des choses, sur l'urbanité, l'enfermement, la solitude... Oui, elle discourait bien plus en silence et en mouvement que le prof cabotin...

Pour le coup, resté à la regarder alors que beaucoup passaient et prenait un cliché en 2 secondes puis se rendaient dans les autres salles (d'ailleurs je trouve toujours choquant ces gens qui prennent des photos de la performance, alors qu'il est demandé de ne pas en prendre !!!!), j'ai pu croiser le regard à plusieurs reprise de l'artiste et j'ai trouvé cela troublant !
La suite de ma visite fût donc plus morne et même si j'ai beaucoup apprécié, le film de Pina Bauch ou le travail d'Isadaura Duncan, je suis resté plus hermétique aux performances des années 70, de " danseuses " nues dans de l'huile !
Il m'en faut plus pour m'émouvoir !

Je suis ressorti, après une matinée très agréable et conscient de ma chance de me trouver à quelques pas d'expositions que je ne reverrai sans doute jamais et être en présence de toiles d'artistes me rend toujours de bonne humeur !
De quoi me donner l'envie d'aller rouler (car les routes dans l'oeuvre de Munch sont récurrentes).

...la visite d'un musée est toujours moment agréable...!! c'est un endroit où l'on rêve à "satiété" et où, dans mon enfance, lors des très rares visites faites de mon temps d'écolier à la communale, je me faisais toujours tirer les oreilles, vu que le maître d'école me "paumait" immanquablement, perdu dans mes pensées...!! :)

Tadkozh
Se perdre ! Voilà une des plus belles choses qui puisse arriver dans un musée et dans ses pensées !!!
Que de choses en communs nous avons à partager.
....ben "oué"...mais mes oreilles s'en souviennent encore..!! :) :)

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