La journée du COROBIN ...

[Robert]

Je l'ai gardée pour la bonne bouche (au sens propre - pour le repas organisé par Joëlle et Denis - et au sens figuré - pour l'ascension du col mythique qui domine la jolie Digne thermale).

La date du mercredi 27 juin était inscrite depuis quelque temps déjà à mon agenda pour cette journée de rencontre à Digne, avec Denis et consorts, organisateurs des réjouissances, avec Phiphi et Christine arrivés l'avant veille en camping pour un DFU de belle mémoire.

J'ai sonné le réveil à potron-minet à mon gouvernement en petite forme par la faute d'une crève qui allait bientôt m'échoir par un injuste retour des choses. La route est en effet plus longue que je ne l'avais pensé, deux bonnes heures de chemins de montagne entre Embrun, notre point d'ancrage alpin et Digne, notre destination du jour. Mon GPS m'amène à l'heure dite chez les "Denis".

Mon vélo extrait promptement de la voiture, nous voilà, Denis et moi traversant la cité Dignoise de A à Z pour retrouver Philippe qui nous attend fin prêt au camping de l'établissement thermal. Photo du trio cycliste prise par Christine et nous voici sans retard sur la route du COROBIN.

Le soleil est radieux, la douceur de l'air idéale, la pente douce comme celle d'un Donon aux plus beau jours ... mais Denis m'a prévenu : Dans quelques pitons, fini de rigoler ; le vrai Corobin va se montrer ... plus rugueux que je ne l'avais pensé, le bougre. Quelques lacets rudes à 10 % me rappellent aux réalités de la montagne et de mon âge. Mais elle est conviviale, notre montée, Phiphi se balade, les mains en haut du guidon, Denis cause tout le temps, il n'est que le vieux à être un peu à la recherche de son second souffle. Mais Denis annonce un replat avec sa fontaine à l'eau fraîche et bienfaisante. Un arrêt-Photo et c'est reparti pour le final. De fort loin, Denis nous désigne le passage du col, issue des dernières rampes. Et de là-haut j'ai vu toute la Provence déjà écrasée de soleil ; et si les cigales n'ont pas chanté (trop haut ? trop tôt ? trop chaud), c'est une bien agréable brise parfumée de senteurs méridionales qui a accompagné notre descente paradisiaque sur les rives de la Bléone, une rivière qui évoque la blondeur des céréales mûrissantes de cet été naissant.

PS : Je ne dispose que de quelques photos. Celles de Phiphi sont bien mieux.
Voici le passage difficile du Corobin : Les fameux lacets à 10 ou 12%

[Robert]

Et de là-haut, j'ai vu toute la Provence !

[Denis]

Quelles chouettes photos! Elle a des airs d'Alpe d'Huez, la photo du virage...

[Tadkozh]

Je l'ai gardée pour la bonne bouche (au sens propre - pour le repas organisé par Joëlle et Denis - et au sens figuré - pour l'ascension du col mythique qui domine la jolie Digne thermale).

La date du mercredi 27 juin était inscrite depuis quelque temps déjà à mon agenda pour cette journée de rencontre à Digne, avec Denis et consorts, organisateurs des réjouissances, avec Phiphi et Christine arrivés l'avant veille en camping pour un DFU de belle mémoire.

J'ai sonné le réveil à potron-minet à mon gouvernement en petite forme par la faute d'une crève qui allait bientôt m'échoir par un injuste retour des choses. La route est en effet plus longue que je ne l'avais pensé, deux bonnes heures de chemins de montagne entre Embrun, notre point d'ancrage alpin et Digne, notre destination du jour. Mon GPS m'amène à l'heure dite chez les "Denis".

Mon vélo extrait promptement de la voiture, nous voilà, Denis et moi traversant la cité Dignoise de A à Z pour retrouver Philippe qui nous attend fin prêt au camping de l'établissement thermal. Photo du trio cycliste prise par Christine et nous voici sans retard sur la route du COROBIN.

Le soleil est radieux, la douceur de l'air idéale, la pente douce comme celle d'un Donon aux plus beau jours ... mais Denis m'a prévenu : Dans quelques pitons, fini de rigoler ; le vrai Corobin va se montrer ... plus rugueux que je ne l'avais pensé, le bougre. Quelques lacets rudes à 10 % me rappellent aux réalités de la montagne et de mon âge. Mais elle est conviviale, notre montée, Phiphi se balade, les mains en haut du guidon, Denis cause tout le temps, il n'est que le vieux à être un peu à la recherche de son second souffle. Mais Denis annonce un replat avec sa fontaine à l'eau fraîche et bienfaisante. Un arrêt-Photo et c'est reparti pour le final. De fort loin, Denis nous désigne le passage du col, issue des dernières rampes. Et de là-haut j'ai vu toute la Provence déjà écrasée de soleil ; et si les cigales n'ont pas chanté (trop haut ? trop tôt ? trop chaud), c'est une bien agréable brise parfumée de senteurs méridionales qui a accompagné notre descente paradisiaque sur les rives de la Bléone, une rivière qui évoque la blondeur des céréales mûrissantes de cet été naissant.

PS : Je ne dispose que de quelques photos. Celles de Phiphi sont bien mieux.
Voici le passage difficile du Corobin : Les fameux lacets à 10 ou 12%

....donc vous avez eu la "gourme" tous les deux avec Josette..!! pas de pot quand même..!!
...ce doit être un des virages de la fin du Corobin..!! vaut mieux le passer par l'extérieur..
Dis donc, la Bléone, elle longe le Corobin..?? il me semble que c'est la rivière qui passe à Digne...mais il y a si longtemps

Tadkozh

[Tadkozh]

Et de là-haut, j'ai vu toute la Provence !

....quelle lumière....quelle netteté..

Tadkozh

[Robert]

Je l'ai gardée pour la bonne bouche (au sens propre - pour le repas organisé par Joëlle et Denis - et au sens figuré - pour l'ascension du col mythique qui domine la jolie Digne thermale).

La date du mercredi 27 juin était inscrite depuis quelque temps déjà à mon agenda pour cette journée de rencontre à Digne, avec Denis et consorts, organisateurs des réjouissances, avec Phiphi et Christine arrivés l'avant veille en camping pour un DFU de belle mémoire.

J'ai sonné le réveil à potron-minet à mon gouvernement en petite forme par la faute d'une crève qui allait bientôt m'échoir par un injuste retour des choses. La route est en effet plus longue que je ne l'avais pensé, deux bonnes heures de chemins de montagne entre Embrun, notre point d'ancrage alpin et Digne, notre destination du jour. Mon GPS m'amène à l'heure dite chez les "Denis".

Mon vélo extrait promptement de la voiture, nous voilà, Denis et moi traversant la cité Dignoise de A à Z pour retrouver Philippe qui nous attend fin prêt au camping de l'établissement thermal. Photo du trio cycliste prise par Christine et nous voici sans retard sur la route du COROBIN.

Le soleil est radieux, la douceur de l'air idéale, la pente douce comme celle d'un Donon aux plus beau jours ... mais Denis m'a prévenu : Dans quelques pitons, fini de rigoler ; le vrai Corobin va se montrer ... plus rugueux que je ne l'avais pensé, le bougre. Quelques lacets rudes à 10 % me rappellent aux réalités de la montagne et de mon âge. Mais elle est conviviale, notre montée, Phiphi se balade, les mains en haut du guidon, Denis cause tout le temps, il n'est que le vieux à être un peu à la recherche de son second souffle. Mais Denis annonce un replat avec sa fontaine à l'eau fraîche et bienfaisante. Un arrêt-Photo et c'est reparti pour le final. De fort loin, Denis nous désigne le passage du col, issue des dernières rampes. Et de là-haut j'ai vu toute la Provence déjà écrasée de soleil ; et si les cigales n'ont pas chanté (trop haut ? trop tôt ? trop chaud), c'est une bien agréable brise parfumée de senteurs méridionales qui a accompagné notre descente paradisiaque sur les rives de la Bléone, une rivière qui évoque la blondeur des céréales mûrissantes de cet été naissant.

PS : Je ne dispose que de quelques photos. Celles de Phiphi sont bien mieux.
Voici le passage difficile du Corobin : Les fameux lacets à 10 ou 12%

....donc vous avez eu la "gourme" tous les deux avec Josette..!! pas de pot quand même..!!
...ce doit être un des virages de la fin du Corobin..!! vaut mieux le passer par l'extérieur..
Dis donc, la Bléone, elle longe le Corobin..?? il me semble que c'est la rivière qui passe à Digne...mais il y a si longtemps

Tadkozh

Pour la Bléone, je médite à propos de l'importance des mots de liaison : Tout est dans la préposition, Tad. Si j'avais écrit VERS la Bléone (en direction de) au lieu de SUR la Bléone , la rivière en aurait retrouvé son cours ! Et la voilà à sa place !

[Robert]

A propos de "gourme" -j'ai fait usage de ton "lambig" et ça va mieux !

[Tadkozh]

Je l'ai gardée pour la bonne bouche (au sens propre - pour le repas organisé par Joëlle et Denis - et au sens figuré - pour l'ascension du col mythique qui domine la jolie Digne thermale).

La date du mercredi 27 juin était inscrite depuis quelque temps déjà à mon agenda pour cette journée de rencontre à Digne, avec Denis et consorts, organisateurs des réjouissances, avec Phiphi et Christine arrivés l'avant veille en camping pour un DFU de belle mémoire.

J'ai sonné le réveil à potron-minet à mon gouvernement en petite forme par la faute d'une crève qui allait bientôt m'échoir par un injuste retour des choses. La route est en effet plus longue que je ne l'avais pensé, deux bonnes heures de chemins de montagne entre Embrun, notre point d'ancrage alpin et Digne, notre destination du jour. Mon GPS m'amène à l'heure dite chez les "Denis".

Mon vélo extrait promptement de la voiture, nous voilà, Denis et moi traversant la cité Dignoise de A à Z pour retrouver Philippe qui nous attend fin prêt au camping de l'établissement thermal. Photo du trio cycliste prise par Christine et nous voici sans retard sur la route du COROBIN.

Le soleil est radieux, la douceur de l'air idéale, la pente douce comme celle d'un Donon aux plus beau jours ... mais Denis m'a prévenu : Dans quelques pitons, fini de rigoler ; le vrai Corobin va se montrer ... plus rugueux que je ne l'avais pensé, le bougre. Quelques lacets rudes à 10 % me rappellent aux réalités de la montagne et de mon âge. Mais elle est conviviale, notre montée, Phiphi se balade, les mains en haut du guidon, Denis cause tout le temps, il n'est que le vieux à être un peu à la recherche de son second souffle. Mais Denis annonce un replat avec sa fontaine à l'eau fraîche et bienfaisante. Un arrêt-Photo et c'est reparti pour le final. De fort loin, Denis nous désigne le passage du col, issue des dernières rampes. Et de là-haut j'ai vu toute la Provence déjà écrasée de soleil ; et si les cigales n'ont pas chanté (trop haut ? trop tôt ? trop chaud), c'est une bien agréable brise parfumée de senteurs méridionales qui a accompagné notre descente paradisiaque sur les rives de la Bléone, une rivière qui évoque la blondeur des céréales mûrissantes de cet été naissant.

PS : Je ne dispose que de quelques photos. Celles de Phiphi sont bien mieux.
Voici le passage difficile du Corobin : Les fameux lacets à 10 ou 12%

....donc vous avez eu la "gourme" tous les deux avec Josette..!! pas de pot quand même..!!
...ce doit être un des virages de la fin du Corobin..!! vaut mieux le passer par l'extérieur..
Dis donc, la Bléone, elle longe le Corobin..?? il me semble que c'est la rivière qui passe à Digne...mais il y a si longtemps

Tadkozh

Pour la Bléone, je médite à propos de l'importance des mots de liaison : Tout est dans la préposition, Tad. Si j'avais écrit VERS la Bléone (en direction de) au lieu de SUR la Bléone , la rivière en aurait retrouvé son cours ! Et la voilà à sa place !

...

Tadkozh

[Tadkozh]

A propos de "gourme" -j'ai fait usage de ton "lambig" et ça va mieux !

...en fait "incontournable" le lambig..!! je pense que l'alcool doit "désinfecter" la sphère rhyno-pharingée...

Tadkozh