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Tadkozh a écrit :...un guidon de "facteur" n'empêche pas la danseuse...
Tadkozh
Je dirai même, au contraire.
Mon concitoyen et connaissance André Wilhelm, plusieurs fois champion de France de cyclo-cross et même, je crois, vice-champion du monde de la discipline, était un adepte avéré du guidon plat.
Celui-ci ne me dérange peu, car je mets très rarement les mains au bas du guidon de course ; il faut un vent contraire pour que je m'impose cette position qui ne m'est pas naturelle.
Robert a écrit :Et voilà le plus ancien de mes vélocipèdes encore en fonction :
C'était à l'origine un vélo de course avec roues à jantes à "boyaux", un Mercier violine des années 70, tous tubes "reynolds" ; il pend dans la cave de notre studio d'Embrun ...
Il a subi, au long de sa longue histoire, de nombreuses modifications :
- La plus visible : Un ré-émaillage en gris/noir métallisé
- Des pneus de 28 ; roues artisanales sur moyeux "maxi-car" garantis à vie !
- Garde-boue rouges enveloppants "bluemels" très efficaces.
- Une transmission "montagne" - Bien avant la mode du "compact", j'avais fait monter, en remplacement du 52X42X32 d'origine, un 46X28 plus adapté à mes possibilités déclinantes et l'usage cyclo itinérant avec sacoches et sac à dos.
- Roue libre à 6 pignons (13X32) je crois ; mise au guidon des leviers qui étaient à l'origine sur le cadre.
- Une selle cuir "idéal"
- Un guidon plat, plus récemment, en remplacement du guidon course, et ce, à cause du freinage ; mes poignets ne supportaient plus les longues descentes en position cassée ... avec des poignées très "dures" ...
En noir et rouge, c'est "ANARCHIE" , dans son cadre unique : La montagne embrunaise. Un petit air vintage qui me rappelle mes débuts.
Fabuleux ces moyeux!! Je n'ai pas la chance d'en posséder, mais j'ai des roues avec moyeux Mavic 500 qui tournent comme au premier jour
Robert a écrit :Et voilà le plus ancien de mes vélocipèdes encore en fonction :
C'était à l'origine un vélo de course avec roues à jantes à "boyaux", un Mercier violine des années 70, tous tubes "reynolds" ; il pend dans la cave de notre studio d'Embrun ...
Il a subi, au long de sa longue histoire, de nombreuses modifications :
- La plus visible : Un ré-émaillage en gris/noir métallisé
- Des pneus de 28 ; roues artisanales sur moyeux "maxi-car" garantis à vie !
- Garde-boue rouges enveloppants "bluemels" très efficaces.
- Une transmission "montagne" - Bien avant la mode du "compact", j'avais fait monter, en remplacement du 52X42X32 d'origine, un 46X28 plus adapté à mes possibilités déclinantes et l'usage cyclo itinérant avec sacoches et sac à dos.
- Roue libre à 6 pignons (13X32) je crois ; mise au guidon des leviers qui étaient à l'origine sur le cadre.
- Une selle cuir "idéal"
- Un guidon plat, plus récemment, en remplacement du guidon course, et ce, à cause du freinage ; mes poignets ne supportaient plus les longues descentes en position cassée ... avec des poignées très "dures" ...
En noir et rouge, c'est "ANARCHIE" , dans son cadre unique : La montagne embrunaise. Un petit air vintage qui me rappelle mes débuts.
Fabuleux ces moyeux!! Je n'ai pas la chance d'en posséder, mais j'ai des roues avec moyeux Mavic 500 qui tournent comme au premier jour
...un autre moyeu dont on parle peu mais exceptionnel : le Rohloff. D'accord on ne le verra pas en course mais en cyclotourisme. 14 vitesses dans le moyeu, une ligne de chaîne "inégalable"....bon, il pèse quand même 1kg700...
Robert a écrit :Rolhoff ? Voilà une mécanique qui m'est étrangère. Peux-tu préciser ...
1,700 ... je ne suis plus un fanatique de la légèreté mais tout de même !
Robert a écrit :Et voilà le plus ancien de mes vélocipèdes encore en fonction :
C'était à l'origine un vélo de course avec roues à jantes à "boyaux", un Mercier violine des années 70, tous tubes "reynolds" ; il pend dans la cave de notre studio d'Embrun ...
Il a subi, au long de sa longue histoire, de nombreuses modifications :
- La plus visible : Un ré-émaillage en gris/noir métallisé
- Des pneus de 28 ; roues artisanales sur moyeux "maxi-car" garantis à vie !
- Garde-boue rouges enveloppants "bluemels" très efficaces.
- Une transmission "montagne" - Bien avant la mode du "compact", j'avais fait monter, en remplacement du 52X42X32 d'origine, un 46X28 plus adapté à mes possibilités déclinantes et l'usage cyclo itinérant avec sacoches et sac à dos.
- Roue libre à 6 pignons (13X32) je crois ; mise au guidon des leviers qui étaient à l'origine sur le cadre.
- Une selle cuir "idéal"
- Un guidon plat, plus récemment, en remplacement du guidon course, et ce, à cause du freinage ; mes poignets ne supportaient plus les longues descentes en position cassée ... avec des poignées très "dures" ...
En noir et rouge, c'est "ANARCHIE" , dans son cadre unique : La montagne embrunaise. Un petit air vintage qui me rappelle mes débuts.
Fabuleux ces moyeux!! Je n'ai pas la chance d'en posséder, mais j'ai des roues avec moyeux Mavic 500 qui tournent comme au premier jour
...un autre moyeu dont on parle peu mais exceptionnel : le Rohloff. D'accord on ne le verra pas en course mais en cyclotourisme. 14 vitesses dans le moyeu, une ligne de chaîne "inégalable"....bon, il pèse quand même 1kg700...
Tadkozh
Forcément, elle ne se déplace pas latéralement Moyeu cher et lourd, je trouve que son seul avantage est pour un cycliste très grand avaleur de km,et encore. Pas nombreux ceux capable d'y mettre la main dedans, bien que la publicité le donne pour increvable.Et acheter un jante, suivant où l'on se trouve?
Trois plateaux et une cassette bien étudiée, rien de mieux, pour le cyclotouriste.
"Forcément, elle ne se déplace pas latéralement Moyeu cher et lourd, je trouve que son seul avantage est pour un cycliste très grand avaleur de km,et encore. Pas nombreux ceux capable d'y mettre la main dedans, bien que la publicité le donne pour increvable.Et acheter un jante, suivant où l'on se trouve?
Trois plateaux et une cassette bien étudiée, rien de mieux, pour le cyclotouriste."
...on ne met pas la main "dedans", on le retourne chez Rohloff !! Il est en effet "increvable" et son gros avantage ce sont les démultiplications qui sont très graduellement étagées, de l'ordre de 13%. Par contre il faut être attentif à ne pas coucher le vélo pour ne pas que le bain d'huile du moyeu ne fuit...Pas de problème de trouver une jante, c'est la longueur des rayons qui est inhabituelle...
...ça y'est, j'ai enfin photographié mon premier vélo !!
...1948, marque SYLLA, selle Idéale 30 cuir, freins "le bambin"...Sur les pédales, Papa avait monté des grosses cales en bois pour que je puisse pédaler...
Tadkozh a écrit :"Forcément, elle ne se déplace pas latéralement Moyeu cher et lourd, je trouve que son seul avantage est pour un cycliste très grand avaleur de km,et encore. Pas nombreux ceux capable d'y mettre la main dedans, bien que la publicité le donne pour increvable.Et acheter un jante, suivant où l'on se trouve?
Trois plateaux et une cassette bien étudiée, rien de mieux, pour le cyclotouriste."
...on ne met pas la main "dedans", on le retourne chez Rohloff !! Il est en effet "increvable" et son gros avantage ce sont les démultiplications qui sont très graduellement étagées, de l'ordre de 13%. Par contre il faut être attentif à ne pas coucher le vélo pour ne pas que le bain d'huile du moyeu ne fuit...Pas de problème de trouver une jante, c'est la longueur des rayons qui est inhabituelle...
Tadkozh
Il parait que la jante est en 32 rayons, pas courant dans cette dimension. De toute façon je ne suis pas convaincu par cette usine à gaz.Avec un équipement classique on se dépanne partout dans le monde.