Le vent ...
- Robert
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Le vent ...
Voilà un élément de première importance pour les cyclistes, tous poils confondus, épilés ou non, du coureur professionnel au pédaleur contemplatif que je suis.
Vents de tous horizons, que de noms de vous avez reçus, que de poèmes et chansons vous ont été dédiés !... Tantôt loués, tantôt honnis, précieuses "poussettes" ou obstacles redoutables.
Souvent, c'est toi, souffle du ciel, qui détermine nos parcours : Partir vent de face pour revenir vent dans les voiles et sans effort. Hélas, facétieux comme celui du ponts des Art parisien qui emporte les chapeaux et soulève les jupes des dames, tu changes de sens en peu de temps et contrecarre ainsi nos douces estimations. Tu peux aussi nous freiner pendant des heures et retomber brutalement au moment où tu devrais nous aider. Que de fois je t'ai souhaité au diable, aux cinq cents diables, jusqu'à proférer des jurons à ton endroit !
C'est un sujet que j'oriente aujourd'hui vers une option scientifique, laquelle a fait l'objet, entre mon pote et moi, de nombreuses supputations.
Tous les corps, solides liquides et gazeux, ont une densité variable en regard de certains critères.
Ainsi, l'air que nous respirons et dans lequel nous évoluons a une densité qui varie en fonction de sa température.
Or, un air froid et dense et bien plus difficile à affronter, à vitesse égale, qu'un air réchauffé par les rayons du soleil estival.
C'est ainsi : Hier, je n'ai éprouvé que peu de difficultés à pédaler contre le souffle chaud des brises de l'été aoûtien, bien plus, je l'ai pris pour une caresse divine !
Vents de tous horizons, que de noms de vous avez reçus, que de poèmes et chansons vous ont été dédiés !... Tantôt loués, tantôt honnis, précieuses "poussettes" ou obstacles redoutables.
Souvent, c'est toi, souffle du ciel, qui détermine nos parcours : Partir vent de face pour revenir vent dans les voiles et sans effort. Hélas, facétieux comme celui du ponts des Art parisien qui emporte les chapeaux et soulève les jupes des dames, tu changes de sens en peu de temps et contrecarre ainsi nos douces estimations. Tu peux aussi nous freiner pendant des heures et retomber brutalement au moment où tu devrais nous aider. Que de fois je t'ai souhaité au diable, aux cinq cents diables, jusqu'à proférer des jurons à ton endroit !
C'est un sujet que j'oriente aujourd'hui vers une option scientifique, laquelle a fait l'objet, entre mon pote et moi, de nombreuses supputations.
Tous les corps, solides liquides et gazeux, ont une densité variable en regard de certains critères.
Ainsi, l'air que nous respirons et dans lequel nous évoluons a une densité qui varie en fonction de sa température.
Or, un air froid et dense et bien plus difficile à affronter, à vitesse égale, qu'un air réchauffé par les rayons du soleil estival.
C'est ainsi : Hier, je n'ai éprouvé que peu de difficultés à pédaler contre le souffle chaud des brises de l'été aoûtien, bien plus, je l'ai pris pour une caresse divine !
- Tadkozh
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Re: Le vent ...
...et c'est encore plus sensible en altitude !! C'est pourquoi il existe un record de l'heure au niveau de la mer et un autre en altitude...Robert a écrit :Voilà un élément de première importance pour les cyclistes, tous poils confondus, épilés ou non, du coureur professionnel au pédaleur contemplatif que je suis.
Vents de tous horizons, que de noms de vous avez reçus, que de poèmes et chansons vous ont été dédiés !... Tantôt loués, tantôt honnis, précieuses "poussettes" ou obstacles redoutables.
Souvent, c'est toi, souffle du ciel, qui détermine nos parcours : Partir vent de face pour revenir vent dans les voiles et sans effort. Hélas, facétieux comme celui du ponts des Art parisien qui emporte les chapeaux et soulève les jupes des dames, tu changes de sens en peu de temps et contrecarre ainsi nos douces estimations. Tu peux aussi nous freiner pendant des heures et retomber brutalement au moment où tu devrais nous aider. Que de fois je t'ai souhaité au diable, aux cinq cents diables, jusqu'à proférer des jurons à ton endroit !
C'est un sujet que j'oriente aujourd'hui vers une option scientifique, laquelle a fait l'objet, entre mon pote et moi, de nombreuses supputations.
Tous les corps, solides liquides et gazeux, ont une densité variable en regard de certains critères.
Ainsi, l'air que nous respirons et dans lequel nous évoluons a une densité qui varie en fonction de sa température.
Or, un air froid et dense et bien plus difficile à affronter, à vitesse égale, qu'un air réchauffé par les rayons du soleil estival.
C'est ainsi : Hier, je n'ai éprouvé que peu de difficultés à pédaler contre le souffle chaud des brises de l'été aoûtien, bien plus, je l'ai pris pour une caresse divine !
Tadkozh
- Paillon
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Re: Le vent ...
Robert a écrit :Voilà un élément de première importance pour les cyclistes, tous poils confondus, épilés ou non, du coureur professionnel au pédaleur contemplatif que je suis.
Vents de tous horizons, que de noms de vous avez reçus, que de poèmes et chansons vous ont été dédiés !... Tantôt loués, tantôt honnis, précieuses "poussettes" ou obstacles redoutables.
Souvent, c'est toi, souffle du ciel, qui détermine nos parcours : Partir vent de face pour revenir vent dans les voiles et sans effort. Hélas, facétieux comme celui du ponts des Art parisien qui emporte les chapeaux et soulève les jupes des dames, tu changes de sens en peu de temps et contrecarre ainsi nos douces estimations. Tu peux aussi nous freiner pendant des heures et retomber brutalement au moment où tu devrais nous aider. Que de fois je t'ai souhaité au diable, aux cinq cents diables, jusqu'à proférer des jurons à ton endroit !
C'est un sujet que j'oriente aujourd'hui vers une option scientifique, laquelle a fait l'objet, entre mon pote et moi, de nombreuses supputations.
Tous les corps, solides liquides et gazeux, ont une densité variable en regard de certains critères.
Ainsi, l'air que nous respirons et dans lequel nous évoluons a une densité qui varie en fonction de sa température.
Or, un air froid et dense et bien plus difficile à affronter, à vitesse égale, qu'un air réchauffé par les rayons du soleil estival.
C'est ainsi : Hier, je n'ai éprouvé que peu de difficultés à pédaler contre le souffle chaud des brises de l'été aoûtien, bien plus, je l'ai pris pour une caresse divine !
Je n'aime pas du tout, chaud ou froid, je préfère encore la pluie !
- Robert
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Re: Le vent ...
C'est une galéjade Paillon, toi l'homme du mistral adulé des méridionaux qui tant l'ont chanté ce vent, qui fait tourner le moulin de maître Cornille, qui donne son inimitable bleu au ciel de Provence et qui a même prêté son nom à un poète prénommé Frédéric.Paillon a écrit :Robert a écrit :Voilà un élément de première importance pour les cyclistes, tous poils confondus, épilés ou non, du coureur professionnel au pédaleur contemplatif que je suis.
Vents de tous horizons, que de noms de vous avez reçus, que de poèmes et chansons vous ont été dédiés !... Tantôt loués, tantôt honnis, précieuses "poussettes" ou obstacles redoutables.
Souvent, c'est toi, souffle du ciel, qui détermine nos parcours : Partir vent de face pour revenir vent dans les voiles et sans effort. Hélas, facétieux comme celui du ponts des Art parisien qui emporte les chapeaux et soulève les jupes des dames, tu changes de sens en peu de temps et contrecarre ainsi nos douces estimations. Tu peux aussi nous freiner pendant des heures et retomber brutalement au moment où tu devrais nous aider. Que de fois je t'ai souhaité au diable, aux cinq cents diables, jusqu'à proférer des jurons à ton endroit !
C'est un sujet que j'oriente aujourd'hui vers une option scientifique, laquelle a fait l'objet, entre mon pote et moi, de nombreuses supputations.
Tous les corps, solides liquides et gazeux, ont une densité variable en regard de certains critères.
Ainsi, l'air que nous respirons et dans lequel nous évoluons a une densité qui varie en fonction de sa température.
Or, un air froid et dense et bien plus difficile à affronter, à vitesse égale, qu'un air réchauffé par les rayons du soleil estival.
C'est ainsi : Hier, je n'ai éprouvé que peu de difficultés à pédaler contre le souffle chaud des brises de l'été aoûtien, bien plus, je l'ai pris pour une caresse divine !
Je n'aime pas du tout, chaud ou froid, je préfère encore la pluie !
Tu n'a pas le droit de ne pas aimer le vent !
- Robert
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Re: Le vent ...
Robert a écrit :C'est une galéjade Paillon, toi l'homme du mistral adulé des méridionaux qui tant l'ont chanté ce vent, qui fait tourner le moulin de maître Cornille, qui donne son inimitable bleu au ciel de Provence et qui a même prêté son nom à un poète prénommé Frédéric.Paillon a écrit :Robert a écrit :Voilà un élément de première importance pour les cyclistes, tous poils confondus, épilés ou non, du coureur professionnel au pédaleur contemplatif que je suis.
Vents de tous horizons, que de noms de vous avez reçus, que de poèmes et chansons vous ont été dédiés !... Tantôt loués, tantôt honnis, précieuses "poussettes" ou obstacles redoutables.
Souvent, c'est toi, souffle du ciel, qui détermine nos parcours : Partir vent de face pour revenir vent dans les voiles et sans effort. Hélas, facétieux comme celui du ponts des Art parisien qui emporte les chapeaux et soulève les jupes des dames, tu changes de sens en peu de temps et contrecarre ainsi nos douces estimations. Tu peux aussi nous freiner pendant des heures et retomber brutalement au moment où tu devrais nous aider. Que de fois je t'ai souhaité au diable, aux cinq cents diables, jusqu'à proférer des jurons à ton endroit !
C'est un sujet que j'oriente aujourd'hui vers une option scientifique, laquelle a fait l'objet, entre mon pote et moi, de nombreuses supputations.
Tous les corps, solides liquides et gazeux, ont une densité variable en regard de certains critères.
Ainsi, l'air que nous respirons et dans lequel nous évoluons a une densité qui varie en fonction de sa température.
Or, un air froid et dense et bien plus difficile à affronter, à vitesse égale, qu'un air réchauffé par les rayons du soleil estival.
C'est ainsi : Hier, je n'ai éprouvé que peu de difficultés à pédaler contre le souffle chaud des brises de l'été aoûtien, bien plus, je l'ai pris pour une caresse divine !
Je n'aime pas du tout, chaud ou froid, je préfère encore la pluie !
Tu n'as pas le droit de ne pas aimer le vent !
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Re: Le vent ...
Robert a écrit :C'est une galéjade Paillon, toi l'homme du mistral adulé des méridionaux qui tant l'ont chanté ce vent, qui fait tourner le moulin de maître Cornille, qui donne son inimitable bleu au ciel de Provence et qui a même prêté son nom à un poète prénommé Frédéric.Paillon a écrit :Robert a écrit :Voilà un élément de première importance pour les cyclistes, tous poils confondus, épilés ou non, du coureur professionnel au pédaleur contemplatif que je suis.
Vents de tous horizons, que de noms de vous avez reçus, que de poèmes et chansons vous ont été dédiés !... Tantôt loués, tantôt honnis, précieuses "poussettes" ou obstacles redoutables.
Souvent, c'est toi, souffle du ciel, qui détermine nos parcours : Partir vent de face pour revenir vent dans les voiles et sans effort. Hélas, facétieux comme celui du ponts des Art parisien qui emporte les chapeaux et soulève les jupes des dames, tu changes de sens en peu de temps et contrecarre ainsi nos douces estimations. Tu peux aussi nous freiner pendant des heures et retomber brutalement au moment où tu devrais nous aider. Que de fois je t'ai souhaité au diable, aux cinq cents diables, jusqu'à proférer des jurons à ton endroit !
C'est un sujet que j'oriente aujourd'hui vers une option scientifique, laquelle a fait l'objet, entre mon pote et moi, de nombreuses supputations.
Tous les corps, solides liquides et gazeux, ont une densité variable en regard de certains critères.
Ainsi, l'air que nous respirons et dans lequel nous évoluons a une densité qui varie en fonction de sa température.
Or, un air froid et dense et bien plus difficile à affronter, à vitesse égale, qu'un air réchauffé par les rayons du soleil estival.
C'est ainsi : Hier, je n'ai éprouvé que peu de difficultés à pédaler contre le souffle chaud des brises de l'été aoûtien, bien plus, je l'ai pris pour une caresse divine !
Je n'aime pas du tout, chaud ou froid, je préfère encore la pluie !
Tu n'a pas le droit de ne pas aimer le vent !
Mais avant , il n'y avait pratiquement jamais de vent chez nous. Certains disent que c'est l'autoroute qui fait un couloir, puisque les collines ont été un peu rasées et "trouées" pour le passage.Ou c'est la nature qui s'en va "en biberine"
- Robert
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Re: Le vent ...
Les phénomènes venteux générés par les transformations que l'homme fait subir à son environnement sont des réalités.
En exemple dans le secteur d'Embrun, en été et tous les jours, le vent se lève dans la vallée de la Durance de Briançon vers Gap ; ça commence vers neuf heures. Ce vent prend de la vigueur jusqu'au milieu de l'après midi pour tomber en soirée.
Les gens du coin disent que ce vent permanent n'existait pas avant la retenue de Serre-Ponçon ; je n'ai pas vérifié mais j'ai tendance à la croire.
Comme je crois fermement au réchauffement climatique généré, lui aussi, par les activités humaines.
En exemple dans le secteur d'Embrun, en été et tous les jours, le vent se lève dans la vallée de la Durance de Briançon vers Gap ; ça commence vers neuf heures. Ce vent prend de la vigueur jusqu'au milieu de l'après midi pour tomber en soirée.
Les gens du coin disent que ce vent permanent n'existait pas avant la retenue de Serre-Ponçon ; je n'ai pas vérifié mais j'ai tendance à la croire.
Comme je crois fermement au réchauffement climatique généré, lui aussi, par les activités humaines.
- Tadkozh
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Re: Le vent ...
...ah mon Paillon, le mistral n'est pas né d'hier...!! Papa, passé en zone libre après avoir été gravement blessé en juin 40, travaillant sur Tarascon en parlait souvent du "mistral" et d’autoroute il n'y avait pas à cette époque...!Paillon a écrit :Robert a écrit :C'est une galéjade Paillon, toi l'homme du mistral adulé des méridionaux qui tant l'ont chanté ce vent, qui fait tourner le moulin de maître Cornille, qui donne son inimitable bleu au ciel de Provence et qui a même prêté son nom à un poète prénommé Frédéric.Paillon a écrit :
Je n'aime pas du tout, chaud ou froid, je préfère encore la pluie !
Tu n'a pas le droit de ne pas aimer le vent !
Mais avant , il n'y avait pratiquement jamais de vent chez nous. Certains disent que c'est l'autoroute qui fait un couloir, puisque les collines ont été un peu rasées et "trouées" pour le passage.Ou c'est la nature qui s'en va "en biberine", va savoir !
Tadkozh
- Tadkozh
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Re: Le vent ...
...et si tu veux faire un "temps" pour monter Larche, c'est vers les 15h qu'il faut s'y atteler il n'y que la première épingle du haut sur gauche où on le prend dans le nez sur 200m...! La vallée à chauffé, le sommet du col (quasiment 2.000m..) est plus froid, le chaud remonte sous un effet de "cheminée...Robert a écrit :Les phénomènes venteux générés par les transformations que l'homme fait subir à son environnement sont des réalités.
En exemple dans le secteur d'Embrun, en été et tous les jours, le vent se lève dans la vallée de la Durance de Briançon vers Gap ; ça commence vers neuf heures. Ce vent prend de la vigueur jusqu'au milieu de l'après midi pour tomber en soirée.
Les gens du coin disent que ce vent permanent n'existait pas avant la retenue de Serre-Ponçon ; je n'ai pas vérifié mais j'ai tendance à la croire.
Comme je crois fermement au réchauffement climatique généré, lui aussi, par les activités humaines.
Tadkozh
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Re: Le vent ...
Tadkozh a écrit :...ah mon Paillon, le mistral n'est pas né d'hier...!! Papa, passé en zone libre après avoir été gravement blessé en juin 40, travaillant sur Tarascon en parlait souvent du "mistral" et d’autoroute il n'y avait pas à cette époque...!Paillon a écrit :Robert a écrit :
C'est une galéjade Paillon, toi l'homme du mistral adulé des méridionaux qui tant l'ont chanté ce vent, qui fait tourner le moulin de maître Cornille, qui donne son inimitable bleu au ciel de Provence et qui a même prêté son nom à un poète prénommé Frédéric.
Tu n'a pas le droit de ne pas aimer le vent !
Mais avant , il n'y avait pratiquement jamais de vent chez nous. Certains disent que c'est l'autoroute qui fait un couloir, puisque les collines ont été un peu rasées et "trouées" pour le passage.Ou c'est la nature qui s'en va "en biberine", va savoir !
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Tadkozh
J'ai dû mal m'expliquer. Quand je dis "chez nous", c'est de Mandelieu à Menton, cette partie de la côte qui était abritée, pense-t-on, par l'Estérel et que l'autoroute, toujours d'après les "on dit" a modifié.Le "chez nous" ce n'est pas le Midi en général ni le quart Sud-Est comme disent les météorologues.
Ce qui est sûr c'est que je ne me souviens pas d'un vent quasi journalier à l’époque de mes "jeunes années"