Tadkozh a écrit :...longue et monotone cette étape..! Le scénario est identique aux autres étapes contrôlées par les sprinteurs à la différence qu'en lieu et place d'une échappée à trois ou quatre, ils étaient 20 et que, seuls, les Skye ont contrôlé..! Deux gaziers qui prennent un rond-point du bon côté, sortent donc 10 mètres avant les autres qui ne les rejoindront pas ! Voilà le seul moment intéressant de cette morne journée !
Heureusement que les interventions de Ferrand mettent un peu de "piment" dans l'affaire.
Deux cols que je connais bien pour les avoir passés à vélo : Lebraut et le Pointu, pas loin de Manosque. Je constate que le tunnel de Lebraut est éclairé maintenant. Il ne l'était pas en 78 et il m'a souvent vu le passer ....à pied quel que soit le sens de son ascension..!
Tadkozh
Une étape pour rien.
Bien sûr, j'ai regardé le début, le départ d'Embrun (le tour est passé devant notre studio). Le parcours utilisé avant le col Lebraut était sans intérêt et le passage du pont de Savines que le tour a emprunté est devenu si risqué que je ne m'y aventure jamais plus, avec ses deux voies très "justes", ses bordures de trottoirs très hautes et la circulation automobile ininterrompue ... je passe par les petites routes au-dessus, plus escarpées mais sans danger particulier.
Quant au premier col de l'étape, je l'ai passé très souvent, sans éclairage autre que celui de mon vélo. Il mesure à peu près un km , en pente, et lorsque tu y entres, tu aperçois la petite ouverture à l'autre bout. Son passage est beaucoup moins scabreux depuis qu'il est éclairé par des luminaires ... il y a une dizaine d'années au moins que c'est fait.
Ceci dit, je n'aime pas du tout les tunnels, surtout depuis que j'ai embrassé la paroi opposé à mon sens de la marche dans un tunnel italien du bord du lac de Garde dont l'éclairage était en panne. Imprudemment, j'étais parti sans éclairage individuel, il faisait beau, et je ne pensais pas me trouver dans cet endroit où l'obscurité était totale, le noir absolu ! Un tunnel long et tournant ... Avec plein de camions qui passaient avec une résonance d'enfer. Une des peurs mémorables de ma vie de cycliste.
Heureusement, j'étais avec mon pote.
Depuis, mes vélos sont munis d'un éclairage, en hiver, bien entendu, mais aussi en été et surtout en montagne.