Bonjour Manyairs,
Dommage, nous n'avons pas fait connaissance. Je suis arrivée à 7 H 30 et beaucoup de monde aux dossards. J'ai vu Karlito et Laulesp au départ. Ce sera pour un prochaine fois
Je me mets à la lecture de ton CR
A+
On croit que les rêves sont faits pour être réalisés. C'est le problème des rêves. Les rêves sont faits pour être rêvés.
Coluche
Même pas fatigué le Karl. Il se lève à 3 H 30. N’a pas de bonnes sensations au départ mais fait deuxième et il poste son CR le premier à 7 H 30 ce matin.
Non vraiment, bravo pour ta place bien méritée et qui est le fruit de beaucoup d’années de compétition, d’expérience, de volonté et de passion.
Un CR aussi détaillé que passionnant. Un direct de course différé mais palpitant à lire.
Sinon perso, bien récupérée. Mal nul part ce matin. J’aime la chaleur mais entre 12 H et 13 H le dieu Ra ne nous a pas fait de cadeau.
Je prépare un petit CR dans la journée vu que le temps est humide et frais.
Non pas 3h30 Je me suis levé à 6h30 après avoir essayé de me rendormir. Fatigué oui mais je me suis couché à 23h00 hier, je dors peu mais très bien, mais en forme pour faire le ménage pas du vélo.
Pour moi le courage et le volonté viennent de ceux qui sont derrière moi, qui souffrent pour rentrer au bercail avec leur manque d'entrainement.
Les femmes sont bien souvent plus dures au mal que les mâles eux mêmes.
Courir pour la paix, c’est bien, courir en paix, c’est bien en ce moment.
Comme je redécouvre le vélo pour le plaisir et la santé morale et physique, j’ai parcouru cette « paix » avec simplicité et clairvoyance.
Après un détour par Châteauneuf au soleil levant pour montrer à Riri un haut lieu de la Bourgogne que nous aimons, dossards retiré puis épinglé, nous saluons les Cyber Laulaux, le Rapha concentré et Karl tout de vert printemps vêtu.
Je prends un départ prudent dans la roue d’un certain Bernard Hache, un ancien bucheron, dur au mal.
A l’entrée de Saulieu, j’attends l’ami Richard, prudent par manque d’habitude du froti-frota dans un paquet.
Un fois ensemble, dans un groupe d’une vingtaine de cyclistes, la randonnée prend tout son sens : bon rythme, pas de temps morts, un peu d’intensité mais raisonnable. C’est l’occasion de s’intéresser au paysage vers la plongée de la Cure puis de longer le torrent sous la lumière rayonnante dans la montée vers Saint-Brisson. La forme physique des uns et des autres s’exprime pleinement dans cette ascension et là je vois Riri passer « son bout ».
Un coup de ravito avant Saint-Brisson et hop c’est reparti. Le groupe s’est fractionné avec les accident du parcours. La descente vers Alligny puis la côte en lacets m’invite maintenant à me concentrer sur mon pédalage pour passer la difficulté. Nous retrouvons le parcours de la Chiapucci un moment, dans Sussey, nous restons à quatre gars, c’est la lutte pour garder la roue du voisin ou garder « la distance » qui permettra de rentrer dans la descente. Le dernier coup-de-cul me rappelle que je ne suis toujours pas un grimpeur, les trois gars avec qui je partageais la route me larguent définitivement, c’est maintenant la descente vers l’arrivée.
3 h 32 sur le diplôme, ça me va. « Je l’aurais un jour, je l’aurais »…. La forme.
Manyairs,
Je dois dire que ton CR est très intéressant et que pour quelqu'un qui fait peu de cyclosportives, le résultat est super.
L'important c'est d'avoir pris du plaisir sur ce parcours et d'avoir tout de même assuré un temps.
Nous n'avons pu faire connaissance, ce sera pour une prochaine fois
sportivement
On croit que les rêves sont faits pour être réalisés. C'est le problème des rêves. Les rêves sont faits pour être rêvés.
Coluche