Vous pouvez faire la promo d'un livre, d'un magazine, d'un film, d'un site internet, d'un musée, d'un podcast et déclenchez en nous l'envie de lire, de voir, d'y aller !
Le vélo, c'est aussi le pédalage des méninges. Partageons nos connaissances !
Robert a écrit :J'avance dans ma lecture ... et je pense que nous sommes d'accord : "L'Oeuvre au Noir" demande une attention soutenue.
Si je puis me permettre une comparaison osée, les livres sont comme les restaurants ; il en est qui sont au niveau du "Mac'Do" ou de la pizzeria, d'autre au niveau d'un trois étoiles au Michelin ... et "L'Oeuvre au Noir" est de ce tonneau. Il en est qui se placent entre ces deux extrêmes.
La perception d'un texte est à la mesure de la finesse de nos sens. J'ai pris le goût pour exemple en comparaison de la manière dont nous percevons un écrit.
Un "nez" percevra des fragrances que le commun ne capte pas. Un oenologue déterminera dans un vin des saveurs inconnues pour d'autres ...
L'écriture de Yourcenar est originale comme l'est le pinceau d'un Corot ; à nous d'en apprécier la richesse.
Bravo pour cette analyse toute en poésie, Robert
je suis d'accord: les mots ont un goût et il faut du palais pour apprécier l'écriture de certains auteurs et en recracher d'autres...ça c'est beaucoup moins poétique
Les trois jours à venir sont annoncés exécrables pour ce qui est de la météo et je suis bien heureux d'avoir commencé ce cycle de lectures ; finalement je te dois ce petit bonheur ...
J'aime bien, lorsque je découvre un auteur qui m'accroche lire en les enchainant plusieurs de ses oeuvres. Après ce livre, j'ai déjà le suivant sous le coude, il s'intitule "Mémoires d'Hadrien". J'ai du pain sur la planche, d'autant que je lis lentement, sur le rythme des choses que l'on déguste.
Robert a écrit :J'avance dans ma lecture ... et je pense que nous sommes d'accord : "L'Oeuvre au Noir" demande une attention soutenue.
Si je puis me permettre une comparaison osée, les livres sont comme les restaurants ; il en est qui sont au niveau du "Mac'Do" ou de la pizzeria, d'autre au niveau d'un trois étoiles au Michelin ... et "L'Oeuvre au Noir" est de ce tonneau. Il en est qui se placent entre ces deux extrêmes.
La perception d'un texte est à la mesure de la finesse de nos sens. J'ai pris le goût pour exemple en comparaison de la manière dont nous percevons un écrit.
Un "nez" percevra des fragrances que le commun ne capte pas. Un oenologue déterminera dans un vin des saveurs inconnues pour d'autres ...
L'écriture de Yourcenar est originale comme l'est le pinceau d'un Corot ; à nous d'en apprécier la richesse.
Bravo pour cette analyse toute en poésie, Robert
je suis d'accord: les mots ont un goût et il faut du palais pour apprécier l'écriture de certains auteurs et en recracher d'autres...ça c'est beaucoup moins poétique
Les trois jours à venir sont annoncés exécrables pour ce qui est de la météo et je suis bien heureux d'avoir commencé ce cycle de lectures ; finalement je te dois ce petit bonheur ...
J'aime bien, lorsque je découvre un auteur qui m'accroche lire en les enchainant plusieurs de ses oeuvres. Après ce livre, j'ai déjà le suivant sous le coude, il s'intitule "Mémoires d'Hadrien". J'ai du pain sur la planche, d'autant que je lis lentement, sur le rythme des choses que l'on déguste.
Oui, une dégustation, c'est le mot ...
Contente que l'écriture de Yourcenar te plaise... je savais bien à qui je la confiais
Ce soir "des racines et des ailes" consacrée à la Bretagne . Ne pas croire et voir ce qui va être dit. Il fait gris tout le temps, il pleut, c'est des sauvages qui élèvent toujours des menhirs, c'est photoshopé à donf. Que des lhistoires à dormir debout
pibama a écrit :Ce soir "des racines et des ailes" consacrée à la Bretagne . Ne pas croire et voir ce qui va être dit. Il fait gris tout le temps, il pleut, c'est des sauvages qui élèvent toujours des menhirs, c'est photoshopé à donf. Que des lhistoires à dormir debout
J'ai regardé ...
Une grande partie de l'émission était consacrée à L'île de Bréhat, une petite perle jetée dans un dédale d'ilots sans noms.
J'ai passé une journée là, dans les environs de St Brieuc il y a une dizaine d'années et ça donne des envies d'un retour ...
pibama a écrit :Ce soir "des racines et des ailes" consacrée à la Bretagne . Ne pas croire et voir ce qui va être dit. Il fait gris tout le temps, il pleut, c'est des sauvages qui élèvent toujours des menhirs, c'est photoshopé à donf. Que des lhistoires à dormir debout
Oue j'ai vu la programmation, on pensait regarder
On a vu que la fin comme ça, on a été quitte de voir la pluie, les algues et les menhirs
Robert a écrit :J'ai regardé ...
Une grande partie de l'émission était consacrée à L'île de Bréhat, une petite perle jetée dans un dédale d'ilots sans noms.
J'ai passé une journée là, dans les environs de St Brieuc il y a une dizaine d'années et ça donne des envies d'un retour ...
Nous on y est allé il y a 25 ans et nos enfants s'en rappellent encore
Robert a écrit :J'ai regardé ...
Une grande partie de l'émission était consacrée à L'île de Bréhat, une petite perle jetée dans un dédale d'ilots sans noms.
J'ai passé une journée là, dans les environs de St Brieuc il y a une dizaine d'années et ça donne des envies d'un retour ...
Nous on y est allé il y a 25 ans et nos enfants s'en rappellent encore
Tout près de la jolie cité de Paimpol, son petit port ... vraiment un joli coin de Bretagne. Mais l'émission est restée sur Bréhat.
pibama a écrit :Ce soir "des racines et des ailes" consacrée à la Bretagne . Ne pas croire et voir ce qui va être dit. Il fait gris tout le temps, il pleut, c'est des sauvages qui élèvent toujours des menhirs, c'est photoshopé à donf. Que des lhistoires à dormir debout
Oue j'ai vu la programmation, on pensait regarder
On a vu que la fin comme ça, on a été quitte de voir la pluie, les algues et les menhirs
J'avais lu, il y a deux ou trois ans, le livre de Yasmina Khadra intitulé "Ce que le jour doit à la nuit", l'un des meilleurs livres que j'ai lu ces dernières années.
Le cadre en est l'Algérie colonisée des années 1930 à 1962 et de son accès à l'indépendance, à l'issue d'une guerre que la France a appelé pudiquement "les évènements d'Algérie".
Ce livre est l'histoire de la vie d'un homme, de son enfance à sa vieillesse, dans cette Algérie heureuse d'abord, puis bouleversée par la guerre. Le personnage central du livre est né arabe, dans la pauvreté indigène de la banlieue d'Oran. Adopté par un oncle, pharmacien, qui a épousé une française "pied-noir", il va vivre à l'européenne ... partagé entre ses origines ethniques et sa vie dans sa famille d'accueil ; c'est aussi l'histoire de son impossible et unique amour.
Hier soir, France "O" donnait le film tiré de ce merveilleux roman. Si le film met l'accent, plus que le livre, sur la vie sentimentale du personnage central, il n'en rend pas moins parfaitement l'atmosphère.
"Ce que le jour doit à la nuit" de Yasmina Khadra, à lire le livre et (ou) voir le film !
Note : La république cinquième du nom et qui est encore en place, est née de cet épisode douloureux de la décolonisation de l'Algérie. Elle m'a offert un séjour d'une année là-bas, dans cette période troublée, parfaitement rendue par le livre et le film qui en est tiré.