Re: CR DFU 2011
Posté : 29 juin 2011, 09:47
Il pleut, comme minutieusement, sur mon jardin frais et dormant (plagiat de M. Carême) ... ce qui me laisse tout le temps de vous faire part de mes impressions DFU, impressions personnelles extrêmement réduites du fait que mon DFU fut petit minimum !
Bien entendu, on ne peut rendre compte que d'un vécu personnel ; le mien est réduit si je me limite au sport cycliste, grand en revanche pour ce qui touche à la rencontre. Celle-ci a été riche, avec des visages connus (Fred et Béa, Denis) et d'autres découverts à l'occasion de ce rassemblement depuis longtemps espéré, les dignois du cercle "Denis" et les "Laurent's brothers" qui ont porté au plus haut les couleurs "cyberpotes" puisqu'ils ont réalisé ce qu'il faut qualifier d'exploit le fabuleux parcours des sept cols enchaînés du Défi des fondus de l'Ubaye.
Chapeau !
Le géant rabelaisien Gargantua ne savait à la naissance de son fils Pantagruel s'il devait se réjouir de la naissance de son tant beau fils ou pleurer la mort de sa femme morte en couches .... A l'instar de ce personnage littéraire, je suis partagé entre le bonheur d'avoir grimpé la seule Bonnette ou la nostalgie générée par le fait que je n'aie été en position d'accompagner Fred, Denis et Ghislaine dans leur périple des quatre cols ....
Entre les héros, j'ai tenu le rôle bien réducteur du sage ! Et voici en vrac quelques touches relatives à mes impressions personnelles et fugaces.
J'ai tout aimé dans cette rencontre, et admiré le courage de Ghislaine qui a réussi le défi malgré une énorme bronchite (quel courage !), la convivialité au sein du groupe, l'infini discrétion et modestie des "Laurent's, l'accueil sans défaut de nos hôtes. J'ai lu la joie sur le visage de Fred après son exploit et apprécié, mais je les connaissais déjà, les qualités de chaleur humaine de ce qu'il faut bien appeler "l'organisateur", je pense à Denis, bien entendu.
Pour moi, après une année presque blanche de toute activité physique, je n'avais rien envisagé qu'une montée de la Bonnette. J'avais prévu cette montée en solitaire et J'ai eu le bonheur de la faire en très agréable compagnie, puisque Denis m'a réservé cette surprise : C'est avec Christine dont le mari s'expliquait sur cinq cols que nous avons taillé une longue "bavette" sur la longue route montante, conversation facilitée par le fait que nous soyons (pour Christine) et ayant été (pour moi) de la grande maison "éducation nationale".
Nous avons vu une belle et bedonnante marmotte sifflante, été doublés par des dizaines de cyclistes, importunés par un rallye automobile de voitures de course anciennes et des centaines de motards, par toujours respectueux du code de la route. Mais quels paysages ! Et quel bonheur après l'ascension de l'ultime rampe, entre ravin et mur de neige, de se retrouver enfin près de la stèle pour une photo, à respirer à ... 2808 m d'altitude !
Merci Denis et vive le DFU 2012 (avec Tad ?).
PS : J'ai quelques photos à disposition des amateurs - du départ des héros à l'aube frisquette aux grandioses paysage de la Bonnette (le seul col pour moi). Il me faut opérer quelques "recadrages" mais ça viendra. Et une pensée pour les absents que les circonstances de la vie ont tenu momentanément éloignés des jolies routes de l'Ubaye.
Bien entendu, on ne peut rendre compte que d'un vécu personnel ; le mien est réduit si je me limite au sport cycliste, grand en revanche pour ce qui touche à la rencontre. Celle-ci a été riche, avec des visages connus (Fred et Béa, Denis) et d'autres découverts à l'occasion de ce rassemblement depuis longtemps espéré, les dignois du cercle "Denis" et les "Laurent's brothers" qui ont porté au plus haut les couleurs "cyberpotes" puisqu'ils ont réalisé ce qu'il faut qualifier d'exploit le fabuleux parcours des sept cols enchaînés du Défi des fondus de l'Ubaye.
Chapeau !
Le géant rabelaisien Gargantua ne savait à la naissance de son fils Pantagruel s'il devait se réjouir de la naissance de son tant beau fils ou pleurer la mort de sa femme morte en couches .... A l'instar de ce personnage littéraire, je suis partagé entre le bonheur d'avoir grimpé la seule Bonnette ou la nostalgie générée par le fait que je n'aie été en position d'accompagner Fred, Denis et Ghislaine dans leur périple des quatre cols ....
Entre les héros, j'ai tenu le rôle bien réducteur du sage ! Et voici en vrac quelques touches relatives à mes impressions personnelles et fugaces.
J'ai tout aimé dans cette rencontre, et admiré le courage de Ghislaine qui a réussi le défi malgré une énorme bronchite (quel courage !), la convivialité au sein du groupe, l'infini discrétion et modestie des "Laurent's, l'accueil sans défaut de nos hôtes. J'ai lu la joie sur le visage de Fred après son exploit et apprécié, mais je les connaissais déjà, les qualités de chaleur humaine de ce qu'il faut bien appeler "l'organisateur", je pense à Denis, bien entendu.
Pour moi, après une année presque blanche de toute activité physique, je n'avais rien envisagé qu'une montée de la Bonnette. J'avais prévu cette montée en solitaire et J'ai eu le bonheur de la faire en très agréable compagnie, puisque Denis m'a réservé cette surprise : C'est avec Christine dont le mari s'expliquait sur cinq cols que nous avons taillé une longue "bavette" sur la longue route montante, conversation facilitée par le fait que nous soyons (pour Christine) et ayant été (pour moi) de la grande maison "éducation nationale".
Nous avons vu une belle et bedonnante marmotte sifflante, été doublés par des dizaines de cyclistes, importunés par un rallye automobile de voitures de course anciennes et des centaines de motards, par toujours respectueux du code de la route. Mais quels paysages ! Et quel bonheur après l'ascension de l'ultime rampe, entre ravin et mur de neige, de se retrouver enfin près de la stèle pour une photo, à respirer à ... 2808 m d'altitude !
Merci Denis et vive le DFU 2012 (avec Tad ?).
PS : J'ai quelques photos à disposition des amateurs - du départ des héros à l'aube frisquette aux grandioses paysage de la Bonnette (le seul col pour moi). Il me faut opérer quelques "recadrages" mais ça viendra. Et une pensée pour les absents que les circonstances de la vie ont tenu momentanément éloignés des jolies routes de l'Ubaye.