veloblan a écrit : ↑18 mai 2019, 16:25
Je crois que je n'irai pas voté, ce sera la seconde fois, quand je vois qu'un élu quitte le FI pour aller au RN c'est du n'importe quoi, comment peut on changer a ce point, ils vont du coté ou le vent tourne et ne souhaitent que d'être élu.
Content de ne pas avoir voté Macron et vu que je ne voulais pas voter pour la blonde
En fait je pense que ca ne sert plus a rien de voter puisque ils peuvent être élus avec un minimum de voix.
Tu fais bellerive le 25 ?
Dans ce cas, en effet, t'auras pas le temps d'aller voter, y'aura le velo à nettoyer
J'aimerais bien mais ca dépendra de la météo plein le cul de me mouiller, je nettoie plus le vélo comme pour le vote ca sert a rien
Robert a écrit : ↑19 mai 2019, 18:34
Il faut juste espérer que le mauvais temps d'Hitler, Mussolini et Franco ne revienne pas trop vite ... le national socialisme, ça craint !
Ce matin, la presse débat du "cas" Lambert", ce tétraplégique maintenu en vie comme une plante verte, depuis dix ans, dans un hôpital de la ville de Reims.
Si la réponse était simple, claire et dépourvue d'ambiguïté, il y a beau temps qu'elle aurait été donnée.
Et s'opposent deux thèses que l'on ne peut éluder :
- Maintenir en vie, fut elle végétative, un patient en état de mort clinique
- Laisser venir la mort lorsque la médecine se déclare totalement impuissante à rendre à un patient une vie autre que végétative.
Si je devais choisir pour moi, c'est pour la seconde solution que j'opterais. Ce serait sans doute le choix de la totalité des victimes d'accidents de ce type et dont le retour à une existence autre que celle de légume ne saurait être envisagée.
Hélas, ce n'est pas la victime sur son lit d'hôpital qui choisit ... et de se greffer là-dessus toutes sortes de philosophies où le religieux n'est pas absent. Les catholiques de la frange extrême n'ont d'ailleurs pas tardé à se manifester.
Je ne me cache pas de mon choix : Laisser les gens mourir loin de tout acharnement à maintenir une vie quand on sait le combat perdu d'avance.
Pour le cas Lambert, dix longues années d'acharnement thérapeutique inutile ...
Question subsidiaire qui me vient à l'esprit : Le cas de ce patient est-il commun ? Autrement dit, peut-on maintenir ainsi en état de vie végétative de nombreux patients ? Et combien de temps ? Et pour quel coût ? Et dans quel but ?
L'acharnement thérapeutique, c'est l'oubli du fait que la mort est l'issue inscrite et normale de notre voyage sur terre ! Et chacun a son heure ...
Robert a écrit : ↑19 mai 2019, 18:34
Il faut juste espérer que le mauvais temps d'Hitler, Mussolini et Franco ne revienne pas trop vite ... le national socialisme, ça craint !
c'est évident
Et ça vient vite quand le citoyen se désintéresse de la cité !
Ce qui me gêne dans le cas Lambert et ceux dans le même cas c'est la méthode
Pour résumer, ils vont lui enlever sa sonde gastrique qui le nourrit et attendre simplement qu'il meure de faim
OK ils vont l'accompagner pour ne pas qu'il souffre le laver, mais dommage qu'il ne soit pas un chien ou un chat, on ferait autrement , pour eux ils ont la SPA qui veille
Lolo90 a écrit : ↑20 mai 2019, 08:33
Ce qui me gêne dans le cas Lambert et ceux dans le même cas c'est la méthode
Pour résumer, ils vont lui enlever sa sonde gastrique qui le nourrit et attendre simplement qu'il meure de faim
OK ils vont l'accompagner pour ne pas qu'il souffre le laver, mais dommage qu'il ne soit pas un chien ou un chat, on ferait autrement , pour eux ils ont la SPA qui veille
Ta réponse illustre bien la difficulté du cas "Lambert".
Cependant, doit-on indéfiniment prolonger la vie d'un mort-vivant ? Où se situe la limite dans le temps ? Et qui sait ce qu'endure le patient ?
Et qui est en droit de prendre une décision ?
Je ne pense pas qu'aucun chat ou chien ou leurs maîtres n'aient eu à vivre dix ans d'un tel calvaire.
Robert a écrit : ↑19 mai 2019, 18:34
Il faut juste espérer que le mauvais temps d'Hitler, Mussolini et Franco ne revienne pas trop vite ... le national socialisme, ça craint !
c'est évident
Et ça vient vite quand le citoyen se désintéresse de la cité !
Lolo90 a écrit : ↑20 mai 2019, 08:33
Ce qui me gêne dans le cas Lambert et ceux dans le même cas c'est la méthode
Pour résumer, ils vont lui enlever sa sonde gastrique qui le nourrit et attendre simplement qu'il meure de faim
OK ils vont l'accompagner pour ne pas qu'il souffre le laver, mais dommage qu'il ne soit pas un chien ou un chat, on ferait autrement , pour eux ils ont la SPA qui veille
Ta réponse illustre bien la difficulté du cas "Lambert".
Cependant, doit-on indéfiniment prolonger la vie d'un mort-vivant ? Où se situe la limite dans le temps ? Et qui sait ce qu'endure le patient ?
Et qui est en droit de prendre une décision ?
Je ne pense pas qu'aucun chat ou chien ou leurs maîtres n'aient eu à vivre dix ans d'un tel calvaire.
en effet c'est un cas compliqué
dans une semaine ses souffrances seront terminées ... éthiquement, on ne peut pas "piquer" un être humain car quand et comment déterminer cette fin ?... un dilemne
C'est vrai que l'euthanasie n'est pas autorisée en France, mais c'est un 2ème débat qui suit le premier qui est pour ou contre l'acharnement thérapeutique
plein le cul de me mouiller, je nettoie plus le vélo
