CR du DFU!

[Denis]

Bravo Denis, mille fois bravo.
Pour le compte-rendu très vivant, où, le lisant, j'ai partagé tes souffrances et tes bonheurs aussi ; pour l'exploit surtout car, connaissant ces routes, tunnels, montées et descentes, météos capricieuses de montagne, j'en connais les difficultés cumulées.
Et même le menu de l'auberge, je l'ai partagé avec vous !
J'ai, bien que dans la plus complète incertitude, l'espoir de partager encore ces moments privilégiés avec vous.
Je me contenterai de moins (de cols), mais je prendrai autant de gnocchis à la sauce italienne et de bons vins. On fait les exploits qu'on peut.
Bien amicalement.

....c'était pas des "gnocchis" mais des "tagliatelles"...

Tadkozh

C'était les deux!

[Tadkozh]

Bravo Denis, mille fois bravo.
Pour le compte-rendu très vivant, où, le lisant, j'ai partagé tes souffrances et tes bonheurs aussi ; pour l'exploit surtout car, connaissant ces routes, tunnels, montées et descentes, météos capricieuses de montagne, j'en connais les difficultés cumulées.
Et même le menu de l'auberge, je l'ai partagé avec vous !
J'ai, bien que dans la plus complète incertitude, l'espoir de partager encore ces moments privilégiés avec vous.
Je me contenterai de moins (de cols), mais je prendrai autant de gnocchis à la sauce italienne et de bons vins. On fait les exploits qu'on peut.
Bien amicalement.

....c'était pas des "gnocchis" mais des "tagliatelles"...

Tadkozh

C'était les deux!

....ah ben je veux bien Denis mais là, le cr manquait de précisions...

Tadkozh

[Denis]

Gnocchis le vendredi soir, tagliatelles le samedi!

[phiphi]

Alors là Tad, tu chipotes ! je dirais même que tu cherches l'embrouille ! C'est Denis qui a raison, na ! ! !

[phiphi]

Aller, je vais mettre un petit mot, bien que Denis a admirablement bien résumé cette belle journée.
C'est avec grand plaisir que nous retrouvons Denis à Dignes; il est accompagné par 2 super copains, Guislaine et Christian, et direction Barcelo. Je bois tellement de flotte dans la journée, que je suis dans l'obligation de m'arrêter afin de satisfaire un petit besoin naturel 2 fois en moins d'1/2 heure ! Cela fait 2 semaines maintenant que je bois mes 2 litres d'eau par jour, c'est sûr, cette fois je serais bien hydraté ! Arrivé à Barcelo, nous retrouvons tous les autres amis de Denis et ils sont nombreux, mais c'est vrai qu'avec une telle gentillesse accompagnée d'une bonne humeur quasi permanente, il est impossible de ne pas compter " El Gladiator " parmi ces amis ! Nous filons à l'insciption retirer notre plaque de cadre, puis allons sur la place boire une petite mousse à la terrasse du même café que l'année dernière, sauf que Robert n'est pas là et qu'il nous manque ! Aussi, nous décidons de lui envoyer une petite carte pour lui remonter le moral, de même pour Tad afin qu'entre nos 2 ainés, il n'y ai pas de jaloux !
Samedi matin 4h00, le réveil sonne, je n'ai quasiment pas dormi de la nuit, malgré 1/2 Stilnox, tant la toux de Christine est importante ! (( nous savons depuis ce matin, que c'est une nouvelle pneumopathie ! ! ! )), mais c'est bizarre, je me sens bien, je descends au p'tit deuj, tout le monde est déjà là ! Nous allons nous habiller, nous sommes prêt à partir, sauf Denis qui se fait désirer et du coup, Guislaine s'impatiente ! Pas depanique ma belle, nous sommes à 800ml du départ !
Pan, c'est parti pour la journée et les 30 bornes qui nous séparent de Pontis sont avallées grand train comme d'habitude ! Sur un pont provisoire (( l'autre est entrain de se fendre en 2 !)), un mec se " gauffre ", je ne sais vraiment pas comment il a bien pu s'y prendre, mais bon, ça peut arriver, cela n'as pas enclanché une chute collective, c'est le principal ! Christian n'aura pas cette chance dans le tunnel, hélas ! S'arrêter dans la nuit " noire " au beau milieu du tunnel, faut vraiment être débile, j'en ai même évité 1 sur le coté gauche, qui faisait demi-tour pour voir ce qui se passait, incroyable ! Il en a pris pour " son grade ", tant pis après tout ! Heureusement que j'avais ma frontale allumée et mon petit feu rouge sur le dessus de mon casque !
Nous voici au pied de Pontis, c'est curieux, je me sens bien dans ce col que je n'apprécie pas vraiment; un concurrent me rattrappe et me double, mais cela je le devinais tant son essouflement hyper important, une vrai " machine à vapeur " ! Petite pose en haut, le temps de rassembler les troupes pour partir vers St Jean. Nous voici au Sauze du lac, j'attendais cette descente avec impatience, car si j'ai été trés prudent pour descendre Pontis, car je savais que cette route est en mauvais état, autant " l'autoroute " du Sauze se prette à merveille pour un exercice de haute voltige, et comme j'adore ça, je ne m'en prive pas, bien caculer sa trajectoire, rentrer à fond dans la courbe, bien pencher " le bike" et filer telle une météor, c'est grisant, quel régal !
Nous voici à la sortie du pont, là où l'Ubaye se jette dans le lac et nous attaquons la longue remontée vers le bas du col St Jean,juste après le carrefour sur la droite, nous apercevons en-dessous de nous, Christian et Guislaine qui roule de concert, nous nous faisons un petit coucou avec un petit signe de la main, j'adore cet instant ! je règle l'allure à 15km/h et la vitesse sera quasiment linéaire jusqu'au sommet, ça va bien; Nouvelle petite pose pour rassembler les troupes afin de former un groupe pour le retour (très) ennuyeux sur un long faux plat vers Barcelo; c'est un peu du n'importe quoi devant, aussi, je décide d'aller rouler devant, je préfère une allure régulière, et finalement, ce retour souvent fastidieux sera pas si long que ça et je m'en trouve trés étonné. Petit arrêt au Gîte pour se dévétir quelque peut, la tempé commençant à monter généreusement ! (( nous n'irons jusqu'a nous déshabiller comme l'autre con de la baraque des cantonniers dans Allos )) Petit crochet par Uvernet pour se restaurer, et oui Tad, la liaison avec la route d'Allos est toujours aussi mauvaise ! Nous voici dans la montée d'Allos, et là, je sens le coup de pédale " foutre le camp ", pourtant à ce moment précis, j'étais bien mieux que l'année dernière, que se passe t'il ? je me connais bien, je sais que cela va aller en s'accentuant, que je vais galérer, aussi bien musculairement que dans la tête ! C'est vrai que depuis 2 mois (( ce chiffre 2 commence à me " pomper " ! )), c'est pas " top " au niveau mental, j'ai l'impression que j'ai de moins en moins envie de me " battre " et j'en ai marre de cette galère qui dure depuis 8 ans déjà ! J'extrapole sur ce qui va se passer dans les semaines à venir, de ce que Christine va encore devoir endurer pour enfin être tranquille avec son corps, ça me mine ! Christian et Guislaine sont loin devant, Denis à quelques centaines de mètres, il a le coup de pédale facile " le gaillard ", et c'est là que l'on voit que le travail paie ! Une jeune femme du club de Vence, s'arrête sur le bord de la route, exténuée, je l'encourage à repartir avec moi, mais rien n'y fait, j'ai de la peine pour elle . Tant bien que mal je monte, les virages au-dessus de moi avec leur haut murs de soutènement me font peur, mais en même temps, je sais qu'une fois sortie de cet endroit, le sommet n'est plus loin. Ouf, c'est fait ! Je rejoinds Guislaine, une vrai championne, Christian et Denis, vite je passe un coupe vent pour redescendre rapidement rejoindre Christine qui doit m'attendre à Uvernet, mais qui doit aussi être à 13h00 au gîte pour prendre son repas avec les propriaitaires, ça va être " short ", aussi, cette descente sinueuse à souhait va me " servir " à vociférer quelques rancoeurs que j'ai sur le " cours de la vie " qu'est la nôtre depuis un certain temps ! J'hurle en filant vitesse grand V et cela me fait du bien, ça va très vite, frissons garantis et j'adore ça, heureusement qu'il y a de bon frein tout même,notamment lorsqu'une terrible crampe me bloque littérallement la jambe gauche ! J'ai eu tout le loisir d'admirer le Bachelard au fond de précipices vertigineux en montant, en descendant, IMPOSSIBLE ! Par contre, je sais maintenant que la suite va êre particulièrement difficile ! Je " loupe " Christine, je file donc au gîte pour prendre un bon repas, salade de riz au thon, 2 (( encore ! )) cuisses de poulet, Christian et Guislaine sont affamés, il m'en reste 2 (( HUM !!! )), je leur propose, ils se jettent dessus ! ! !, puis gâteau de riz, et banane. Ils sont partis se restaurer à la salle de l'organisation, je les rejoinds donc là bas et nous partons vers Jausiers. Le coup de pédale est laborieux, arrive une envie d'aller aux toilettes que je dois absolument satisfaire tant cela me gêne, je leur demande de continuer sans moi, de toute façon, je vais être un boulet pour eux, c'est donc mieux ainsi. Je reparts pour attaquer Restefond-La Bonette, cette année, petite nouveauté, il faut aller faire le tour de La Bonnette, je veux être tranquille avec ma consience, il fait une chaleur torride, je monte 4/5 km, puis je lâche prise, je fais demi tour, je croise un groupe qui attaque cette longue montée, je reconnais au passage la silouette, et pour cause, de notre ami Christian qui pédale d'une jambe et tire sur son cintre d'un bras, quel courage, quel exemple d'abnégation ! un sentiment de honte m'envahit, je me sens mal, je m'arrête a la fontaine, juste au pied du début du Col, je médite et en même temps, je me dis qu'il vaut mieux arrêter là, ne pas prendre de risque inutile, j'en ai pris suffisammet comme ça dans les descentes, car ma moitié va avoir besoin de moi dans les semaines à venir, et là, je n'aurais pas le droit de lâcher !

[Tadkozh]

Alors là Tad, tu chipotes ! je dirais même que tu cherches l'embrouille ! C'est Denis qui a raison, na ! ! !

Tadkozh

[Tadkozh]

Aller, je vais mettre un petit mot, bien que Denis a admirablement bien résumé cette belle journée.
C'est avec grand plaisir que nous retrouvons Denis à Dignes; il est accompagné par 2 super copains, Guislaine et Christian, et direction Barcelo. Je bois tellement de flotte dans la journée, que je suis dans l'obligation de m'arrêter afin de satisfaire un petit besoin naturel 2 fois en moins d'1/2 heure ! Cela fait 2 semaines maintenant que je bois mes 2 litres d'eau par jour, c'est sûr, cette fois je serais bien hydraté ! Arrivé à Barcelo, nous retrouvons tous les autres amis de Denis et ils sont nombreux, mais c'est vrai qu'avec une telle gentillesse accompagnée d'une bonne humeur quasi permanente, il est impossible de ne pas compter " El Gladiator " parmi ces amis ! Nous filons à l'insciption retirer notre plaque de cadre, puis allons sur la place boire une petite mousse à la terrasse du même café que l'année dernière, sauf que Robert n'est pas là et qu'il nous manque ! Aussi, nous décidons de lui envoyer une petite carte pour lui remonter le moral, de même pour Tad afin qu'entre nos 2 ainés, il n'y ai pas de jaloux !
Samedi matin 4h00, le réveil sonne, je n'ai quasiment pas dormi de la nuit, malgré 1/2 Stilnox, tant la toux de Christine est importante ! (( nous savons depuis ce matin, que c'est une nouvelle pneumopathie ! ! ! )), mais c'est bizarre, je me sens bien, je descends au p'tit deuj, tout le monde est déjà là ! Nous allons nous habiller, nous sommes prêt à partir, sauf Denis qui se fait désirer et du coup, Guislaine s'impatiente ! Pas depanique ma belle, nous sommes à 800ml du départ !
Pan, c'est parti pour la journée et les 30 bornes qui nous séparent de Pontis sont avallées grand train comme d'habitude ! Sur un pont provisoire (( l'autre est entrain de se fendre en 2 !)), un mec se " gauffre ", je ne sais vraiment pas comment il a bien pu s'y prendre, mais bon, ça peut arriver, cela n'as pas enclanché une chute collective, c'est le principal ! Christian n'aura pas cette chance dans le tunnel, hélas ! S'arrêter dans la nuit " noire " au beau milieu du tunnel, faut vraiment être débile, j'en ai même évité 1 sur le coté gauche, qui faisait demi-tour pour voir ce qui se passait, incroyable ! Il en a pris pour " son grade ", tant pis après tout ! Heureusement que j'avais ma frontale allumée et mon petit feu rouge sur le dessus de mon casque !
Nous voici au pied de Pontis, c'est curieux, je me sens bien dans ce col que je n'apprécie pas vraiment; un concurrent me rattrappe et me double, mais cela je le devinais tant son essouflement hyper important, une vrai " machine à vapeur " ! Petite pose en haut, le temps de rassembler les troupes pour partir vers St Jean. Nous voici au Sauze du lac, j'attendais cette descente avec impatience, car si j'ai été trés prudent pour descendre Pontis, car je savais que cette route est en mauvais état, autant " l'autoroute " du Sauze se prette à merveille pour un exercice de haute voltige, et comme j'adore ça, je ne m'en prive pas, bien caculer sa trajectoire, rentrer à fond dans la courbe, bien pencher " le bike" et filer telle une météor, c'est grisant, quel régal !
Nous voici à la sortie du pont, là où l'Ubaye se jette dans le lac et nous attaquons la longue remontée vers le bas du col St Jean,juste après le carrefour sur la droite, nous apercevons en-dessous de nous, Christian et Guislaine qui roule de concert, nous nous faisons un petit coucou avec un petit signe de la main, j'adore cet instant ! je règle l'allure à 15km/h et la vitesse sera quasiment linéaire jusqu'au sommet, ça va bien; Nouvelle petite pose pour rassembler les troupes afin de former un groupe pour le retour (très) ennuyeux sur un long faux plat vers Barcelo; c'est un peu du n'importe quoi devant, aussi, je décide d'aller rouler devant, je préfère une allure régulière, et finalement, ce retour souvent fastidieux sera pas si long que ça et je m'en trouve trés étonné. Petit arrêt au Gîte pour se dévétir quelque peut, la tempé commençant à monter généreusement ! (( nous n'irons jusqu'a nous déshabiller comme l'autre con de la baraque des cantonniers dans Allos )) Petit crochet par Uvernet pour se restaurer, et oui Tad, la liaison avec la route d'Allos est toujours aussi mauvaise ! Nous voici dans la montée d'Allos, et là, je sens le coup de pédale " foutre le camp ", pourtant à ce moment précis, j'étais bien mieux que l'année dernière, que se passe t'il ? je me connais bien, je sais que cela va aller en s'accentuant, que je vais galérer, aussi bien musculairement que dans la tête ! C'est vrai que depuis 2 mois (( ce chiffre 2 commence à me " pomper " ! )), c'est pas " top " au niveau mental, j'ai l'impression que j'ai de moins en moins envie de me " battre " et j'en ai marre de cette galère qui dure depuis 8 ans déjà ! J'extrapole sur ce qui va se passer dans les semaines à venir, de ce que Christine va encore devoir endurer pour enfin être tranquille avec son corps, ça me mine ! Christian et Guislaine sont loin devant, Denis à quelques centaines de mètres, il a le coup de pédale facile " le gaillard ", et c'est là que l'on voit que le travail paie ! Une jeune femme du club de Vence, s'arrête sur le bord de la route, exténuée, je l'encourage à repartir avec moi, mais rien n'y fait, j'ai de la peine pour elle . Tant bien que mal je monte, les virages au-dessus de moi avec leur haut murs de soutènement me font peur, mais en même temps, je sais qu'une fois sortie de cet endroit, le sommet n'est plus loin. Ouf, c'est fait ! Je rejoinds Guislaine, une vrai championne, Christian et Denis, vite je passe un coupe vent pour redescendre rapidement rejoindre Christine qui doit m'attendre à Uvernet, mais qui doit aussi être à 13h00 au gîte pour prendre son repas avec les propriaitaires, ça va être " short ", aussi, cette descente sinueuse à souhait va me " servir " à vociférer quelques rancoeurs que j'ai sur le " cours de la vie " qu'est la nôtre depuis un certain temps ! J'hurle en filant vitesse grand V et cela me fait du bien, ça va très vite, frissons garantis et j'adore ça, heureusement qu'il y a de bon frein tout même,notamment lorsqu'une terrible crampe me bloque littérallement la jambe gauche ! J'ai eu tout le loisir d'admirer le Bachelard au fond de précipices vertigineux en montant, en descendant, IMPOSSIBLE ! Par contre, je sais maintenant que la suite va êre particulièrement difficile ! Je " loupe " Christine, je file donc au gîte pour prendre un bon repas, salade de riz au thon, 2 (( encore ! )) cuisses de poulet, Christian et Guislaine sont affamés, il m'en reste 2 (( HUM !!! )), je leur propose, ils se jettent dessus ! ! !, puis gâteau de riz, et banane. Ils sont partis se restaurer à la salle de l'organisation, je les rejoinds donc là bas et nous partons vers Jausiers. Le coup de pédale est laborieux, arrive une envie d'aller aux toilettes que je dois absolument satisfaire tant cela me gêne, je leur demande de continuer sans moi, de toute façon, je vais être un boulet pour eux, c'est donc mieux ainsi. Je reparts pour attaquer Restefond-La Bonette, cette année, petite nouveauté, il faut aller faire le tour de La Bonnette, je veux être tranquille avec ma consience, il fait une chaleur torride, je monte 4/5 km, puis je lâche prise, je fais demi tour, je croise un groupe qui attaque cette longue montée, je reconnais au passage la silouette, et pour cause, de notre ami Christian qui pédale d'une jambe et tire sur son cintre d'un bras, quel courage, quel exemple d'abnégation ! un sentiment de honte m'envahit, je me sens mal, je m'arrête a la fontaine, juste au pied du début du Col, je médite et en même temps, je me dis qu'il vaut mieux arrêter là, ne pas prendre de risque inutile, j'en ai pris suffisammet comme ça dans les descentes, car ma moitié va avoir besoin de moi dans les semaines à venir, et là, je n'aurais pas le droit de lâcher !

....Encore un beau cr...!! bien Phiphi...cette lucidité est remarquable...et ne pas monter la bonette t'a certainement plus couter que d'en faire l'ascension..!! En tout il faut savoir raison garder. Vous avez passé de bons moments tous ensemble et c'est le principal me semble-t-il...!!
Bonne journée Phiphi et pokoù à Christine...et merci pour la carte

Tadkozh

[Denis]

Ben Phiphi, bravo! Ton CR m'a ému. Et c'est vrai que d'aller au dessus de tes capacités ce jour là n'aurait pas été raisonnable. Donc tu as bien fait! Gardes toutes tes forces pour la suite, et comme Christine sait que tu ne laches rien, je suis sur qu'elle se sent en sécurité.
Va vraiment falloir qu'on se voie plus qu'une fois par an! Dimanche en rentrant à Digne, j'avais le cafard...

Mais quand j'y pense... quel pied que ce week end!

[Robert]

Bonjour et merci Philippe ...

La lecture de ton compte-rendu m'a beaucoup ému. Pour beaucoup de raisons. Je suis très admiratif de ton courage, de ton abnégation ; à travers ces lignes que tu as écrites, j'ai pris conscience des valeurs qui dominent chez toi : celles de l'homme à la fois héroïque et sage.

Bien sûr, tu aurais pu aller au bout de l'effort : Tu a mis la priorité sur l'essentiel. En ces moment difficile, ta santé est prioritaire.

Pour t'avoir suivi en voiture, l'année dernière, dans la descente de la Bonnette, Christine passagère à mes côtés, je te l'avoue aujourd'hui, j'ai admiré ta maîtrise mais j'ai eu peur pour toi. Et Christine a eu peur aussi quand, au volant d'une voiture, je n'arrivais pas à te suivre ; nous t'avons perdu de vue dans un lacet et ne t'avons pas revu.
J'ai dit à Christine, pour la rassurer, que tu t'étais sans doute arrêté pour satisfaire un besoin naturel dans cette descente glacée, que nous te retrouverions à Jausiers. En fait, tu nous avais tout simplement semé et nous t'avons repris sur le plat, alors que tu doublais un cycliste jeune et chevelu. Des moments forts que je n'oublierai jamais.

Bon courage à vous deux en espérant vous revoir cette année en Alsace..

[Robert]

Le facteur vient de m'apporter une carte de Barcelonnette.
Cette marque d'amitié m'est allée au coeur. Un grand merci.

PS : Je viens de le remarquer : BarceloNNette mais la BoNette ; décidément, l'orthographe est bien compliquée !