
Portraits de potes.
- Denis
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Re: Portraits de potes.
Moi je ne vois pas! 

- Tadkozh
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Re: Portraits de potes.
....on va vous prendre en cours particulier du soir, en géographie, avec Robert...
Tadkozh

Tadkozh
- Robert
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Re: Portraits de potes. Portraits insolites.
Un coucou en forme de clin d'oeil.
Hier, lors d'un séjour de deux heures trente sur le fauteuil de mon dentiste, m'est revenue en mémoire l'image de mes premiers séjours dans un cabinet dentaire, mes premières expériences avec un chirurgien dentiste.
Pourquoi avais-je choisi ce praticien ? Sur ce point, ma mémoire est infidèle.
Le docteur Z ..... avait une solide réputation d'efficacité.
Il était tout petit, vieux déjà, chauve, bourru et notoirement homosexuel.
J'avais dix-huit ans. Sans doute avais-je eu le tort involontaire de lui plaire, si bien que notre relation de docteur à patient avait pris un tour très particulier et familier dont, à l'époque, je n'avais pas eu pleinement conscience.
A chacune de mes séances, il me parlait de l'horreur des relations qu'un homme peut avoir avec les femmes, responsables, à ses yeux, de tous les miasmes existentiels masculins !
Il m'avait à l'époque prêté un livre, sans rapport aucun avec l'homosexualité et qui avait pour titre "Quand la Chine s'éveillera" de Roger Peyrefitte ... Un titre à relire et qui est bien d'actualité.
Le cabinet d'opérations du docteur Z.... ressemblait fort à la salle de torture que la police hitlérienne a utilisée à l'endroit de Jean Moulin et des hommes de son réseau de résistants. J'y ai connu la souffrance ! Car le matériel utilisé était fort vétuste et le praticien peu sensible à la douleur de ses patients qui méritaient pleinement cette appellation de "patients".
Et j'ai le souvenir du sempiternel déroulement de ma séance de dentisterie d'alors.
- Salut Tarzan ! (c'est ainsi que m'interpelait le praticien).
- Fous ton cul la-dessus, continuait le docteur, en me désignant le siège du supplicié.
Le docteur me tutoyait, privautés autorisées sans doute par notre différence d'âge ...
Et commençait alors une séance qu'aucune pratique de torture moyenâgeuse n'aurait reniée !
...............................
Alors que se déroule aujourd'hui mon séjour chez le dentiste, ce 12 janvier 2020, je n'en reviens pas de cette évolution des soins dentaires ! Quel souci du patient devenu presque un hôte ! Et de me remémorer mes douloureuses expériences sous la férule du docteur Z.... . C'était il y a plus de soixante ans !
Vive le progrès !
Hier, lors d'un séjour de deux heures trente sur le fauteuil de mon dentiste, m'est revenue en mémoire l'image de mes premiers séjours dans un cabinet dentaire, mes premières expériences avec un chirurgien dentiste.
Pourquoi avais-je choisi ce praticien ? Sur ce point, ma mémoire est infidèle.
Le docteur Z ..... avait une solide réputation d'efficacité.
Il était tout petit, vieux déjà, chauve, bourru et notoirement homosexuel.
J'avais dix-huit ans. Sans doute avais-je eu le tort involontaire de lui plaire, si bien que notre relation de docteur à patient avait pris un tour très particulier et familier dont, à l'époque, je n'avais pas eu pleinement conscience.
A chacune de mes séances, il me parlait de l'horreur des relations qu'un homme peut avoir avec les femmes, responsables, à ses yeux, de tous les miasmes existentiels masculins !
Il m'avait à l'époque prêté un livre, sans rapport aucun avec l'homosexualité et qui avait pour titre "Quand la Chine s'éveillera" de Roger Peyrefitte ... Un titre à relire et qui est bien d'actualité.
Le cabinet d'opérations du docteur Z.... ressemblait fort à la salle de torture que la police hitlérienne a utilisée à l'endroit de Jean Moulin et des hommes de son réseau de résistants. J'y ai connu la souffrance ! Car le matériel utilisé était fort vétuste et le praticien peu sensible à la douleur de ses patients qui méritaient pleinement cette appellation de "patients".
Et j'ai le souvenir du sempiternel déroulement de ma séance de dentisterie d'alors.
- Salut Tarzan ! (c'est ainsi que m'interpelait le praticien).
- Fous ton cul la-dessus, continuait le docteur, en me désignant le siège du supplicié.
Le docteur me tutoyait, privautés autorisées sans doute par notre différence d'âge ...
Et commençait alors une séance qu'aucune pratique de torture moyenâgeuse n'aurait reniée !
...............................
Alors que se déroule aujourd'hui mon séjour chez le dentiste, ce 12 janvier 2020, je n'en reviens pas de cette évolution des soins dentaires ! Quel souci du patient devenu presque un hôte ! Et de me remémorer mes douloureuses expériences sous la férule du docteur Z.... . C'était il y a plus de soixante ans !
Vive le progrès !
- Lolo90
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Re: Portraits de potes.
On peut dire qu'il y a une chose qui n'a pas changée, les docteurs c'est tous des pd
T'as qu'à en parler à Jean-Mi

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- callune
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- Robert
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Re: Portraits de potes.
Et qu'aurais-tu fait s'il l'avait fait ?


- Lolo90
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Re: Portraits de potes.
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Re: Portraits de potes.
- Lolo90
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