Re: Coup de gueule ...
Posté : 31 août 2017, 14:29
Le temps de la rentrée des classes déterre un vieux serpent de mer : Les rythmes scolaires.
Et le problème est à géométrie limitée depuis que le samedi matin est entré dans le congé hebdomadaire. Des habitudes ont été prises dès lors que le ministre Darcos a décrété le samedi matin libéré d'obligations scolaires.
Tout retour en arrière est impossible.
Pour les rythmes, l'idée générale qui relève d'une simple logique est d'étaler au mieux les apprentissages sur la semaine et l'année ...
Donc, a priori, plutôt quatre jours et demi que quatre jours, cette dernière solution alourdissant les journées.
Oui, mais, cinq jours de travail consécutifs est aussi une mauvaise solution (c'était le choix opéré jusqu'à cette rentrée 2017/2018) car sans la coupure du mercredi, les enfants se fatiguent ...
En vérité, et tous les chrono biologistes en sont d'accord, l'intérêt stricte de l'enfant serait une semaine à quatre jours et demi, avec un mercredi libéré et donc un samedi matin travaillé.
Ce qui ne sera jamais plus pour les raisons suivantes :
- Les habitudes du WE de deux jours sont ancrées
- Il existe un trop grand nombre de situations où la famille est re (ou dé) composée et l'enfant partagé entre ses deux parents.
- Tout le monde, y compris une grande majorité d'enseignants, souhaite bénéficier d'un congé hebdomadaire de deux jours consécutifs
- Enfin, le puissant lobby du tourisme et de la restauration tient à sa clientèle et ce facteur économique est et a été déterminant.
Nous sommes donc loin de l'intérêt de l'enfant apprenant, intérêt qui pèse et a pesé bien peu en regard des autres facteurs .
Le problème des rythmes scolaires ?
Pour la semaine, plus aucune solution valable, les deux choix opérés comportant des inconvénients importants.
Reste l'aménagement de l'année scolaire où tout est possible encore.
A condition de ne pas tenir compte, ni des religions, ni des intérêts du lobby du tourisme. Pas gagné !
Et le problème est à géométrie limitée depuis que le samedi matin est entré dans le congé hebdomadaire. Des habitudes ont été prises dès lors que le ministre Darcos a décrété le samedi matin libéré d'obligations scolaires.
Tout retour en arrière est impossible.
Pour les rythmes, l'idée générale qui relève d'une simple logique est d'étaler au mieux les apprentissages sur la semaine et l'année ...
Donc, a priori, plutôt quatre jours et demi que quatre jours, cette dernière solution alourdissant les journées.
Oui, mais, cinq jours de travail consécutifs est aussi une mauvaise solution (c'était le choix opéré jusqu'à cette rentrée 2017/2018) car sans la coupure du mercredi, les enfants se fatiguent ...
En vérité, et tous les chrono biologistes en sont d'accord, l'intérêt stricte de l'enfant serait une semaine à quatre jours et demi, avec un mercredi libéré et donc un samedi matin travaillé.
Ce qui ne sera jamais plus pour les raisons suivantes :
- Les habitudes du WE de deux jours sont ancrées
- Il existe un trop grand nombre de situations où la famille est re (ou dé) composée et l'enfant partagé entre ses deux parents.
- Tout le monde, y compris une grande majorité d'enseignants, souhaite bénéficier d'un congé hebdomadaire de deux jours consécutifs
- Enfin, le puissant lobby du tourisme et de la restauration tient à sa clientèle et ce facteur économique est et a été déterminant.
Nous sommes donc loin de l'intérêt de l'enfant apprenant, intérêt qui pèse et a pesé bien peu en regard des autres facteurs .
Le problème des rythmes scolaires ?
Pour la semaine, plus aucune solution valable, les deux choix opérés comportant des inconvénients importants.
Reste l'aménagement de l'année scolaire où tout est possible encore.
A condition de ne pas tenir compte, ni des religions, ni des intérêts du lobby du tourisme. Pas gagné !