La cure ...
Posté : 22 déc. 2015, 10:59
Entre "tamalous" c'est bien connu, au même titre que peut l'être pluie et beau temps, le sujet santé n'est jamais loin.
Ce matin, allant vers la ville à pied, j'ai rencontré une connaissance de ma génération ; ne s'étaient passées que quelques secondes que la conversations dérivait sur LE SUJET ... La santé. La mienne étant convenable, j'en parle peu. Donc j'ai écouté car le monsieur en cause rentre de cure et s'est fait un devoir de m'en raconter quelques détails.
Je ne vous dirais pas le lieu de la cure, afin de ne pas faire une publicité à l'envers à ce lieu connu ; c'est un endroit perdu, si perdu que la route même s'y perd. De là, on y arrive mais on ne va pas plus loin.
Une cure, c'est une épreuve me dit-il ! Le pauvre homme était astreint à s'y présenter le matin, à Jeun. Mon interlocuteur n'a pas silhouette d'ascète et vu son tour de taille, je présume qu'il a perdu sa quèquète de vue depuis un certain temps !
Et ça commence mal : Il n'a droit, entre autres "soins" que de boire une eau sulfuro-ferrugineuse qui lui rouille le pacemaker et lui met les boyaux en vrille. Et, pour ajouter aux délices, on l'arrose violemment d'un jet puissant, si puissant que son ventre imposant en bleuit ! Il entre sans le vouloir dans l'ethnie des "Stroumpfs" ...
Il réside dans un établissement, en demi-pension. C'est un boui-boui me précise-t-il. Il paie un petit déjeuner qu'il ne prend pas puisqu'il lui faut se rendre à la cure le ventre vide. Et parlons du menu ! Des pizza au feu de bois mouillé et qui sentent la fumée ... Un jour la paëlla servie qui sent fort le moisi, est garnie de langoustines, tantôt curieusement décapitées, tantôt réduites à une simple carapace ... Et le résultat du lendemain, parlons-en : Un visage boutonneux pour mon narrateur, et pour son épouse, d'épouvantables démangeaisons à l'endroit où l'intestin grêle arrive à son terminus et prend le nom d'anus ...
Heureusement, nos chemins se séparent sur cet énoncé de maux ! Sans doute en existe-t-il d'autres.
Conclusion : Je vais essayer de continuer à éviter les cures !
Ce matin, allant vers la ville à pied, j'ai rencontré une connaissance de ma génération ; ne s'étaient passées que quelques secondes que la conversations dérivait sur LE SUJET ... La santé. La mienne étant convenable, j'en parle peu. Donc j'ai écouté car le monsieur en cause rentre de cure et s'est fait un devoir de m'en raconter quelques détails.
Je ne vous dirais pas le lieu de la cure, afin de ne pas faire une publicité à l'envers à ce lieu connu ; c'est un endroit perdu, si perdu que la route même s'y perd. De là, on y arrive mais on ne va pas plus loin.
Une cure, c'est une épreuve me dit-il ! Le pauvre homme était astreint à s'y présenter le matin, à Jeun. Mon interlocuteur n'a pas silhouette d'ascète et vu son tour de taille, je présume qu'il a perdu sa quèquète de vue depuis un certain temps !
Et ça commence mal : Il n'a droit, entre autres "soins" que de boire une eau sulfuro-ferrugineuse qui lui rouille le pacemaker et lui met les boyaux en vrille. Et, pour ajouter aux délices, on l'arrose violemment d'un jet puissant, si puissant que son ventre imposant en bleuit ! Il entre sans le vouloir dans l'ethnie des "Stroumpfs" ...
Il réside dans un établissement, en demi-pension. C'est un boui-boui me précise-t-il. Il paie un petit déjeuner qu'il ne prend pas puisqu'il lui faut se rendre à la cure le ventre vide. Et parlons du menu ! Des pizza au feu de bois mouillé et qui sentent la fumée ... Un jour la paëlla servie qui sent fort le moisi, est garnie de langoustines, tantôt curieusement décapitées, tantôt réduites à une simple carapace ... Et le résultat du lendemain, parlons-en : Un visage boutonneux pour mon narrateur, et pour son épouse, d'épouvantables démangeaisons à l'endroit où l'intestin grêle arrive à son terminus et prend le nom d'anus ...
Heureusement, nos chemins se séparent sur cet énoncé de maux ! Sans doute en existe-t-il d'autres.
Conclusion : Je vais essayer de continuer à éviter les cures !