Lectures .....
- Robert
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Je viens de terminer la lecture du livre qui m'a été offert par mes enfants pour mon Noël :
Il s'agit du bouquin intitulé " La dernière nuit du raïs" de Yasmina Khadra".
L'auteur se livre à cet exercice difficile de se glisser dans l'être plein de paradoxes qu'est le tyran Lybien Mouammar Khadafi pour nous livrer ses états d'âme et sa fin tragique, massacré par ses concitoyens, par son peuple qu'il a pensé sauver en le portant à la modernité.
Il vit ses dernières heures avec le cercle restreint de ses derniers soutiens, à la manière d'Hitler retranché dans son bunker.
L'analyse du mental d'un dictateur sanguinaire me paraît intéressante et pertinente ; je regrette cependant qu'il soit fait assez peu état des rapports entre Khadafi et Sarkozy, juste quelques allusions peu éclairantes, au demeurant.
L'auteur est fidèle à un style d'écriture séduisant ; ce livre très dense se lit avec facilité.
Cependant, si vous deviez avoir envie de lire du "Yasmina Khadra", je vous recommanderais plutôt l'oeuvre intitulée "Ce que le jour doit à la nuit", sans conteste le meilleur livre que j'ai lu à propos du drame algérien, épisode historique qui a occasionné une guerre et le déracinement de centaines de milliers de nos concitoyens.
Un très beau livre, bien écrit et d'une poignante proximité avec le drame dont il est fait un passionnant récit.
Il s'agit du bouquin intitulé " La dernière nuit du raïs" de Yasmina Khadra".
L'auteur se livre à cet exercice difficile de se glisser dans l'être plein de paradoxes qu'est le tyran Lybien Mouammar Khadafi pour nous livrer ses états d'âme et sa fin tragique, massacré par ses concitoyens, par son peuple qu'il a pensé sauver en le portant à la modernité.
Il vit ses dernières heures avec le cercle restreint de ses derniers soutiens, à la manière d'Hitler retranché dans son bunker.
L'analyse du mental d'un dictateur sanguinaire me paraît intéressante et pertinente ; je regrette cependant qu'il soit fait assez peu état des rapports entre Khadafi et Sarkozy, juste quelques allusions peu éclairantes, au demeurant.
L'auteur est fidèle à un style d'écriture séduisant ; ce livre très dense se lit avec facilité.
Cependant, si vous deviez avoir envie de lire du "Yasmina Khadra", je vous recommanderais plutôt l'oeuvre intitulée "Ce que le jour doit à la nuit", sans conteste le meilleur livre que j'ai lu à propos du drame algérien, épisode historique qui a occasionné une guerre et le déracinement de centaines de milliers de nos concitoyens.
Un très beau livre, bien écrit et d'une poignante proximité avec le drame dont il est fait un passionnant récit.
- Tadkozh
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Re: Lectures .....
...Les livres de cet écrivain algérien qui vit on ne sait où (France, Suisse..?) ne me sont pas connus. Fils d'un membre du FLN (mais qui, de nos jours, ne se réclame d'y avoir appartenu comme à la libération chez nous, les "partisans" de la dernière minute...), ancien militaire ayant participé à la lutte contre la montée "islamiste" dans les années 90 et sans doute pas toujours de façon "louable" (il reconnait lui même avoir vu beaucoup de gens mourir...), il semble avoir trouvé sa voie dans l'écriture bien qu'il ait été "titillé" par une carrière politique puisqu'il a été candidat aux dernières élections présidentielles de 2014 qui ont vu le plébiscite de Boute Flika, arrivé au pouvoir sans se rappeler le moindre détail de son élection....
L'ego de Khadra cadre bien avec ses ambitions. Interrogé pendant la "campagne" présidentielle, à la question :" ce que j'aimerais être? " il répond : "ce que je suis" ! autre question :"si le paradis existe, qu'imaginez-vous que Dieu vous dise en y arrivant ?" réponse : "bravo".
Le pompon est celle-ci : "quelle est selon vous la plus grande invention ?" réponse : "le cinéma"...
Je suis donc assez circonspect sur ce personnage....
Tadkozh
L'ego de Khadra cadre bien avec ses ambitions. Interrogé pendant la "campagne" présidentielle, à la question :" ce que j'aimerais être? " il répond : "ce que je suis" ! autre question :"si le paradis existe, qu'imaginez-vous que Dieu vous dise en y arrivant ?" réponse : "bravo".
Le pompon est celle-ci : "quelle est selon vous la plus grande invention ?" réponse : "le cinéma"...
Je suis donc assez circonspect sur ce personnage....
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- Robert
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Re: Lectures .....
J'ignorais totalement ces aspects de la personnalité de Khadra ...
Bon, il semblerait au vu de ce que tu rapportes, qu'il est atteint de la maladie grave appelée "EGO sur-dimensionné". Quant à son père, il n'est pas responsable du cursus de ses ascendants.
J'ignorais aussi qu'il a participé à la guerre civile algérienne contre l'islamisme dans les années 90 ... La guerre, Tad, hélas, n'est pas un jeu avec des règles de bonne conduite. Il n'en existe aucune qui n'ait transgressé la morale ...
Là n'était pas mon propos.
Je n'ai à aucun moment voulu servir d'agent électoral à Khadra. Je me borne à dire que le livre "ce que le jour doit à la nuit" est beau texte, d'une grande sensibilité ; une belle illustration de ce qu'a été la guerre de décolonisation d'Algérie. Pour y avoir participé "à l'insu de mon plein gré" j'atteste que Khadra ne trahit pas la vérité historique.
Et je persiste à en recommander la lecture.
"La dernière nuit du raïs" que je viens de lire, pour intéressant que puisse être ce récit, n'ayant aucune vocation à devenir dictateur, il ne m'a pas touché !
Pour avoir vu Khadra en locuteur dans une émission littéraire télévisée, je l'ai trouvé assez "moyen" oralement, en tous les cas bien moins bon oralement que par écrit.
Bon, il semblerait au vu de ce que tu rapportes, qu'il est atteint de la maladie grave appelée "EGO sur-dimensionné". Quant à son père, il n'est pas responsable du cursus de ses ascendants.
J'ignorais aussi qu'il a participé à la guerre civile algérienne contre l'islamisme dans les années 90 ... La guerre, Tad, hélas, n'est pas un jeu avec des règles de bonne conduite. Il n'en existe aucune qui n'ait transgressé la morale ...
Là n'était pas mon propos.
Je n'ai à aucun moment voulu servir d'agent électoral à Khadra. Je me borne à dire que le livre "ce que le jour doit à la nuit" est beau texte, d'une grande sensibilité ; une belle illustration de ce qu'a été la guerre de décolonisation d'Algérie. Pour y avoir participé "à l'insu de mon plein gré" j'atteste que Khadra ne trahit pas la vérité historique.
Et je persiste à en recommander la lecture.
"La dernière nuit du raïs" que je viens de lire, pour intéressant que puisse être ce récit, n'ayant aucune vocation à devenir dictateur, il ne m'a pas touché !
Pour avoir vu Khadra en locuteur dans une émission littéraire télévisée, je l'ai trouvé assez "moyen" oralement, en tous les cas bien moins bon oralement que par écrit.
- Tadkozh
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Re: Lectures .....
...j'entends bien mais il s'en prévaut...!!Robert a écrit :J'ignorais totalement ces aspects de la personnalité de Khadra ...
Bon, il semblerait au vu de ce que tu rapportes, qu'il est atteint de la maladie grave appelée "EGO sur-dimensionné". Quant à son père, il n'est pas responsable du cursus de ses ascendants.
J'ignorais aussi qu'il a participé à la guerre civile algérienne contre l'islamisme dans les années 90 ... La guerre, Tad, hélas, n'est pas un jeu avec des règles de bonne conduite. Il n'en existe aucune qui n'ait transgressé la morale ...
Là n'était pas mon propos.
Je n'ai à aucun moment voulu servir d'agent électoral à Khadra. Je me borne à dire que le livre "ce que le jour doit à la nuit" est beau texte, d'une grande sensibilité ; une belle illustration de ce qu'a été la guerre de décolonisation d'Algérie. Pour y avoir participé "à l'insu de mon plein gré" j'atteste que Khadra ne trahit pas la vérité historique.
Et je persiste à en recommander la lecture.
"La dernière nuit du raïs" que je viens de lire, pour intéressant que puisse être ce récit, n'ayant aucune vocation à devenir dictateur, il ne m'a pas touché !
Pour avoir vu Khadra en locuteur dans une émission littéraire télévisée, je l'ai trouvé assez "moyen" oralement, en tous les cas bien moins bon oralement que par écrit.

Pas mal d'écrivains n'ont pas la parole facile, l’inénarrable Houellebecq par exemple..!!
Tadkozh
- Robert
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Re: Lectures .....
Je viens de terminer la lecture d'un livre de Delphine de Vigan intitulé "d'après une histoire vraie"
Ci-dessous, pour ceux qui ont du temps, mes notes de lecture ...
Un roman policier à trois acteurs principaux, Delphine (auteur/narrateur), François (la relation de couple hétérosexuel de l'auteur) et L ...
L.est le personnage central, tour à tour amie et ennemie mortelle qui tente finalement d’empoisonner l’auteur. L. s’attache à ressembler à Delphine tant qu’elle la remplace ...le lecteur est tenu en haleine par une interrogation permanente quant à L.,sa personnalité réelle, ses desseins ...
La chute du roman ne manque pas de surprendre.
Le lecteur apprend, progressivement, que L. est virtuelle, une fiction née dans la bipolarité de l’auteur dépressif, un dédoublement de la personnalité poussé à ses limites.
La dépression de l’auteur est causée par un soudain syndrome de la page blanche : L’impossibilité dans laquelle elle se trouve de continuer son oeuvre d’écrivain.
La problématique littéraire posée dans le livre est la suivante : entre le réel et la fiction, quelle est la limite ; quelle place tient l’autobiographie dans le récit .
Le titre du roman donne la clé :
D’APRES une histoire vraie. Tout est dans le «d’après».
La part de vérité : Les allusions au roman précédent qui avait la mère de l’auteur pour personnage central (livre qu’il est préférable d’avoir lu pour comprendre celui-ci).
Le personnage de François ami et animateur d’émissions littéraires télévisées.
La part de fiction : L. qui est Delphine et se substitue à elle de plus en plus précisément pour enfin disparaître et rendre à Delphine sa personnalité pleine et entière.
Un roman très «psychologique».
L’écriture est excellente et ce livre se lit bien !
Ci-dessous, pour ceux qui ont du temps, mes notes de lecture ...
Un roman policier à trois acteurs principaux, Delphine (auteur/narrateur), François (la relation de couple hétérosexuel de l'auteur) et L ...
L.est le personnage central, tour à tour amie et ennemie mortelle qui tente finalement d’empoisonner l’auteur. L. s’attache à ressembler à Delphine tant qu’elle la remplace ...le lecteur est tenu en haleine par une interrogation permanente quant à L.,sa personnalité réelle, ses desseins ...
La chute du roman ne manque pas de surprendre.
Le lecteur apprend, progressivement, que L. est virtuelle, une fiction née dans la bipolarité de l’auteur dépressif, un dédoublement de la personnalité poussé à ses limites.
La dépression de l’auteur est causée par un soudain syndrome de la page blanche : L’impossibilité dans laquelle elle se trouve de continuer son oeuvre d’écrivain.
La problématique littéraire posée dans le livre est la suivante : entre le réel et la fiction, quelle est la limite ; quelle place tient l’autobiographie dans le récit .
Le titre du roman donne la clé :
D’APRES une histoire vraie. Tout est dans le «d’après».
La part de vérité : Les allusions au roman précédent qui avait la mère de l’auteur pour personnage central (livre qu’il est préférable d’avoir lu pour comprendre celui-ci).
Le personnage de François ami et animateur d’émissions littéraires télévisées.
La part de fiction : L. qui est Delphine et se substitue à elle de plus en plus précisément pour enfin disparaître et rendre à Delphine sa personnalité pleine et entière.
Un roman très «psychologique».
L’écriture est excellente et ce livre se lit bien !
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Re: Lectures .....
...c'est l'amie de Busnel...!! Il y avait eu un mini scandale car il avait une propension notable à l'inviter à ses émissions quand elle sortait un livre...une petite "promotion" non négligeable...Elle me parait un peu "torturée" cette jeune personne...
Tadkozh

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Re: Lectures .....
Sans doute Delphine de Vigan est-elle "torturée" ce qui n'enlève rien à sa plume ! Au contraire, dirai-je. Jamais ne serons, des Baudelaire, des Verlaine, des Rimbaud ... Nous sommes, entre autres raisons, beaucoup trop "normaux".Tadkozh a écrit :...c'est l'amie de Busnel...!! Il y avait eu un mini scandale car il avait une propension notable à l'inviter à ses émissions quand elle sortait un livre...une petite "promotion" non négligeable...Elle me parait un peu "torturée" cette jeune personne...![]()
Tadkozh
La liaison de Delphine de Vigan avec François Busnel est connue et qu'il se soit instauré un peu de favoritisme littéraire de l'homme de télévision pour sa compagne n'a rien de vraiment anormal ... D'autant que l'auteur a connu des prix littéraires nombreux et qui ne doivent rien à Busnel.
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...c'est ainsi qu'avait été qualifié ce "favoritisme"...nous dirons simplement qu'il n'y avait rien d'étonnant à la "chose"...Robert a écrit :Sans doute Delphine de Vigan est-elle "torturée" ce qui n'enlève rien à sa plume ! Au contraire, dirai-je. Jamais ne serons, des Baudelaire, des Verlaine, des Rimbaud ... Nous sommes, entre autres raisons, beaucoup trop "normaux".Tadkozh a écrit :...c'est l'amie de Busnel...!! Il y avait eu un mini scandale car il avait une propension notable à l'inviter à ses émissions quand elle sortait un livre...une petite "promotion" non négligeable...Elle me parait un peu "torturée" cette jeune personne...![]()
Tadkozh
La liaison de Delphine de Vigan avec François Busnel est connue et qu'il se soit instauré un peu de favoritisme littéraire de l'homme de télévision pour sa compagne n'a rien de vraiment anormal ... D'autant que l'auteur a connu des prix littéraires nombreux et qui ne doivent rien à Busnel.
Je ne connais pas sa plume mais seulement son expression orale lors d'une émission avec Busnel...

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Re: Lectures .....
Ma lecture en cours :
UN ETE AVEC ... MONTAIGNE. d'Antoine Compagnon.
Une série, un auteur, qui porte un bien joli patronyme (Compagnon) pour un auteur.
Une série (un été avec ...) destinée à remettre en mémoire un grand auteur devenu un classique ; des extraits choisis et commentés par un spécialiste, ici des essais de Montaigne. Michel Eyquem de ... Montaigne, j'avais même oublié son prénom !
Je le confesse avec une humilité totale, Montaigne ne m'a laissé, contrairement à mon maître Rabelais, aucun souvenir ... Pas le moindre mot, la moindre phrase, la moindre idée. Je pense que potache, ces pensées philosophiques exprimées en vieux français de Montaigne m'ont d'abord rebuté ; je n'y suis jamais revenu. M'y revoilà !
Comme je n'en suis qu'aux premières pages de ce livre, je n'émettrais aucune pensée sur le sujet ; la démarche, simplement, a priori, me semble pleine d'intérêt. Car enfin, si Michel Montaigne est resté dans notre patrimoine littéraire, c'est qu'il est interdit de tout ignorer de lui.
Je me replonge modestement dans Montaigne, sur la pointe des pieds, comme je me suis récemment replongé dans PROUST, avec toute la modestie qui sied à un exercice délicat.
En effet, lire un auteur pour lequel on n'a aucun atome crochu c'est comme goûter une spécialité culinaire pour laquelle on a eu quelque "haut le coeur". Je serais dans cette position s'il me fallait manger des insectes ou des vers ! Ce sera plus facile en littérature.
UN ETE AVEC ... MONTAIGNE. d'Antoine Compagnon.
Une série, un auteur, qui porte un bien joli patronyme (Compagnon) pour un auteur.
Une série (un été avec ...) destinée à remettre en mémoire un grand auteur devenu un classique ; des extraits choisis et commentés par un spécialiste, ici des essais de Montaigne. Michel Eyquem de ... Montaigne, j'avais même oublié son prénom !
Je le confesse avec une humilité totale, Montaigne ne m'a laissé, contrairement à mon maître Rabelais, aucun souvenir ... Pas le moindre mot, la moindre phrase, la moindre idée. Je pense que potache, ces pensées philosophiques exprimées en vieux français de Montaigne m'ont d'abord rebuté ; je n'y suis jamais revenu. M'y revoilà !
Comme je n'en suis qu'aux premières pages de ce livre, je n'émettrais aucune pensée sur le sujet ; la démarche, simplement, a priori, me semble pleine d'intérêt. Car enfin, si Michel Montaigne est resté dans notre patrimoine littéraire, c'est qu'il est interdit de tout ignorer de lui.
Je me replonge modestement dans Montaigne, sur la pointe des pieds, comme je me suis récemment replongé dans PROUST, avec toute la modestie qui sied à un exercice délicat.
En effet, lire un auteur pour lequel on n'a aucun atome crochu c'est comme goûter une spécialité culinaire pour laquelle on a eu quelque "haut le coeur". Je serais dans cette position s'il me fallait manger des insectes ou des vers ! Ce sera plus facile en littérature.
Modifié en dernier par Robert le 07 févr. 2016, 14:50, modifié 1 fois.
- Robert
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Re: Lectures .....
Je viens d'avancer dans ma lecture du livre ci-dessus indiqué ; il pleut, c'est dimanche et ceci explique cela.
Je n'avais pas lu Montaigne et j'ai aujourd'hui le sentiment de culpabilité que l'on ressent lorsqu'il eut fallu faire et que l'on n'a pas fait.
Je pourrais donner quelques exemples tirés des "essais" et touchant à la philosophie, mais, je crains de sortir par trop des préoccupations quotidiennes de chacun ... bien que la philosophie, d'une manière générale, touche à nos existences, sinon de purs cyclistes, du moins à celles communes de simples êtres humains.
J'ai trouvé par exemple dans Montaigne des réflexions sur la fin de vie et la mort très réconfortantes. A propos de beaucoup d'autres sujets aussi (médecine/santé - Rapports aux autres - religions etc ... . J'ai découvert Montaigne, enfin ....
Livre terminé.
Je vais m'acheter, du même auteur et dans la même édition, "un été avec Baudelaire" car le premier livre que j'ai lu de cette collection m'a beaucoup intéressé.
Le temps est à la lecture.
Comme ce post ne trouve pas d'échos, ce que je comprends fort bien, je mets un terme à mes commentaires.
Je n'avais pas lu Montaigne et j'ai aujourd'hui le sentiment de culpabilité que l'on ressent lorsqu'il eut fallu faire et que l'on n'a pas fait.
Je pourrais donner quelques exemples tirés des "essais" et touchant à la philosophie, mais, je crains de sortir par trop des préoccupations quotidiennes de chacun ... bien que la philosophie, d'une manière générale, touche à nos existences, sinon de purs cyclistes, du moins à celles communes de simples êtres humains.
J'ai trouvé par exemple dans Montaigne des réflexions sur la fin de vie et la mort très réconfortantes. A propos de beaucoup d'autres sujets aussi (médecine/santé - Rapports aux autres - religions etc ... . J'ai découvert Montaigne, enfin ....
Livre terminé.
Je vais m'acheter, du même auteur et dans la même édition, "un été avec Baudelaire" car le premier livre que j'ai lu de cette collection m'a beaucoup intéressé.
Le temps est à la lecture.
Comme ce post ne trouve pas d'échos, ce que je comprends fort bien, je mets un terme à mes commentaires.