L'écologie, qui est devenue un enjeu politique, a choisi sa couleur partisane, le vert ... Et les tenants de ce courant de pensée de se chercher des alliances aux fins de devenir un parti de gouvernement.
Logiquement classés à gauche de l'échiquier politique, les voilà en train de chercher des appuis sur leur droite. Et là, le bât blesse ! Car enfin, et c'est bien l'une des contradictions des droites, il est difficile d'imaginer le libéralisme économique prôné là, avec une quelconque écologie, ne serait-ce que de façade.
Bas les masques : Le libéralisme économique triomphant, comme il est personnalisé par Donald Trump, est complètement à l'opposé d'une infime part de respect de la planète.
Le président US, par ailleurs soutien de son homologue d'extrême droite du Brésil, regarde brûler la forêt amazonienne sans le moindre scrupule ; les intérêts des lobbies de l'exploitation du bois ou de la culture intensive ne sauraient avoir des limites futiles, comme le respect du poumon vert de la terre. Les profits de quelques-uns au détriment de tous les autres, voilà leur credo !
..................................
Voilà que ma quatrième intervention sur cette rubrique, hors vélo, censé nous promener par pluie et beau temps est restée sans écho... et je le confesse, je suis plus souvent à parler de la pluie que du beau temps ...
Peut-être faudrait-il qu'il m'en souvienne : si la parole est d'argent, le silence est d'or !
). D’ailleurs Hulot l’a bien compris en quittant le gouvernement... Impossible de faire quelque chose quand les lobbies s’en mêlent... Il reste donc le travail individuel. Pierre Rahbi a de bonnes idées et une certaine sagesse à ce sujet...
