Sorties vélo" et confinement ...
Posté : 10 nov. 2020, 07:00
J'ouvre cette rubrique nouvelle dans le cadre plus général de "faut aller rouler", tant une sortie à vélo me semble improbable en période de confinement. Et ma première balade après quinze jours de strict respect des règles me confirme dans le sentiment que le vélo est globalement impossible si tant est que l'on veuille respecter strictement les deux injonctions, à savoir une heure de sortie dans un rayon d'un kilomètre autour de son domicile ...
Je suis parti hier avec la sage intention de respecter ces règles et je ne peux que faire ce constat : peu sans doute, je les ai écornées.
D'ailleurs, j'ai croisé une dizaine de cyclistes et au moins autant de promeneurs à pied dont je suis certain qu'ils prenaient quelques libertés avec la règlementation.
Les piétons sur le parcours de santé en exemple : Leurs voitures garées sur le parking attestent d'un problème ... ils ont certainement pour la plupart accompli le km autorisé en voiture pour s'arrêter là ! Ils sont donc déjà en infraction dès lors qu'ils sortent de leurs autos, à plus d'un km de leurs domiciles respectifs.
Mais plutôt que de voir la paille dans l'oeil de l'autre, je fais à la fois mon compte-rendu de sortie et mon mea culpa.
Sur le temps d'abord : J'ai triché en ce sens que je suis parti quelques minutes avant les 14 h notées sur mon sauf-conduit et je suis rentré aussi avec quelques minutes de retard. Une balade d'une heure quinze au lieu d'une heure pour un circuit de 21 km.
Sur la distance aussi, je ne suis pas certain de n'être sorti du cercle d'un kilomètre de rayon tracé autour de mon domicile ... Un peu, certainement.
J'étais donc verbalisable à 135 euros, sans avoir pris aucun risque, ni pour moi (mon trajet ne comportait aucun risque de chute), ni pour les autres avec lesquels je n'ai pas eu le moindre contact.
En résumé il aurait fallu, que les yeux rivés sur ma montre je tourne uniquement en rond autour de mon domicile, prenant ainsi plus de risques d'accidents, à cause de la circulation automobile ; mon parcours a été complètement dépourvu de moteurs autres que les muscles !
Il faisait bien doux hier. Et doux mon parcours solitaire dans les feuilles mortes et le silence humide des forêts en tenue d'automne finissant.
Un seul arrêt pour grouper le besoin naturel avec mes deux images. Mon temps est compté !
L'une au grand jour, la même dans l'autre sens, à contrejour.


En conclusion je dirai :
- Que je suis resté dans les clous ou presque.
- Que j'ai bien envie de recommencer ; c'est en dépense physique l'équivalent d'une séance de HT en beaucoup plus ludique.
Je suis parti hier avec la sage intention de respecter ces règles et je ne peux que faire ce constat : peu sans doute, je les ai écornées.
D'ailleurs, j'ai croisé une dizaine de cyclistes et au moins autant de promeneurs à pied dont je suis certain qu'ils prenaient quelques libertés avec la règlementation.
Les piétons sur le parcours de santé en exemple : Leurs voitures garées sur le parking attestent d'un problème ... ils ont certainement pour la plupart accompli le km autorisé en voiture pour s'arrêter là ! Ils sont donc déjà en infraction dès lors qu'ils sortent de leurs autos, à plus d'un km de leurs domiciles respectifs.
Mais plutôt que de voir la paille dans l'oeil de l'autre, je fais à la fois mon compte-rendu de sortie et mon mea culpa.
Sur le temps d'abord : J'ai triché en ce sens que je suis parti quelques minutes avant les 14 h notées sur mon sauf-conduit et je suis rentré aussi avec quelques minutes de retard. Une balade d'une heure quinze au lieu d'une heure pour un circuit de 21 km.
Sur la distance aussi, je ne suis pas certain de n'être sorti du cercle d'un kilomètre de rayon tracé autour de mon domicile ... Un peu, certainement.
J'étais donc verbalisable à 135 euros, sans avoir pris aucun risque, ni pour moi (mon trajet ne comportait aucun risque de chute), ni pour les autres avec lesquels je n'ai pas eu le moindre contact.
En résumé il aurait fallu, que les yeux rivés sur ma montre je tourne uniquement en rond autour de mon domicile, prenant ainsi plus de risques d'accidents, à cause de la circulation automobile ; mon parcours a été complètement dépourvu de moteurs autres que les muscles !
Il faisait bien doux hier. Et doux mon parcours solitaire dans les feuilles mortes et le silence humide des forêts en tenue d'automne finissant.
Un seul arrêt pour grouper le besoin naturel avec mes deux images. Mon temps est compté !

L'une au grand jour, la même dans l'autre sens, à contrejour.


En conclusion je dirai :
- Que je suis resté dans les clous ou presque.

- Que j'ai bien envie de recommencer ; c'est en dépense physique l'équivalent d'une séance de HT en beaucoup plus ludique.
