Correspondance du passé.
- Robert
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Correspondance du passé.
Ci-dessous, une correspondance que j’avais eu récemment avec un ami aujourd’hui, disparu, décédé au cours de l’hiver 2023.
Quelques explications me semblent nécessaire. Bernard Migaud, unijambiste, amputé de sa jambe droite à dix ans était un cycliste connu et reconnu en France toute entière. Nous avons partagé cette passion du vélo.
Arry est le village où josette et moi avons été enseignants. Ce village est situé au sommet d’une côte qui domine la vallée de la Moselle.
Bernard Migaud a abandonné le vélo pour s’adonner au bridge.
Lettre de Bernard :
Quelques mots dans le journal : le café de Lorraine acheté par le maire pour y créer de la multi-activité.
Arry, que ce nom sonne à mes oreilles !.
Ma première montée vers 1971 – son succès qui me poussa plus loin … Izoard en 1978.
L’instituteur Robert Develotte puis Josette.
Je connaissais surtout le café sur la rue centrale – son nom ? Le CCMetz y a fait quelques repas. Un peintre-professeur en a pris possession.
Arry … la vie, une école, un instituteur, des cafés, des fermes qui marchaient.
Arry… plus d’école, plus d’instituteur, l’ami Robert parti, retrouvé puis disparu, plus de café, des fermes à l’abandon…
Que c’est triste.
Arry qu’un temps je montais une fois par semaine, parfois avec cette Croix Saint-Cément..
Arry, Robert Develotte, le passé …
Un passé qui m’a marqué, inoubliable alors que ma mémoire a pourtant de plus en plus de trous, de lacunes.
Arry, Robert, salut….
Bernard MIGAUD
Bien cher Bernard
Quel bonheur de te lire ; et je ne pense pas, comme tu l’écris pourtant, que" ta mémoire a de plus en plus de trous, de lacunes ».
Ce qui est vrai néanmoins, c’est que
« La forme d’une ville change plus vite hélas que le coeur d’un mortel » … (Charles Baudelaire)
… Le vieil Arry n’est plus.
Et pour moi qui y séjourne de temps en temps pour raisons familiales, j’en fais souvent le douloureux constat. Les gens que je connaissais se sont raréfiés, de nouvelles maisons se sont construites et de village rural et agricole, Arry n’est plus aujourd’hui qu’une cité dortoir.
A tel point qu’il n’est plus qu’au cimetière que je connais des noms … Bien plus que sur les boîtes aux lettres des habitations anciennes.
Et toi tu as changé de passion et troqué la champagne et la noire pour les mathématiques du bridge, alors que moi, j’en suis resté à la bicyclette.
Tu me l’as dit amicalement, il y a bien longtemps (il m’arrive d’y penser et d’en rire encore) :
« Robert, tu es un manuel « ! Ce qui n’est pas tout à fait exact, je suis un … pédestre, car je pédale et marche encore. Certes moins loin, moins vite, moins haut, mais je pédale et marche encore.
Je suis, soit dit en passant, un piètre manuel, pourvu de deux mains gauches au contraire de toi qui un jour confectionna des meubles !
Le poète dit aussi : "J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans" … Et nous en sommes arrivés à ce moment de nos existences où nous survivons de nos souvenirs …
Que de belles photos aux albums oubliés !
En espérant que ce mot vous trouvera dans le meilleur état de santé possible.
Bien amicalement,
Robert.
ARRY ; quelques mots dans le journal : le café de Lorraine acheté par le maire pour y créer de la multi-activité.
Arry, que ce nom sonne à mes oreilles !.
Ma première montée vers 1971 – son succès qui me poussa plus loin … Izoard en 1978.
L’instituteur Robert Develotte puis Josette.
Je connaissais surtout le café sur la rue centrale – son nom ? Le CCMetz y a fait quelques repas. Un peintre-professeur en a pris possession.
Arry … la vie, une école, un instituteur, des cafés, des fermes qui marchaient.
Arry… plus d’école, plus d’instituteur, l’ami Robert parti, retrouvé puis disparu, plus de café, des fermes à l’abandon…
Que c’est triste.
Arry qu’un temps je montais une fois par semaine, parfois avec cette Croix Saint-Cément..
Arry, Robert Develotte, le passé …
Un passé qui m’a marqué, inoubliable alors que ma mémoire a pourtant de plus en plus de trous, de lacunes.
Arry, Robert, salut….
Bernard MIGAUD
Bien cher Bernard
Quel bonheur de te lire ; et je ne pense pas, comme tu l’écris pourtant, que" ta mémoire a de plus en plus de trous, de lacunes ».
Ce qui est vrai néanmoins, c’est que
« La forme d’une ville change plus vite hélas que le coeur d’un mortel » … (Charles Baudelaire)
… Le vieil Arry n’est plus.
Et pour moi qui y séjourne de temps en temps pour raisons familiales, j’en fais souvent le douloureux constat. Les gens que je connaissais se sont raréfiés, de nouvelles maisons se sont construites et de village rural et agricole, Arry n’est plus aujourd’hui qu’une cité dortoir.
A tel point qu’il n’est plus qu’au cimetière que je connais des noms … Bien plus que sur les boîtes aux lettres des habitations anciennes.
Et toi tu as changé de passion et troqué la champagne et la noire pour les mathématiques du bridge, alors que moi, j’en suis resté à la bicyclette.
Tu me l’as dit amicalement, il y a bien longtemps (il m’arrive d’y penser et d’en rire encore) :
« Robert, tu es un manuel « ! Ce qui n’est pas tout à fait exact, je suis un … pédestre, car je pédale et marche encore. Certes moins loin, moins vite, moins haut, mais je pédale et marche encore.
Je suis, soit dit en passant, un piètre manuel, pourvu de deux mains gauches au contraire de toi qui un jour confectionna des meubles !
Le poète dit aussi : "J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans" … Et nous en sommes arrivés à ce moment de nos existences où nous survivons de nos souvenirs …
Que de belles photos aux albums oubliés !
En espérant que ce mot vous trouvera dans le meilleur état de santé possible.
Bien amicalement,
Robert.
Quelques explications me semblent nécessaire. Bernard Migaud, unijambiste, amputé de sa jambe droite à dix ans était un cycliste connu et reconnu en France toute entière. Nous avons partagé cette passion du vélo.
Arry est le village où josette et moi avons été enseignants. Ce village est situé au sommet d’une côte qui domine la vallée de la Moselle.
Bernard Migaud a abandonné le vélo pour s’adonner au bridge.
Lettre de Bernard :
Quelques mots dans le journal : le café de Lorraine acheté par le maire pour y créer de la multi-activité.
Arry, que ce nom sonne à mes oreilles !.
Ma première montée vers 1971 – son succès qui me poussa plus loin … Izoard en 1978.
L’instituteur Robert Develotte puis Josette.
Je connaissais surtout le café sur la rue centrale – son nom ? Le CCMetz y a fait quelques repas. Un peintre-professeur en a pris possession.
Arry … la vie, une école, un instituteur, des cafés, des fermes qui marchaient.
Arry… plus d’école, plus d’instituteur, l’ami Robert parti, retrouvé puis disparu, plus de café, des fermes à l’abandon…
Que c’est triste.
Arry qu’un temps je montais une fois par semaine, parfois avec cette Croix Saint-Cément..
Arry, Robert Develotte, le passé …
Un passé qui m’a marqué, inoubliable alors que ma mémoire a pourtant de plus en plus de trous, de lacunes.
Arry, Robert, salut….
Bernard MIGAUD
Bien cher Bernard
Quel bonheur de te lire ; et je ne pense pas, comme tu l’écris pourtant, que" ta mémoire a de plus en plus de trous, de lacunes ».
Ce qui est vrai néanmoins, c’est que
« La forme d’une ville change plus vite hélas que le coeur d’un mortel » … (Charles Baudelaire)
… Le vieil Arry n’est plus.
Et pour moi qui y séjourne de temps en temps pour raisons familiales, j’en fais souvent le douloureux constat. Les gens que je connaissais se sont raréfiés, de nouvelles maisons se sont construites et de village rural et agricole, Arry n’est plus aujourd’hui qu’une cité dortoir.
A tel point qu’il n’est plus qu’au cimetière que je connais des noms … Bien plus que sur les boîtes aux lettres des habitations anciennes.
Et toi tu as changé de passion et troqué la champagne et la noire pour les mathématiques du bridge, alors que moi, j’en suis resté à la bicyclette.
Tu me l’as dit amicalement, il y a bien longtemps (il m’arrive d’y penser et d’en rire encore) :
« Robert, tu es un manuel « ! Ce qui n’est pas tout à fait exact, je suis un … pédestre, car je pédale et marche encore. Certes moins loin, moins vite, moins haut, mais je pédale et marche encore.
Je suis, soit dit en passant, un piètre manuel, pourvu de deux mains gauches au contraire de toi qui un jour confectionna des meubles !
Le poète dit aussi : "J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans" … Et nous en sommes arrivés à ce moment de nos existences où nous survivons de nos souvenirs …
Que de belles photos aux albums oubliés !
En espérant que ce mot vous trouvera dans le meilleur état de santé possible.
Bien amicalement,
Robert.
ARRY ; quelques mots dans le journal : le café de Lorraine acheté par le maire pour y créer de la multi-activité.
Arry, que ce nom sonne à mes oreilles !.
Ma première montée vers 1971 – son succès qui me poussa plus loin … Izoard en 1978.
L’instituteur Robert Develotte puis Josette.
Je connaissais surtout le café sur la rue centrale – son nom ? Le CCMetz y a fait quelques repas. Un peintre-professeur en a pris possession.
Arry … la vie, une école, un instituteur, des cafés, des fermes qui marchaient.
Arry… plus d’école, plus d’instituteur, l’ami Robert parti, retrouvé puis disparu, plus de café, des fermes à l’abandon…
Que c’est triste.
Arry qu’un temps je montais une fois par semaine, parfois avec cette Croix Saint-Cément..
Arry, Robert Develotte, le passé …
Un passé qui m’a marqué, inoubliable alors que ma mémoire a pourtant de plus en plus de trous, de lacunes.
Arry, Robert, salut….
Bernard MIGAUD
Bien cher Bernard
Quel bonheur de te lire ; et je ne pense pas, comme tu l’écris pourtant, que" ta mémoire a de plus en plus de trous, de lacunes ».
Ce qui est vrai néanmoins, c’est que
« La forme d’une ville change plus vite hélas que le coeur d’un mortel » … (Charles Baudelaire)
… Le vieil Arry n’est plus.
Et pour moi qui y séjourne de temps en temps pour raisons familiales, j’en fais souvent le douloureux constat. Les gens que je connaissais se sont raréfiés, de nouvelles maisons se sont construites et de village rural et agricole, Arry n’est plus aujourd’hui qu’une cité dortoir.
A tel point qu’il n’est plus qu’au cimetière que je connais des noms … Bien plus que sur les boîtes aux lettres des habitations anciennes.
Et toi tu as changé de passion et troqué la champagne et la noire pour les mathématiques du bridge, alors que moi, j’en suis resté à la bicyclette.
Tu me l’as dit amicalement, il y a bien longtemps (il m’arrive d’y penser et d’en rire encore) :
« Robert, tu es un manuel « ! Ce qui n’est pas tout à fait exact, je suis un … pédestre, car je pédale et marche encore. Certes moins loin, moins vite, moins haut, mais je pédale et marche encore.
Je suis, soit dit en passant, un piètre manuel, pourvu de deux mains gauches au contraire de toi qui un jour confectionna des meubles !
Le poète dit aussi : "J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans" … Et nous en sommes arrivés à ce moment de nos existences où nous survivons de nos souvenirs …
Que de belles photos aux albums oubliés !
En espérant que ce mot vous trouvera dans le meilleur état de santé possible.
Bien amicalement,
Robert.
- Lolo90
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Re: Correspondance du passé.
Ah je n'avais pas vu ton post Robert
Très touchant ce témoignage de ton copain Bernard et de ton ancien village Arry.
Pour mon village natal tu sais je fais le même constat.
Les anciens sont partis et je ne connais plus personne.
Par contre heureusement que les rares qui sont restés ce soient investis à la mairie comme conseillers municipaux.
Au fait ? Ce ne serait pas là qu'ils fabriqueraient ces fameux bonbons ?


Très touchant ce témoignage de ton copain Bernard et de ton ancien village Arry.
Pour mon village natal tu sais je fais le même constat.
Les anciens sont partis et je ne connais plus personne.
Par contre heureusement que les rares qui sont restés ce soient investis à la mairie comme conseillers municipaux.
Au fait ? Ce ne serait pas là qu'ils fabriqueraient ces fameux bonbons ?


- callune
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Re: Correspondance du passé.
C'est pareil dans notre village : Pimpon bientôt n'y connaîtra plus personne
J'aime bien les fraises Tagada !
J'aime bien les fraises Tagada !

- Robert
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Re: Correspondance du passé.
J’ai déjà fait ce constat amer : dans ce village village d’Arry où j’ai été instituteur avec Josette, et secrétaire de mairie pendant 25 ans, je ne connais presque plus personne. Alors, je fais le tour du cimetière, et je retrouve tous les noms des gens que j’ai connus, y compris ceux d’anciens élèves.
Malgré tout, c’est un ancien élève qui est maire du village.
Je reviens souvent dans ce village, car mon fils y habite.
Arry , village des côtes de Moselle, sur une bosse à 400 m d’altitude. 200 m de dénivelé positive pour 3 km de route. À vélo, une jolie bosse que je retrouvais au final de toutes mes balades. Je n’ai pas compté le nombre de fois où j’ai monté « La côte d’Arry! Des milliers de fois !
Malgré tout, c’est un ancien élève qui est maire du village.
Je reviens souvent dans ce village, car mon fils y habite.
Arry , village des côtes de Moselle, sur une bosse à 400 m d’altitude. 200 m de dénivelé positive pour 3 km de route. À vélo, une jolie bosse que je retrouvais au final de toutes mes balades. Je n’ai pas compté le nombre de fois où j’ai monté « La côte d’Arry! Des milliers de fois !
- Lolo90
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Re: Correspondance du passé.
C'est cool si ton fils y vit.Robert a écrit : ↑01 déc. 2023, 09:02 J’ai déjà fait ce constat amer : dans ce village village d’Arry où j’ai été instituteur avec Josette, et secrétaire de mairie pendant 25 ans, je ne connais presque plus personne. Alors, je fais le tour du cimetière, et je retrouve tous les noms des gens que j’ai connus, y compris ceux d’anciens élèves.
Malgré tout, c’est un ancien élève qui est maire du village.
Je reviens souvent dans ce village, car mon fils y habite.
Arry , village des côtes de Moselle, sur une bosse à 400 m d’altitude. 200 m de dénivelé positive pour 3 km de route. À vélo, une jolie bosse que je retrouvais au final de toutes mes balades. Je n’ai pas compté le nombre de fois où j’ai monté « La côte d’Arry! Des milliers de fois !
Un Develotte est resté au village

- Robert
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Re: Correspondance du passé.
Cela m’a permis de garder un contact avec le village… Désormais, ça va être plus difficile.Lolo90 a écrit : ↑01 déc. 2023, 09:19C'est cool si ton fils y vit.Robert a écrit : ↑01 déc. 2023, 09:02 J’ai déjà fait ce constat amer : dans ce village village d’Arry où j’ai été instituteur avec Josette, et secrétaire de mairie pendant 25 ans, je ne connais presque plus personne. Alors, je fais le tour du cimetière, et je retrouve tous les noms des gens que j’ai connus, y compris ceux d’anciens élèves.
Malgré tout, c’est un ancien élève qui est maire du village.
Je reviens souvent dans ce village, car mon fils y habite.
Arry , village des côtes de Moselle, sur une bosse à 400 m d’altitude. 200 m de dénivelé positive pour 3 km de route. À vélo, une jolie bosse que je retrouvais au final de toutes mes balades. Je n’ai pas compté le nombre de fois où j’ai monté « La côte d’Arry! Des milliers de fois !
Un Develotte est resté au village![]()
- Lolo90
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Re: Correspondance du passé.
Si tes progrès physiques continuent en 2024 , et ça se concrétise, que tu puisses descendre par l'escalier extérieur avec la pose des garde-corps, monter dans une voiture pour aller te promener, alors plus rien ne t'empêcherait de te faire conduire jusqu'à ArryRobert a écrit : ↑01 déc. 2023, 13:43Cela m’a permis de garder un contact avec le village… Désormais, ça va être plus difficile.Lolo90 a écrit : ↑01 déc. 2023, 09:19C'est cool si ton fils y vit.Robert a écrit : ↑01 déc. 2023, 09:02 J’ai déjà fait ce constat amer : dans ce village village d’Arry où j’ai été instituteur avec Josette, et secrétaire de mairie pendant 25 ans, je ne connais presque plus personne. Alors, je fais le tour du cimetière, et je retrouve tous les noms des gens que j’ai connus, y compris ceux d’anciens élèves.
Malgré tout, c’est un ancien élève qui est maire du village.
Je reviens souvent dans ce village, car mon fils y habite.
Arry , village des côtes de Moselle, sur une bosse à 400 m d’altitude. 200 m de dénivelé positive pour 3 km de route. À vélo, une jolie bosse que je retrouvais au final de toutes mes balades. Je n’ai pas compté le nombre de fois où j’ai monté « La côte d’Arry! Des milliers de fois !
Un Develotte est resté au village![]()

- callune
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Re: Correspondance du passé.
Lolo a raison! ça peut le faire Robert !!

- Robert
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Re: Correspondance du passé.
Monter et descendre des escaliers, ce n’est pas gagné ! Il faudra voir en 2024.callune a écrit : ↑03 déc. 2023, 19:51Lolo a raison! ça peut le faire Robert !!![]()
- Denis
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Re: Correspondance du passé.
Ce pourrait etre un objectif motivant…