
Voilà la Chiappucci !!!
Re: Voilà la Chiappucci !!!
Pas de bol avec Guillaume et toi. Les occasions sont rares de se retrouver et vous avez percé tous les 2....Bon, il y en aura d'autres ! 

- Denis
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Re: Voilà la Chiappucci !!!
Y'a pas mieux!!! 

- Tadkozh
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Re: Voilà la Chiappucci !!!
....Duhart-Milon-Rothschild....
4ème cru classé... 1999 se trouve, doublement, entre 1998 et 2000...
Tadkozh


Tadkozh
- The Phil
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Re: Voilà la Chiappucci !!!
Piètre prestation de ma part sur cette Chiapucchi !
Heureusement, j'ai eu le plaisir de faire la connaissance de Bertrand (il est grand le bougre) et de Eric (très affuté); et de saluer les cyberpotes Laulau, Karlito, ElRafa et Laulesp'titchouan, Gillou Morisset, un admirable coursier bourguignon.
Claudio m'a demandé un autographe que je lui ai signé sans problème et j'ai donné quelques conseils de placement à Eric Leblacher.
Avec cette pluie abondante, plus d'un visage était interrogatif quant à l'intérêt de prendre le départ.
J'ai personnellement bâcher au bout de 40 km, les cannes vides. Je crois vraiment que ce n'est pas mon année.
Pour me consoler, j'ai fait une échappée à Aloxe Corton et me suit offert deux bouteilles du même nom.
Je vais noyer mes interrogations psycho-physiologiques dans un cru classé; je suis bon pour l'hospice... de Beaune.

Heureusement, j'ai eu le plaisir de faire la connaissance de Bertrand (il est grand le bougre) et de Eric (très affuté); et de saluer les cyberpotes Laulau, Karlito, ElRafa et Laulesp'titchouan, Gillou Morisset, un admirable coursier bourguignon.
Claudio m'a demandé un autographe que je lui ai signé sans problème et j'ai donné quelques conseils de placement à Eric Leblacher.

Avec cette pluie abondante, plus d'un visage était interrogatif quant à l'intérêt de prendre le départ.
J'ai personnellement bâcher au bout de 40 km, les cannes vides. Je crois vraiment que ce n'est pas mon année.
Pour me consoler, j'ai fait une échappée à Aloxe Corton et me suit offert deux bouteilles du même nom.
Je vais noyer mes interrogations psycho-physiologiques dans un cru classé; je suis bon pour l'hospice... de Beaune.

- The Phil
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Re: Voilà la Chiappucci !!!
Bon ce n'est qu'un début, on aura bien l'occasion de déguster autre chose que de l'eau de pluie. Et puis comme dit Laulau, concrétiser les rencontres virtuelles c'est bien. 

- Ghislain
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Re: Voilà la Chiappucci !!!
La Chiappucci, merci Eric !
Vendredi après-midi, nous avions rendez-vous chez Eric avec Didier, un autre copain cycliste, à 16h45 pour pouvoir arriver à Pouilly-en-Auxois le plus tôt possible. Je suis encore au bureau quand Eric m’appelle pour me dire qu’il est à peine sorti de Lausanne et bloqué dans la circulation… Il mettra 1h40 pour arriver et nous partons donc à presque 18h00.
Ca commence bien !
La nuit à l’hôtel à Pouilly se passe bien, et le matin à 6h30 quand Eric vient frapper à ma porte c’est pour me dire : « T’as vu le temps dehors ? «. En effet, dehors c’est un temps peu encourageant qui se montre. Nous sommes néanmoins tous en tenue de cycliste et décidons de nous rendre au départ. Dans la voiture, au fur et à mesure que nous nous rapprochons d’Arnay-le-Duc, les discussions vont bon train, l’un décide de prendre le départ mais de ne pas faire la course, l’autre hésite pour prendre le départ, le 3e est déjà presque décidé à ne pas y aller. On arrive vers la salle polyvalente, on se gare sur le parking. Il faut aller chercher les dossards, il pleut comme vache qui pisse, aux dossards, pour Eric et Didier ce sont les grosses questions : « peut-on prendre le départ du 160 et bifurquer sur le 107 km ? ». Pour ma part, je prends mon dossard et je me dis, attendons…
A 7h30, voilà Karl et Laulesp qui arrivent, Ils sont motivés comme jamais, c’est tout le contraire de nous 3. Karl est prêt à faire tout ce qu’il peut pour être bien placé aux divers trophés dont la CC fait partie. Laulesp à l’air volontaire aussi. Nous, on discute et Eric averti déjà Karl que s’il part, il ne fera pas le 160 km. Il est environ 8h15 quand nous discutons et décidons de ne pas prendre le départ, de rentrer chez nous et d’aller nous faire une sortie « au sec » dans notre région. A 8h20 lorsque nous sortons de la salle, on voit que le ciel semble se dégager et je ne sais toujours pas pourquoi 2 jours plus tard, là, je décide de courir quand même. A la voiture, en 5mn je suis habillé, les jambes sont huilées, le vélo est prêt (merci Didier) et je suis sur la ligne à 8h30 ou je retrouve Philippe, Karlito, Laulesp. Laulau, je sais que tu étais là, mais désolé, je ne t’ai pas vu
.
J’ai mis l’imperméable, après avoir traversé Arnay-le Duc pour aller sur la ligne réelle de départ, nous devons attendre 10 bonnes minutes après les coureurs du 160 et je décide de l’enlever au dernier moment car je suis sous le portique gonflable, un peu à l’abri. Ca y est, c’est parti, la descente est neutralisée pendant environ 5 bornes, j’essaie de me réchauffer un peu, je regrette un peu d’avoir enlevé l’imper sur la ligne, mais je sais que la 1ere bosse va me réchauffer. Voilà 15 minutes que je suis parti et je me pose les premières questions, qu’est-ce que je fais là ? Dans quelle galère je me suis mis, puis ensuite jusqu’ à la première heure de course, je n’avais pas envie, pas motivé, je restais dans les roues à me dire que je pourrais couper pour rentrer à la voiture. Puis soudain, le peloton s’est étiré et sous l’impulsion de 1 gars devant nous nous sommes mis à rouler à plus de 40 km/h. Après quelques minutes à ce rythme je me rends compte que je ne suis pas si mal. Que j’arrive à suivre tranquille et que tout va bien. Le moral remonte, d’autant que ma jambe ne me fait pas mal du tout. Et c’est à 40 km/h que nous entrons dans Pouilly. Il est clair que dans la bosse, c’était un peu le « sauve qui peut », et en haut après les « montagnes russes » nous reformons un groupe de 30 gars et tout se passe bien. Mon moral est bien meilleur et je suis enfin content d’être là. Ca roule bien, un bon rythme, on aperçoit au loin une première fois le château de Chateauneuf. 10 km plus loin, je suis dans ce groupe sur le côté gauche de la chaussée quand je vois sur le bord de la route Eric qui est en train de réparer, il a le temps de me dire qu’il a percé 2 fois et que je fasse ma course, il me rattrapera sur le 107. Nous arrivons groupés dans la dernière côte à Chateauneuf et je n’arrive pas à suivre les meilleurs d’autant que je ressens un début de crampe. Je monte donc comme je peux et je me retrouve tout seul au sommet, je dirais « comme d’habitude » car c’est ma 3e participation et à chaque fois je suis seul le long du Canal pour rentrer. Je me maudis, je suis si déçu… Je fais ce que je peux avec ce que j’ai et je roule vent dans le nez comme je peux. Puis soudain, j’entends crier mon prénom, je me retourne, c’est Eric qui arrive comme une moto. Il se met à ma hauteur et me dit que nous allons finir ensemble. Mets-toi dans ma roue et on y va… Il est drôle lui, je suis « à coin » dans sa roue, lui il a les mains en haut du guidon et il cause, me raconte que c’est dommage, qu’il a des super jambes, qu’il aurait aimé aller sur le 160 pour faire une place, bref il me raconte sa vie pendant que moi j’en ch…. Comme pas possible. Dès qu’il y a un talus, je suis largué, sur le plat, ça va encore. Je donne vraiment tout ce que j’ai. Honnêtement, cela fait longtemps que je n’ai pas autant forcé sur un vélo. Les 4 derniers km se passent mieux, nous avons rattrapés pleins de gars auxquels Eric proposent à chaque fois de venir avec. Nous formons donc un petit groupe de 6-7 coureurs avec la Locomotive Eric devant. Il y en a même un à un moment qui me dit « il est fou le gars devant ! ». Les derniers km se font à bloque et à 400 m. de la ligne nous rattrapons un gros groupe de 10-15 gars, je me mets dans les roues et au 150 m je donne tout pour faire le sprint, je dois faire 2 au sprint. Je suis cramé mais content. J’ai battu mon temps de l’an dernier, vu que je fais 3 :17 :42 (103e sur 379). Merci Eric, car sans toi… Les 20 derniers km auraient été une toute autre galère.
Je suis content d'avoir rencontré d'autres Cyberpotes, Philippe (il est tellement jovial, ça fait plaisir).
J’ai réussi à laver le maillot Cyberpotes, il est presque aussi blanc qu’a l’origine.
Moyenne : 32,47 km/h
FC Max : 189
FC Moyenne : 169
Suis content,
Ghislain.
Vendredi après-midi, nous avions rendez-vous chez Eric avec Didier, un autre copain cycliste, à 16h45 pour pouvoir arriver à Pouilly-en-Auxois le plus tôt possible. Je suis encore au bureau quand Eric m’appelle pour me dire qu’il est à peine sorti de Lausanne et bloqué dans la circulation… Il mettra 1h40 pour arriver et nous partons donc à presque 18h00.
Ca commence bien !
La nuit à l’hôtel à Pouilly se passe bien, et le matin à 6h30 quand Eric vient frapper à ma porte c’est pour me dire : « T’as vu le temps dehors ? «. En effet, dehors c’est un temps peu encourageant qui se montre. Nous sommes néanmoins tous en tenue de cycliste et décidons de nous rendre au départ. Dans la voiture, au fur et à mesure que nous nous rapprochons d’Arnay-le-Duc, les discussions vont bon train, l’un décide de prendre le départ mais de ne pas faire la course, l’autre hésite pour prendre le départ, le 3e est déjà presque décidé à ne pas y aller. On arrive vers la salle polyvalente, on se gare sur le parking. Il faut aller chercher les dossards, il pleut comme vache qui pisse, aux dossards, pour Eric et Didier ce sont les grosses questions : « peut-on prendre le départ du 160 et bifurquer sur le 107 km ? ». Pour ma part, je prends mon dossard et je me dis, attendons…
A 7h30, voilà Karl et Laulesp qui arrivent, Ils sont motivés comme jamais, c’est tout le contraire de nous 3. Karl est prêt à faire tout ce qu’il peut pour être bien placé aux divers trophés dont la CC fait partie. Laulesp à l’air volontaire aussi. Nous, on discute et Eric averti déjà Karl que s’il part, il ne fera pas le 160 km. Il est environ 8h15 quand nous discutons et décidons de ne pas prendre le départ, de rentrer chez nous et d’aller nous faire une sortie « au sec » dans notre région. A 8h20 lorsque nous sortons de la salle, on voit que le ciel semble se dégager et je ne sais toujours pas pourquoi 2 jours plus tard, là, je décide de courir quand même. A la voiture, en 5mn je suis habillé, les jambes sont huilées, le vélo est prêt (merci Didier) et je suis sur la ligne à 8h30 ou je retrouve Philippe, Karlito, Laulesp. Laulau, je sais que tu étais là, mais désolé, je ne t’ai pas vu

J’ai mis l’imperméable, après avoir traversé Arnay-le Duc pour aller sur la ligne réelle de départ, nous devons attendre 10 bonnes minutes après les coureurs du 160 et je décide de l’enlever au dernier moment car je suis sous le portique gonflable, un peu à l’abri. Ca y est, c’est parti, la descente est neutralisée pendant environ 5 bornes, j’essaie de me réchauffer un peu, je regrette un peu d’avoir enlevé l’imper sur la ligne, mais je sais que la 1ere bosse va me réchauffer. Voilà 15 minutes que je suis parti et je me pose les premières questions, qu’est-ce que je fais là ? Dans quelle galère je me suis mis, puis ensuite jusqu’ à la première heure de course, je n’avais pas envie, pas motivé, je restais dans les roues à me dire que je pourrais couper pour rentrer à la voiture. Puis soudain, le peloton s’est étiré et sous l’impulsion de 1 gars devant nous nous sommes mis à rouler à plus de 40 km/h. Après quelques minutes à ce rythme je me rends compte que je ne suis pas si mal. Que j’arrive à suivre tranquille et que tout va bien. Le moral remonte, d’autant que ma jambe ne me fait pas mal du tout. Et c’est à 40 km/h que nous entrons dans Pouilly. Il est clair que dans la bosse, c’était un peu le « sauve qui peut », et en haut après les « montagnes russes » nous reformons un groupe de 30 gars et tout se passe bien. Mon moral est bien meilleur et je suis enfin content d’être là. Ca roule bien, un bon rythme, on aperçoit au loin une première fois le château de Chateauneuf. 10 km plus loin, je suis dans ce groupe sur le côté gauche de la chaussée quand je vois sur le bord de la route Eric qui est en train de réparer, il a le temps de me dire qu’il a percé 2 fois et que je fasse ma course, il me rattrapera sur le 107. Nous arrivons groupés dans la dernière côte à Chateauneuf et je n’arrive pas à suivre les meilleurs d’autant que je ressens un début de crampe. Je monte donc comme je peux et je me retrouve tout seul au sommet, je dirais « comme d’habitude » car c’est ma 3e participation et à chaque fois je suis seul le long du Canal pour rentrer. Je me maudis, je suis si déçu… Je fais ce que je peux avec ce que j’ai et je roule vent dans le nez comme je peux. Puis soudain, j’entends crier mon prénom, je me retourne, c’est Eric qui arrive comme une moto. Il se met à ma hauteur et me dit que nous allons finir ensemble. Mets-toi dans ma roue et on y va… Il est drôle lui, je suis « à coin » dans sa roue, lui il a les mains en haut du guidon et il cause, me raconte que c’est dommage, qu’il a des super jambes, qu’il aurait aimé aller sur le 160 pour faire une place, bref il me raconte sa vie pendant que moi j’en ch…. Comme pas possible. Dès qu’il y a un talus, je suis largué, sur le plat, ça va encore. Je donne vraiment tout ce que j’ai. Honnêtement, cela fait longtemps que je n’ai pas autant forcé sur un vélo. Les 4 derniers km se passent mieux, nous avons rattrapés pleins de gars auxquels Eric proposent à chaque fois de venir avec. Nous formons donc un petit groupe de 6-7 coureurs avec la Locomotive Eric devant. Il y en a même un à un moment qui me dit « il est fou le gars devant ! ». Les derniers km se font à bloque et à 400 m. de la ligne nous rattrapons un gros groupe de 10-15 gars, je me mets dans les roues et au 150 m je donne tout pour faire le sprint, je dois faire 2 au sprint. Je suis cramé mais content. J’ai battu mon temps de l’an dernier, vu que je fais 3 :17 :42 (103e sur 379). Merci Eric, car sans toi… Les 20 derniers km auraient été une toute autre galère.
Je suis content d'avoir rencontré d'autres Cyberpotes, Philippe (il est tellement jovial, ça fait plaisir).
J’ai réussi à laver le maillot Cyberpotes, il est presque aussi blanc qu’a l’origine.
Moyenne : 32,47 km/h
FC Max : 189
FC Moyenne : 169
Suis content,
Ghislain.
Le gars en noir tout devant, c'est moi pour une fois...
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Re: Voilà la Chiappucci !!!
Salut tous
Je n'ai pas vu grand monde samedi, à part Karl à la prise de dossarts Laulau sur le vélo. Tout le monde était occupé à se préparer en essayant de rester sec le plus longtemps possible.
Sur le vélo je me suis bien amusé, comme c'est parti tranquille j'étais bien sur la fin. J'ai accompagné des potes qui sont plus forts que moi en temps normal, mais comme ils ne sont pas trop bien quand il pleut... Et ce parcours me plait bien avec ses longues bosses et de la pente.
Et puis encore bravo à Karl toujours bien quel que soit le terrain.
Je n'ai pas vu grand monde samedi, à part Karl à la prise de dossarts Laulau sur le vélo. Tout le monde était occupé à se préparer en essayant de rester sec le plus longtemps possible.
Sur le vélo je me suis bien amusé, comme c'est parti tranquille j'étais bien sur la fin. J'ai accompagné des potes qui sont plus forts que moi en temps normal, mais comme ils ne sont pas trop bien quand il pleut... Et ce parcours me plait bien avec ses longues bosses et de la pente.
Et puis encore bravo à Karl toujours bien quel que soit le terrain.
Re: Voilà la Chiappucci !!!
Mince Stéphane tu déconnes, je t'ai vu dans la liste des engagés, mais effectivement je ne t'ai vu que là...
Nous étions pratiquement tous ensemble au repas pour partager le gateau au choclat que ma femme avait fait, j'avais fait des grosses parts, tout le monde aurait pu en profiter...
S'il te plait ça fait plaisir de te voir, alors un peu déçu que tu ne sois pas venu... On était un peu speed dans la salle, avant le départ, la pluie en génait plus d'un. Je pense que la plupart d'entre nous (Eric, Laulau, Laulesp, Rafa, moi...) avaient de vieux démons...
Je craignais beaucoup le virage dans lequel je suis tombé l'année dernière...
Nous étions pratiquement tous ensemble au repas pour partager le gateau au choclat que ma femme avait fait, j'avais fait des grosses parts, tout le monde aurait pu en profiter...
S'il te plait ça fait plaisir de te voir, alors un peu déçu que tu ne sois pas venu... On était un peu speed dans la salle, avant le départ, la pluie en génait plus d'un. Je pense que la plupart d'entre nous (Eric, Laulau, Laulesp, Rafa, moi...) avaient de vieux démons...
Je craignais beaucoup le virage dans lequel je suis tombé l'année dernière...
- Denis
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Re: Voilà la Chiappucci !!!
Un phénomène, ce Karl!
Re: Voilà la Chiappucci !!!
Il ne faut pas exagérer ! Par contre ça commence à empiéter sur la famille et ça ça craint. Mais j'ai quand même pu être avec les enfants hier au soir, c'est mieux que d'être tout le temps avec eux, juste pour leur gueuler dessus. Mais c'est vrai que je prend pas mal de plaisir. Sauf celui d'aller sur le podium qui a tendance à me speeder, car je dois être attentif et présent à l'appel de mon nom.Denis a écrit :Un phénomène, ce Karl!
Hier j'avais les championnats régionaux de mon comité et je ne pouvais me soustraire facilement, j'ai demandé que Virginie me trouve une excuse, mais ni moi ni elle n'en avions de valable, sans prendre les gens pour des cons. De plus mon club a des difficultés en ce moment, des bénévoles sont découragés par les espoirs, qui bricolent, râle au dernier moment sur leur matos.
Les phénomènes sont ceux qui peuvent se battre pour la victoire. Moi quand c'est mon terrain je durci la course, quand c'est sur le plat je me mets en dedans.... Si en tant que grimpeur je dois arriver isolé pour avoir le meilleur résultat possible, j'ai au moins l'avantage de laminer mes principaux adversaires dans les talus et de pouvoir réduire le nombre des échappés, presque, comme je le veux. Mais plus faiblement qu'avant....