La Midi-Libre Cycl'Aigoual (12/09/2010)
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La Midi-Libre Cycl'Aigoual (12/09/2010)
Quelle belle épreuve que cette Midi-Libre Cycl’Aigoual !
Bien décidé à finir l’année sur une note positive, je m’étais orienté vers cette épreuve que je n’avais jamais faite histoire de visiter de nouvelles contrées ; les Cévennes ne me sont pas totalement inconnues, j’y ai déjà posé mes sacs lors de colonies de vacances quand j’étais gamin ; c’était au siècle dernier et je n’en ai plus aucun souvenir si ce n’est le fait d’avoir passé de bons moments.
Le rendez-vous était donc donné au Vigan, petite bourgade de 4500 habitants niché au plein cœur du parc naturel des Cévennes dans le département du Gard. Pour l’occasion, je portais une fois de plus le maillot vert de la patrouille Eco-cyclo chère à Patrick François, ça sera la dernière fois de l’année en ce qui me concerne ; pour cette épreuve, je serais accompagné une fois de plus de l’ami Laulesp avec qui j’ai fait le déplacement.
Le repas pris en commun la veille de l’épreuve en compagnie de tous les bénévoles officiants sur cette épreuve ainsi que de Christophe Bassons, ancien coureur professionnel et parrain de l’épreuve est un vrai plaisir, on échange nos idées, on refait le monde et on envisage déjà l’année à venir ; mais bon, on ne s’éternise pas trop, il faut récupérer du long déplacement pour être opérationnel le dimanche matin.
D’ailleurs, en ce dimanche matin de début septembre, le soleil est déjà bien présent et même s’il fait un poil frais, la journée s’annonce sous les meilleurs hospices. Au départ, à 9h, tenue estivale de rigueur obligatoire, les manchettes ne sont même pas nécessaires ! A nous de profiter au mieux d’une des dernières très belles journées de 2010.
La particularité du départ de cette épreuve est qu’il se fait par handicap d’âge ; en ce qui me concerne, je pars dans le troisième sas 6 minutes après les premiers et 3 minutes devant le jeune et talentueux Laulesp, les élites bouclant la marche.
J’appréhende quelque peu ce départ, ça risque de partir vite compte tenu de ces handicaps ; de plus, l’échauffement a été une fois de plus minimaliste ; pas le temps de trop réfléchir cependant, nous sommes vite dans le vif de sujet, le pied du col du Minier arrive au bout de 3 km seulement, on va vite être fixé, d’autant plus que la première difficulté est longue de 20 km !
Bien que peu pentu sur le bas, la cure d’amaigrissement de mon groupe se fait rapidement, d’autant plus que les plus costauds veulent revenir rapidement sur les plus anciens. Je m’accroche et tient plutôt bien ma place au sein du groupe malgré quelques accélérations lorsque l’on reprend les lâchés des pelotons précédents. Le cardio se cale entre 185 et 192 pulsations par minute, faudrait pas que ça aille plus haut.Au fur et à mesure des km, la pente se fait plus ardue.
Après une dizaine de km d’ascension, on doit être encore une quinzaine dans le groupe, je m’accroche toujours mais c’est difficile ; une nouvelle accélération pour revenir sur un groupe me fait lâcher prise, je suis dans le dur, impossible pour moi de boucher le trou qui se fait devant moi, je suis contraint de laisser partir.
Petit à petit, je reprends mes esprits, un peu déçu malgré tout d’avoir été décramponné même si j’ai été l’un des derniers ; le temps pour moi de faire retomber le cœur et me voilà reparti à un rythme plus adéquat avec mes possibilités actuelles. Ce rythme me permet néanmoins de continuer à reprendre quelques « anciens » ; les élites partis 6 minutes derrière moi me passent au 15ème km (on ne roule pas dans le même monde), suivi de près par l’avant-garde du peloton des 30-39 ans à qui j’emboite le pas ; je fais l’effort pour rester dans les roues, je pense que ça ne va pas durer longtemps mais finalement ça le fait. Je décroche malheureusement à un km du sommet ; si j’avais su qu’on était si proche de basculer, j’aurais peut-être pu m’accrocher jusqu’en haut, tant pis.
Nous sommes au km 23 et j’ai déjà bien souffert ; je me retrouve seul pour aborder cette descente peu pentue, sinueuse à souhait et avec un revêtement ne rendant pas ! Le vent défavorable n’étant pas là pour me faciliter les choses, je me trouve d’un coup bien seul sur ces petites routes Cévenoles !
Je me fais doubler successivement par 2 groupes de 4 auxquelles je réussi à m’accrocher durant quelques hectomètres mais je ne suis pas à l’aise, ça roule trop vite pour moi et je ne suis pas dans un état d’esprit qui me ferait prendre des risques inconsidérés ; je laisse filer ces précieux alliés, un peu fataliste pour le coup.
Commence alors une longue période ou je suis seul au monde, je ne vois personne devant, ni derrière et ça va bien durer une quinzaine de km ! Les quelques spectateurs que je vois sur le bord de la route à la traversée des villages me confirment que je suis sur la bonne route mais on se poserait presque la question. La route s’élève, redescend avant de remonter à nouveau, il n’y a aucun moment de répit, on est toujours en prise d’autant plus que le vent est défavorable et que nous sommes peu protégés ! J’en profite pour admirer le paysage, c’est vraiment magnifique ; le bleu limpide du ciel se marie à merveille avec le vert des forêts environnantes, c’est un régal pour les yeux et ça aide à oublier la douleur !
Dans la descente qui suit le col de la pierre plantée, je me fais reprendre par un groupe de 4 avec qui je vais aller jusqu’à Trèves, pied de la seconde grosse difficulté du jour. Dans la bosse, le groupe explose et c’est chacun pour soi. J’adopte un bon rythme, ce qui me permet de gratter quelques places dans cette montée longue d’environ 8 km. Un coup d’œil sur les lacets plus bas en cour d’ascension me permet d’apercevoir un maillot vert, peut être Laulesp mais je n’en suis pas certain. Le faux plat qui suit le sommet de la bosse est compliqué, un fort vent défavorable me scotche sur la route et le compteur dépasse rarement les 25 km/h.
A Meyrueis, on attaque la montée du Mont Aigoual longue de 26 km. Peu pentue jusqu’au col du Perjuret de triste mémoire, la pente devient plus prononcée pour les 13 derniers km. Là encore, on évolue dans des décors somptueux et c’est une fois de plus du chacun pour soi. Au fur et à mesure de la montée, je continue à rattraper des gars alors que personne ne me doublera tout au long de la montée.
A 2 km du sommet, petit coup d’œil en arrière pour apercevoir Laulesp qui file grand train ; je garde malgré tout quelques mètres d’avance au sommet, on va pouvoir faire la descente de concert, exercice que nous sommes loin de maitriser.
Il reste alors 50 km jusqu’à l’arrivée dont 40 en descente ! Les 25 premiers se passent plutôt bien, la route est belle, les courbes se passent vite, on peu s’en donner à cœur joie. J’imprime le rythme, Laulesp reste dans la roue, tout est OK si ce n’est de fortes rafales de vent qui nous scotchent parfois à la sortie d’un lacet.
Cependant, le revêtement devient plus incertain sur le bas et les longs km les mains en bas du guidon commencent à se faire sentir au niveau des cervicales ; le groupe a quelque peu grossi dans la descente, on est désormais 4-5, je ne sais plus trop. Sur le bas, la route bosselée n’arrange pas mes affaires, j’ai de plus en plus de douleurs au niveau de la nuque et je suis contraint de relâcher mon effort pour me détendre; Laulesp me passe pour boucher un trou que j’ai laissé, je ne le reverrai plus jusqu’à l’arrivée; alors que la pente est beaucoup moins prononcée, il peut lâcher les chevaux et j’aurai bon maintenir un bon rythme sur la partie en faux plat descendant qui va nous ramener au pied de la dernière bosse, il va me coller plus de 6 minutes en moins de 30 km !
Je gère tant bien que mal la dernière montée longue de 4 km au km 140 puis la descente sinueuse qui suit. Un gars me reprend, on va faire la fin ensemble tranquillement puisqu’il n’y a plus rien à gagner ni à perdre. Les 5 deniers km me paraissent une éternité, j’en ai un peu marre. Dernier coup de cul à l’entrée du Vigan, mon compagnon s’échappe, je n’en veux plus et je suis bien content de boucler le parcours de 156 km en 5h36 à la 58éme place, bien fatigué par ce périple mais heureux d’avoir passé une bien belle journée dans une superbe région !
Bien décidé à finir l’année sur une note positive, je m’étais orienté vers cette épreuve que je n’avais jamais faite histoire de visiter de nouvelles contrées ; les Cévennes ne me sont pas totalement inconnues, j’y ai déjà posé mes sacs lors de colonies de vacances quand j’étais gamin ; c’était au siècle dernier et je n’en ai plus aucun souvenir si ce n’est le fait d’avoir passé de bons moments.
Le rendez-vous était donc donné au Vigan, petite bourgade de 4500 habitants niché au plein cœur du parc naturel des Cévennes dans le département du Gard. Pour l’occasion, je portais une fois de plus le maillot vert de la patrouille Eco-cyclo chère à Patrick François, ça sera la dernière fois de l’année en ce qui me concerne ; pour cette épreuve, je serais accompagné une fois de plus de l’ami Laulesp avec qui j’ai fait le déplacement.
Le repas pris en commun la veille de l’épreuve en compagnie de tous les bénévoles officiants sur cette épreuve ainsi que de Christophe Bassons, ancien coureur professionnel et parrain de l’épreuve est un vrai plaisir, on échange nos idées, on refait le monde et on envisage déjà l’année à venir ; mais bon, on ne s’éternise pas trop, il faut récupérer du long déplacement pour être opérationnel le dimanche matin.
D’ailleurs, en ce dimanche matin de début septembre, le soleil est déjà bien présent et même s’il fait un poil frais, la journée s’annonce sous les meilleurs hospices. Au départ, à 9h, tenue estivale de rigueur obligatoire, les manchettes ne sont même pas nécessaires ! A nous de profiter au mieux d’une des dernières très belles journées de 2010.
La particularité du départ de cette épreuve est qu’il se fait par handicap d’âge ; en ce qui me concerne, je pars dans le troisième sas 6 minutes après les premiers et 3 minutes devant le jeune et talentueux Laulesp, les élites bouclant la marche.
J’appréhende quelque peu ce départ, ça risque de partir vite compte tenu de ces handicaps ; de plus, l’échauffement a été une fois de plus minimaliste ; pas le temps de trop réfléchir cependant, nous sommes vite dans le vif de sujet, le pied du col du Minier arrive au bout de 3 km seulement, on va vite être fixé, d’autant plus que la première difficulté est longue de 20 km !
Bien que peu pentu sur le bas, la cure d’amaigrissement de mon groupe se fait rapidement, d’autant plus que les plus costauds veulent revenir rapidement sur les plus anciens. Je m’accroche et tient plutôt bien ma place au sein du groupe malgré quelques accélérations lorsque l’on reprend les lâchés des pelotons précédents. Le cardio se cale entre 185 et 192 pulsations par minute, faudrait pas que ça aille plus haut.Au fur et à mesure des km, la pente se fait plus ardue.
Après une dizaine de km d’ascension, on doit être encore une quinzaine dans le groupe, je m’accroche toujours mais c’est difficile ; une nouvelle accélération pour revenir sur un groupe me fait lâcher prise, je suis dans le dur, impossible pour moi de boucher le trou qui se fait devant moi, je suis contraint de laisser partir.
Petit à petit, je reprends mes esprits, un peu déçu malgré tout d’avoir été décramponné même si j’ai été l’un des derniers ; le temps pour moi de faire retomber le cœur et me voilà reparti à un rythme plus adéquat avec mes possibilités actuelles. Ce rythme me permet néanmoins de continuer à reprendre quelques « anciens » ; les élites partis 6 minutes derrière moi me passent au 15ème km (on ne roule pas dans le même monde), suivi de près par l’avant-garde du peloton des 30-39 ans à qui j’emboite le pas ; je fais l’effort pour rester dans les roues, je pense que ça ne va pas durer longtemps mais finalement ça le fait. Je décroche malheureusement à un km du sommet ; si j’avais su qu’on était si proche de basculer, j’aurais peut-être pu m’accrocher jusqu’en haut, tant pis.
Nous sommes au km 23 et j’ai déjà bien souffert ; je me retrouve seul pour aborder cette descente peu pentue, sinueuse à souhait et avec un revêtement ne rendant pas ! Le vent défavorable n’étant pas là pour me faciliter les choses, je me trouve d’un coup bien seul sur ces petites routes Cévenoles !
Je me fais doubler successivement par 2 groupes de 4 auxquelles je réussi à m’accrocher durant quelques hectomètres mais je ne suis pas à l’aise, ça roule trop vite pour moi et je ne suis pas dans un état d’esprit qui me ferait prendre des risques inconsidérés ; je laisse filer ces précieux alliés, un peu fataliste pour le coup.
Commence alors une longue période ou je suis seul au monde, je ne vois personne devant, ni derrière et ça va bien durer une quinzaine de km ! Les quelques spectateurs que je vois sur le bord de la route à la traversée des villages me confirment que je suis sur la bonne route mais on se poserait presque la question. La route s’élève, redescend avant de remonter à nouveau, il n’y a aucun moment de répit, on est toujours en prise d’autant plus que le vent est défavorable et que nous sommes peu protégés ! J’en profite pour admirer le paysage, c’est vraiment magnifique ; le bleu limpide du ciel se marie à merveille avec le vert des forêts environnantes, c’est un régal pour les yeux et ça aide à oublier la douleur !
Dans la descente qui suit le col de la pierre plantée, je me fais reprendre par un groupe de 4 avec qui je vais aller jusqu’à Trèves, pied de la seconde grosse difficulté du jour. Dans la bosse, le groupe explose et c’est chacun pour soi. J’adopte un bon rythme, ce qui me permet de gratter quelques places dans cette montée longue d’environ 8 km. Un coup d’œil sur les lacets plus bas en cour d’ascension me permet d’apercevoir un maillot vert, peut être Laulesp mais je n’en suis pas certain. Le faux plat qui suit le sommet de la bosse est compliqué, un fort vent défavorable me scotche sur la route et le compteur dépasse rarement les 25 km/h.
A Meyrueis, on attaque la montée du Mont Aigoual longue de 26 km. Peu pentue jusqu’au col du Perjuret de triste mémoire, la pente devient plus prononcée pour les 13 derniers km. Là encore, on évolue dans des décors somptueux et c’est une fois de plus du chacun pour soi. Au fur et à mesure de la montée, je continue à rattraper des gars alors que personne ne me doublera tout au long de la montée.
A 2 km du sommet, petit coup d’œil en arrière pour apercevoir Laulesp qui file grand train ; je garde malgré tout quelques mètres d’avance au sommet, on va pouvoir faire la descente de concert, exercice que nous sommes loin de maitriser.
Il reste alors 50 km jusqu’à l’arrivée dont 40 en descente ! Les 25 premiers se passent plutôt bien, la route est belle, les courbes se passent vite, on peu s’en donner à cœur joie. J’imprime le rythme, Laulesp reste dans la roue, tout est OK si ce n’est de fortes rafales de vent qui nous scotchent parfois à la sortie d’un lacet.
Cependant, le revêtement devient plus incertain sur le bas et les longs km les mains en bas du guidon commencent à se faire sentir au niveau des cervicales ; le groupe a quelque peu grossi dans la descente, on est désormais 4-5, je ne sais plus trop. Sur le bas, la route bosselée n’arrange pas mes affaires, j’ai de plus en plus de douleurs au niveau de la nuque et je suis contraint de relâcher mon effort pour me détendre; Laulesp me passe pour boucher un trou que j’ai laissé, je ne le reverrai plus jusqu’à l’arrivée; alors que la pente est beaucoup moins prononcée, il peut lâcher les chevaux et j’aurai bon maintenir un bon rythme sur la partie en faux plat descendant qui va nous ramener au pied de la dernière bosse, il va me coller plus de 6 minutes en moins de 30 km !
Je gère tant bien que mal la dernière montée longue de 4 km au km 140 puis la descente sinueuse qui suit. Un gars me reprend, on va faire la fin ensemble tranquillement puisqu’il n’y a plus rien à gagner ni à perdre. Les 5 deniers km me paraissent une éternité, j’en ai un peu marre. Dernier coup de cul à l’entrée du Vigan, mon compagnon s’échappe, je n’en veux plus et je suis bien content de boucler le parcours de 156 km en 5h36 à la 58éme place, bien fatigué par ce périple mais heureux d’avoir passé une bien belle journée dans une superbe région !
- Denis
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Re: La Midi-Libre Cycl'Aigoual (12/09/2010)
Une bonne place, dis donc!
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Re: La Midi-Libre Cycl'Aigoual (12/09/2010)
....ah ben bravo Lolo....!! t'avais posé un lapin à Morphée....??
Tadkozh


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- Laulau
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Re: La Midi-Libre Cycl'Aigoual (12/09/2010)
départ à 9h30 en couchant à 1500m du départ, c'était beaucoup plus facile...Tadkozh a écrit :....ah ben bravo Lolo....!! t'avais posé un lapin à Morphée....??![]()
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- Laulau
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Re: La Midi-Libre Cycl'Aigoual (12/09/2010)
on était^pas hyper nombreux !Denis a écrit :Une bonne place, dis donc!
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Re: La Midi-Libre Cycl'Aigoual (12/09/2010)
Et puis c'était une course par handicap... et par élimination 

- Aline
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Re: La Midi-Libre Cycl'Aigoual (12/09/2010)
Un récit de plus à mettre dans les mémoires 2010.
Laulau pour ton résultat qui clôture une belle année de cyclosportives et
aussi à Lauleps qui a aussi assuré cette année.


On croit que les rêves sont faits pour être réalisés. C'est le problème des rêves. Les rêves sont faits pour être rêvés.
Coluche
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- Tadkozh
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Re: La Midi-Libre Cycl'Aigoual (12/09/2010)
..;Ahhhhhhhhhhhh...!! j'me disais aussi...on n'abandonne pas ses mauvaises fréquentations comme ça...Laulau a écrit :départ à 9h30 en couchant à 1500m du départ, c'était beaucoup plus facile...Tadkozh a écrit :....ah ben bravo Lolo....!! t'avais posé un lapin à Morphée....??![]()
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- Laulau
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Re: La Midi-Libre Cycl'Aigoual (12/09/2010)
Merci Aline...Aline a écrit :Un récit de plus à mettre dans les mémoires 2010.
Laulau pour ton résultat qui clôture une belle année de cyclosportives et
aussi à Lauleps qui a aussi assuré cette année.
Cependant, je suis mitigé sur ma saison qui est loin d'être à la hauteur de ce que j'envisageais ...
Mais 2011 arrive à grands pas, ma vengeance sera terrible !

- Denis
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Re: La Midi-Libre Cycl'Aigoual (12/09/2010)
Mais qu'est ce qu'il te faut, Laulau?
T'as fait une belle saison! Des hauts, des bas, mais plus de hauts que de bas! Non?
T'as fait une belle saison! Des hauts, des bas, mais plus de hauts que de bas! Non?