.... Nous n'irons plus au bois, les lauriers sont coupés ...
Quand cette année est née, optimiste de nature, je me suis dit et m'en étais alors convaincu : 2020 serait bien mieux que 2019 qui avait eu pour moi un goût bien amer.
Certes, l'année n'est pas terminée, mais en matière de projets, elle s'annonce très mal.
De projets, nous sommes en deuil. Tout est devenu imprévisible. Nous ne pouvons pas nous accrocher à un précédent identique : De mémoire, il n'en existe pas.
Quand je regarde par ma fenêtre, le ciel est tout bleu et le soleil brille comme aux plus beaux jours.
Haut les coeurs, des jours meilleurs reviendront.
Robert a écrit : ↑18 mars 2020, 07:58
.... Nous n'irons plus au bois, les lauriers sont coupés ...
Quand cette année est née, optimiste de nature, je me suis dit et m'en étais alors convaincu : 2020 serait bien mieux que 2019 qui avait eu pour moi un goût bien amer.
Certes, l'année n'est pas terminée, mais en matière de projets, elle s'annonce très mal.
De projets, nous sommes en deuil. Tout est devenu imprévisible. Nous ne pouvons pas nous accrocher à un précédent identique : De mémoire, il n'en existe pas.
Quand je regarde par ma fenêtre, le ciel est tout bleu et le soleil brille comme aux plus beaux jours.
Haut les coeurs, des jours meilleurs reviendront.
Il faut mettre nos projets de côté mais il ne faut surtout pas les abandonner
Robert a écrit : ↑18 mars 2020, 07:58
.... Nous n'irons plus au bois, les lauriers sont coupés ...
Quand cette année est née, optimiste de nature, je me suis dit et m'en étais alors convaincu : 2020 serait bien mieux que 2019 qui avait eu pour moi un goût bien amer.
Certes, l'année n'est pas terminée, mais en matière de projets, elle s'annonce très mal.
De projets, nous sommes en deuil. Tout est devenu imprévisible. Nous ne pouvons pas nous accrocher à un précédent identique : De mémoire, il n'en existe pas.
Quand je regarde par ma fenêtre, le ciel est tout bleu et le soleil brille comme aux plus beaux jours.
Haut les coeurs, des jours meilleurs reviendront.
Si ton cœur, gémissant du poids de notre vie,
Se traîne et se débat comme un aigle blessé,
Portant comme le mien, sur son aile asservie,
Tout un monde fatal, écrasant et glacé,
S'il ne bat qu'en saignant par sa plaie immortelle,
S'il ne voit plus l'amour, son étoile fidèle,
Éclairer pour lui seul l'horizon effacé
Si ton âme enchaînée, ainsi que l'est mon âme,
Lasse de son boulet et de son pain amer,
Sur sa galère en deuil laisse tomber la rame,
Penche sa tête pâle et pleure sur la mer,
Et, cherchant dans les flots une route inconnue,
Y voit, en frissonnant, sur son épaule nue,
La lettre sociale écrite avec le fer ....
.................
Pars courageusement, laisse toutes les villes
Ne ternis plus tes pieds aux poudres du chemin
Du haut de nos pensers vois les cités serviles
Comme les rocs fatals de l'esclavage humain.
Les grands bois et les champs sont de vastes asiles,
Libres comme la mer autour des sombres îles.
Marche à travers les champs une fleur à la main.
Commentaire :
Si ..., si ..., si ... alors !
La poésie pour un message d'espoir en ses temps de disette.
Pour vous mes amis ce poème que j'ai beaucoup aimé avec le message qu'il contient ; il m'est revenu en mémoire ce matin.
A. de Vigny, mon semblable, mon frère ...
Modifié en dernier par Robert le 19 mars 2020, 06:35, modifié 1 fois.