Robert a écrit : ↑01 août 2020, 10:11
Fort heureusement, l'homme, sans distinction de genre, subit parfois d'invraisemblables galères, et a la faculté de les oublier en sorte que la vie continue et le vélo aussi !
Effectivement, la météo de montagne réserve souvent des surprises, d'où la nécessité de prendre des précautions comme le sac à dos qui contient des vêtements ... pour toutes circonstances.
franchement, la galère du Ventoux, pas près d'oublier ! ma pire journée de vélo, le plus grand froid de ma vie : pas du tout un bon souvenir
Oui ! Etre allée au bout de ta randonnée dans ces conditions (Ventoux sous une tempête de neige) relevait de l'exploit ... Effectivement à ne pas renouveler car très dangereux.
Lors du Ventoux Master Series, le temps etait grisouillant au pied de Bédoin. Un gars de coin me disait, avant le depart, que quand le Ventoux a le "chapeau" (c'est à dire quand les nuages "collent" au sommet), il ne vaut mieux pas monter... Et il avait raison! Autant la premiere partie était agréable, pas trop chaude, autant la deuxième, après le chalet Reynard a été un enfer: vent, pluie, et au dernier km, la tempete... Impossible de rester sur le vélo. Un cycliste a même été projeté contre le mur de la station météo... La descente a été dangereuse...
A la deuxième montée, le froid s'est invité, le TRES froid... Et le brouillard aussi... Je me souviens m'etre arreté à la fontaine de la Grave, et avoir constaté que les goulettes d'eau avaient gelé! Là, c'en était trop, je suis redescendu me remettre au chaud... Et quelques heures après l'épreuve était annulée...
Il me tarde de le remonter! Il va me falloir pour cela un hiver studieux et diététique!
Denis a écrit : ↑05 août 2020, 09:23
Lors du Ventoux Master Series, le temps etait grisouillant au pied de Bédoin. Un gars de coin me disait, avant le depart, que quand le Ventoux a le "chapeau" (c'est à dire quand les nuages "collent" au sommet), il ne vaut mieux pas monter... Et il avait raison! Autant la premiere partie était agréable, pas trop chaude, autant la deuxième, après le chalet Reynard a été un enfer: vent, pluie, et au dernier km, la tempete... Impossible de rester sur le vélo. Un cycliste a même été projeté contre le mur de la station météo... La descente a été dangereuse...
A la deuxième montée, le froid s'est invité, le TRES froid... Et le brouillard aussi... Je me souviens m'etre arreté à la fontaine de la Grave, et avoir constaté que les goulettes d'eau avaient gelé! Là, c'en était trop, je suis redescendu me remettre au chaud... Et quelques heures après l'épreuve était annulée...
Il me tarde de le remonter! Il va me falloir pour cela un hiver studieux et diététique!
Exactement ce que tu décris ! le Ventoux lorsque j'étais monté avait son chapeau et pourtant c'était grand soleil la première partie. ça s'est gâté à partir de Chalet Reynard pour devenir l'enfer