...tu m'accorderas bien qu'il y a bien concurrence en l'espèce ?Robert a écrit :Un détail, Tad, il ne s'agit pas d'un match !Tadkozh a écrit :...tu ne pourras nier qu'un match perdu 5 à 13 est bel et bien très largement perdu et les acrobaties, arguties, galipettes et autres finasseries "textuelles" n'en peuvent nier l'évidence...
Tadkozh
Tous les peuples du monde ont une respectable culture ; pourquoi oublier un peu la nôtre, celle de nos voisins espagnols, portugais, italiens, allemands, nordiques ou plus lointains chinois, hindous, japonais, russes etc ... pour nous bassiner à longueur de journées d'anglo-saxonneries pas toujours du meilleur tonneau !
30% de nos programmes télé à la sauce US, c'est ENORME ! Je persiste et signe, ne t'en déplaise.
30% signés US + les imitations soit 30% de plus ... il ne reste plus grand chose pour les autres !
Une imprégnation de laquelle il faut prendre conscience, que nous subissons au quotidien et à laquelle il faut à mon sens résister ; nous sommes inondés, submergés, noyés jusque dans le vocabulaire, dans notre façon de vivre, nos façons de manger, de nous vêtir, de produire et pas seulement par la radio, la télé, les chansons. Tout nous mène vers une américanisation rampante dont beaucoup de nos concitoyens n'ont, hélas, même pas conscience. C'est le tsunami culturel ("inculturel" ?) des temps modernes ! Une uniformisation formelle acceptée et subie.
Qui dit concurrence, dit forcément match...
Tu affiches un taux de 30% de programmes US. En supposant que tu tires ce taux des chiffres que nous avons avancés tous deux, je ne calcule que 27%78 de programmes américains. Si j'appliquais ton approximation arithmétique à contrario, je pourrais dire que seulement le quart des programmes sont américains ! Nous sommes donc bien loin des inondations, submersions, noyades dont tu te fais le relais et cette invasion bien modeste ne peut répondre en aucun cas au qualificatif de "tsunami". Que les tentatives d'intrusion des grands-cousins soient patentes je te l'accorde sans sourciller mais ne noircissons pas le tableau...
Tadkozh
