C'est une mode bien établie :
Le président de la république sortant publie ses mémoires.
Hollande s'est glissé avec délectation dans cet exercice, avec un succès que, visiblement, il n'espérait pas. Tel un apprenti sorcier qui serait heureux des dégâts qu'il cause, il constate avec une certaine délectation l'effet de son écrit et l'enthousiasme suscité en librairie par son bouquin.
Je n'ai pas lu cette oeuvre et me garderais donc d'en parler précisément.
Je me permets de penser, juste retour des choses après sa trahison, que Jupiter y récolte les fruits de son inqualifiable conduite ... Son mandat est né sous ces détestables auspices du meurtre du père !
Robert a écrit :C'est une mode bien établie :
Le président de la république sortant publie ses mémoires.
Hollande s'est glissé avec délectation dans cet exercice, avec un succès que, visiblement, il n'espérait pas. Tel un apprenti sorcier qui serait heureux des dégâts qu'il cause, il constate avec une certaine délectation l'effet de son écrit et l'enthousiasme suscité en librairie par son bouquin.
Je n'ai pas lu cette oeuvre et me garderais donc d'en parler précisément.
Je me permets de penser, juste retour des choses après sa trahison, que Jupiter y récolte les fruits de son inqualifiable conduite ... Son mandat est né sous ces détestables auspices du meurtre du père !
...d'aucun avait été plus "incisif"...! Il n'empêche que la gauche socialiste ne lui en a pourtant pas tenu rigueur, l'élection du jupitérien lui restant échue...
Je ne lirai pas ce livre "bidon, bateau"....
Tadkozh a écrit :...tirée du livre de Christophe Gatineau "Pauvre de nous" (éditions du Sable-fin, juin 2016), cette réflexion touchant tant la vieillesse que nos actuels problèmes de société :
"La mort est le seul échec cuisant d’une vie. Refuser d’inventer sa vie, c’est autoriser les autres à l’inventer pour nous. Et dans un monde conditionné par la seule croissance de la consommation, ce sont les multinationales et l’empire de l’argent qui nous l’inventent, une vie faite de désirs, d’envies et de besoins inassouvis… L’insatisfaction est un cocktail explosif qui incite les individus à se chamailler et à s’entre-tuer."
Tadkozh
Par quel miracle sera-t-on un jour libéré de la férule de l'argent roi ? La pieuvre anglo-saxonne qui l'impose au monde étend ses tentacules partout. La forme prise par l'économie, la musique, la télé, l'art (?) en général, la manière de s'habiller, de s'alimenter et même de parler et de penser, la langue ... tout concourt à notre asservissement.
Jusque dans le ridicule : On intitule une émission "the voice" et les serviettes pour l'hygiène des dames s'appellent "always discrite" !
La mort, celle de cette forme de civilisation du fric, ne serait pas un échec mais l'amorce éventuelle d'une renaissance !
...laissons un peu les anglo-saxons "respirer" Robert...! Sur quoi est basée l'économie de la Chine si ce n'est sur le marché, bien que, hérésie innommable, le communisme en soit toujours le régime politique ? Il en est ainsi de quasiment tous les régimes de cette eau.
Une question se posait quant à l'avenir des deux économies en présence : celle basée sur le communisme, celle basée sur le libéralisme.
Le communisme a fait long feu, reste le libéralisme.....jusqu'à quand car il s'étend ! Point d’hégémonie anglo-saxonne cependant, ils n'en sont que les pions comme tous les autres.......
Tadkozh a écrit :...tirée du livre de Christophe Gatineau "Pauvre de nous" (éditions du Sable-fin, juin 2016), cette réflexion touchant tant la vieillesse que nos actuels problèmes de société :
"La mort est le seul échec cuisant d’une vie. Refuser d’inventer sa vie, c’est autoriser les autres à l’inventer pour nous. Et dans un monde conditionné par la seule croissance de la consommation, ce sont les multinationales et l’empire de l’argent qui nous l’inventent, une vie faite de désirs, d’envies et de besoins inassouvis… L’insatisfaction est un cocktail explosif qui incite les individus à se chamailler et à s’entre-tuer."
Tadkozh
Par quel miracle sera-t-on un jour libéré de la férule de l'argent roi ? La pieuvre anglo-saxonne qui l'impose au monde étend ses tentacules partout. La forme prise par l'économie, la musique, la télé, l'art (?) en général, la manière de s'habiller, de s'alimenter et même de parler et de penser, la langue ... tout concourt à notre asservissement.
Jusque dans le ridicule : On intitule une émission "the voice" et les serviettes pour l'hygiène des dames s'appellent "always discrite" !
La mort, celle de cette forme de civilisation du fric, ne serait pas un échec mais l'amorce éventuelle d'une renaissance !
...laissons un peu les anglo-saxons "respirer" Robert...! Sur quoi est basée l'économie de la Chine si ce n'est sur le marché, bien que, hérésie innommable, le communisme en soit toujours le régime politique ? Il en est ainsi de quasiment tous les régimes de cette eau.
Une question se posait quant à l'avenir des deux économies en présence : celle basée sur le communisme, celle basée sur le libéralisme.
Le communisme a fait long feu, reste le libéralisme.....jusqu'à quand car il s'étend ! Point d’hégémonie anglo-saxonne cependant, ils n'en sont que les pions comme tous les autres.......
Tadkozh
C'est la recherche constante d'un équilibre introuvable entre l'étatisme autoritaire tout puissant et le libéralisme outrancier qui écrase les plus faibles au seul profit de quelques-uns.
Le libéralisme économique qui sévit partout, y compris dans les régimes dits communistes et qui n'ont plus rien à voir avec Karl Marx, puise tout de même ses origines et modèles chez l'oncle Sam.
Et chez nous, ça pue l'invasion.
Robert a écrit :
Par quel miracle sera-t-on un jour libéré de la férule de l'argent roi ? La pieuvre anglo-saxonne qui l'impose au monde étend ses tentacules partout. La forme prise par l'économie, la musique, la télé, l'art (?) en général, la manière de s'habiller, de s'alimenter et même de parler et de penser, la langue ... tout concourt à notre asservissement.
Jusque dans le ridicule : On intitule une émission "the voice" et les serviettes pour l'hygiène des dames s'appellent "always discrite" !
La mort, celle de cette forme de civilisation du fric, ne serait pas un échec mais l'amorce éventuelle d'une renaissance !
...laissons un peu les anglo-saxons "respirer" Robert...! Sur quoi est basée l'économie de la Chine si ce n'est sur le marché, bien que, hérésie innommable, le communisme en soit toujours le régime politique ? Il en est ainsi de quasiment tous les régimes de cette eau.
Une question se posait quant à l'avenir des deux économies en présence : celle basée sur le communisme, celle basée sur le libéralisme.
Le communisme a fait long feu, reste le libéralisme.....jusqu'à quand car il s'étend ! Point d’hégémonie anglo-saxonne cependant, ils n'en sont que les pions comme tous les autres.......
Tadkozh
C'est la recherche constante d'un équilibre introuvable entre l'étatisme autoritaire tout puissant et le libéralisme outrancier qui écrase les plus faibles au seul profit de quelques-uns.
Le libéralisme économique qui sévit partout, y compris dans les régimes dits communistes et qui n'ont plus rien à voir avec Karl Marx, puise tout de même ses origines et modèles chez l'oncle Sam.
Et chez nous, ça pue l'invasion.
... c'est exactement ce qui se pratique dans la doctrine communiste !! Les voitures et demeures de luxe pour la nomenklatura et les masures et le pain bis pour le petit peuple...
Le libéralisme existait bien avant l'apparition des "States", pays qui vient de naitre et n'a pu que s'inspirer de celui du continent d'en face...
Quant à "l'invasion" je la situe "asiatique".........
Tadkozh a écrit :
...laissons un peu les anglo-saxons "respirer" Robert...! Sur quoi est basée l'économie de la Chine si ce n'est sur le marché, bien que, hérésie innommable, le communisme en soit toujours le régime politique ? Il en est ainsi de quasiment tous les régimes de cette eau.
Une question se posait quant à l'avenir des deux économies en présence : celle basée sur le communisme, celle basée sur le libéralisme.
Le communisme a fait long feu, reste le libéralisme.....jusqu'à quand car il s'étend ! Point d’hégémonie anglo-saxonne cependant, ils n'en sont que les pions comme tous les autres.......
Tadkozh
C'est la recherche constante d'un équilibre introuvable entre l'étatisme autoritaire tout puissant et le libéralisme outrancier qui écrase les plus faibles au seul profit de quelques-uns.
Le libéralisme économique qui sévit partout, y compris dans les régimes dits communistes et qui n'ont plus rien à voir avec Karl Marx, puise tout de même ses origines et modèles chez l'oncle Sam.
Et chez nous, ça pue l'invasion.
... c'est exactement ce qui se pratique dans la doctrine communiste !! Les voitures et demeures de luxe pour la nomenklatura et les masures et le pain bis pour le petit peuple...
Le libéralisme existait bien avant l'apparition des "States", pays qui vient de naitre et n'a pu que s'inspirer de celui du continent d'en face... Quant à "l'invasion" je la situe "asiatique".........
Tadkozh
Il va falloir que tu m'expliques ce qu'il y a "d'asiatique" dans nos programmes télé, nos façons de nous habiller, de manger, dans notre façon de vivre, dans notre culture actuelle. Pour moi, en résumé, RIEN.
Par contre nous baignons au quotidien dans l'US de basse facture ! Et là, je n'ai pas besoin de creuser pour trouver des exemples ! Il n'y a plus guère que ça.
En clair, je pense qu'il s'agit en réalité d'un conflit de société.
D'un côté, le président des très riches et son entourage qui ont choisi un modèle : Une société ultra libérale de modèle US.
La SNCF, sous le vocable fallacieux "d'ouverture à la concurrence" et en voie de privatisation. Elle sera bientôt livrée aux requins du capitalisme et de l'actionnariat. Plus de service public, du rentable, rien que du rentable. Je me demande où se trouve l'intérêt général dans cette option ...
De l'autre côté, un monde que l'on veut gommer, celui qui a fondé un régime social acceptable pour le plus grand nombre, celui des congés payés, de la protection sociale, de la protection des plus vulnérables. Et ceux qui ont organisé la macronade, les grévistes de la SNCF défendent un modèle qui s'effondre au profit du monde où règnent les bandits de l'argent roi, des salaires démesurés, des passe-droits pour les riches, de la mise sous tutelle du monde ouvrier, dévolu aux emplois précaires et mal rémunérés..
Les grévistes de la SNCF se battent pour un modèle social. Leur combat est celui du peuple que le capitalisme étrangle, il est donc aussi le mien.
Robert a écrit :Le conflit assorti de grèves à la SNCF s'enlise.
En clair, je pense qu'il s'agit en réalité d'un conflit de société.
D'un côté, le président des très riches et son entourage qui ont choisi un modèle : Une société ultra libérale de modèle US.
La SNCF, sous le vocable fallacieux "d'ouverture à la concurrence" et en voie de privatisation. Elle sera bientôt livrée aux requins du capitalisme et de l'actionnariat. Plus de service public, du rentable, rien que du rentable. Je me demande où se trouve l'intérêt général dans cette option ...
De l'autre côté, un monde que l'on veut gommer, celui qui a fondé un régime social acceptable pour le plus grand nombre, celui des congés payés, de la protection sociale, de la protection des plus vulnérables. Et ceux qui ont organisé la macronade, les grévistes de la SNCF défendent un modèle qui s'effondre au profit du monde où règnent les bandits de l'argent roi, des salaires démesurés, des passe-droits pour les riches, de la mise sous tutelle du monde ouvrier, dévolu aux emplois précaires et mal rémunérés..
Les grévistes de la SNCF se battent pour un modèle social. Leur combat est celui du peuple que le capitalisme étrangle, il est donc aussi le mien.
